Théâtre optique

proscenium du théâtre à l’italienne permet de séparer l’espace de la scène de celui du public et de l’orchestre. Il s’agit à la fois d’une séparation visuelle – l’arc délimite l’espace de la fiction – et d’une séparation acoustique (les deux espaces ont des sons différents. En devenant plus profonde pour accommoder des orchestres plus grands, la fosse d’orchestre va également devenir un espace à l’acoustique particulière, bien distincte de celle de la scène. On le voit ici dans le théâtre de Drottningholm

égard il présente un intérêt particulier. C’est un espace aménagé, comme l’indiquent les didascalies: «deux pavillons, kiosques ou temples de jardin, sont à droite et à gauche; le fond est une clairière ornée; un siège de gazon sur le devant. Le théâtre est obscur» Ce décor présente de nombreuses cachettes qui vont favoriser les méprises et les quiproquos. En situant son dernier acte en extérieur, Beaumarchais suggère peut-être un affranchissement, et le symbole d’une liberté gagnée sur les contraintes

techniques. Dans son ouvrage consacré à la scénographie, l’on peut lire différentes définitions de ce terme[2] : - Le mot grec « scenographia » est composé de skènè (scène et baraque, située au fond e l’orcherstra pour abriter la matériel dans le théâtre antique) et graphein (égratiner le papyrus) d’où écrire, dessiner, peindre. Le mot « scenographia » désignait donc certains embellissements de la baraque par des panneaux de décor peints. Le mot « skiagraphia », de skia (ombre) et graphein (peindre)

Côté Est sont cherchées du Dadaïsme, Surréalisme, collage. Les surprises jouent sur la peur, le drôle, choque le spectateur. Recherches du côté du cirque, cabaret, film américain comique (Charly Chapelin). Antonin Artaud, « Le théâtre et son double ». Pa rapport au théâtre une représentation devait transformer les spectateurs. Dans les happenings il y a un bouc émissaire, c'est le spectateur. Michel Kirby assiste à beaucoup de galeries dont la Reuben Gallery. Robert Whitman, The Amercican Moon, video

LA DRAMATURGIE YVES LAVANDIER Introduction C’est un ouvrage très intéressant pour comprendre la structure d’un texte de fiction, même s’il se destine à analyser la dramaturgie dans un sens limité   : le théâtre et les scénarios de films. Je pense cependant que la plupart des principes de construction détaillés par Lavandier s’appliquent parfaitement à la littérature parce qu’ils sont davantage propres à la fiction qu’à un genre particulier. I. LES MÉCANISMES FONDAMENTAUX Il débute par une

Etat des lieux. Le théâtre en 1890. Quoi de neuf sur scène? Au seuil des débuts théâtraux de Rostand, il y a cette époque qu’on a appelée Belle. La Belle Epoque qui, si elle n’est pas plus belle que les autres, est d’une vitalité à nulle autre pareille. Les expositions universelles se succèdent en France entre 1867 et 1900, témoignages concrets et grandement visibles du développement des sciences et des techniques. Manière aussi de montrer au monde que la France relevait le front après

onglet de la partie « Culture »7. Définissons d’abord ces termes, vivante : au sens figuré qui est animé, vif ; foisonnante : en très grande abondance. Ainsi la ville de Nantes propose l’image d’une culture dynamique et très développer. Dans la même optique elle se définie comme « agitée par la culture »8. Ce qui là encore laisse deviner une image dynamique de la politique culturelle. L’article commence par « depuis vingt ans », nous comprenons donc que cette politique a principalement été insufflée

LA DRAMATURGIE YVES LAVANDIER Introduction C’est un ouvrage très intéressant pour comprendre la structure d’un texte de fiction, même s’il se destine à analyser la dramaturgie dans un sens limité   : le théâtre et les scénarios de films. Je pense cependant que la plupart des principes de construction détaillés par Lavandier s’appliquent parfaitement à la littérature parce qu’ils sont davantage propres à la fiction qu’à un genre particulier. I. LES MÉCANISMES FONDAMENTAUX Il débute par une

imposer sa conception du théâtre. En ces occasions la dimension littéralement politique des œuvres est mise au jour, dans la mesure où c’est du rapport entre le théâtre et la cité qu’il s’agit. Cette conception anime les deux préfaces d’Hernani et de Ruy Blas, la première revendiquant, au nom du romantisme, un art dramatique qui mette en œuvre le principe de la liberté, la seconde promouvant la figure du peuple comme sujet problématique de l’histoire. Dans cette optique, il est clair que se dessine

sur le bord d’un chemin : ils sont « comme tout le monde », assimilables au « on » de la formule « est-ce que l’on sait où l’on va ? » 3. Un refus du romanesque donc puisque D refuse l’anecdotique. Le genre du roman est d’autant moins net que le théâtre est introduit, comme si le narrateur n’était capable que d’écouter les personnages sans entrer dans leur conscience. Mais là encore, déception : un discours banal, parsemé de lieux communs ; on a du mal à suivre comme quand Jacques s’écrit : « que