Théogonie

un désir passionné à leurs victimes, ou d'une pointe de plomb, pour détourner les personnes rivales. Virgile rapporte comment Vénus se servira d'Eros pour provoquer l'amour de Didon pour Enée. Eros (ErwV) était la divinité de l'Amour. Dans la Théogonie d'Hésiode et chez les Orphiques, Eros est considéré comme un dieu créateur et l'un des éléments primordiaux du monde. Il serait le premier dieu, né de l'œuf primordial, sans lui aucun des autres dieux ne seraient nés. Depuis le VI ième siècle avant

philosophes ont fait naître un tel discours en étant capables de rompre avec les explications mythiques qui étaient en vigueur. Ceux que l’on appelait les présocratiques ont construit le discours philosophiques en étant capables de se départir de la théogonie, de la cosmogonie, de l’anthropogonie dont la culture grecque étaient pourtant riche. M.A Rey dans son ouvrage la jeunesse de la Science grecque montre bien l’importance de cette rupture : « voici le grand tournant, après les premiers balbutiements

pourceau. La vocation de philosophe lui vint très tôt, à 14 ans selon le témoignage de Diogène Laërce, quand, à la lecture d'Hésiode, il demanda à son maître d'où venait le chaos primordial d'où toutes choses sortaient que décrit le poète dans la Théogonie. Les réponses de son maître ne le satisfaisant pas, il décida de philosopher seul et sans guide, en autodidacte (on lui reprochera plus tard de s'en être vanté). Il reçut pourtant les leçons d'un platonicien, Pamphile, et de Nausiphane et Nausycide

trad. M. Le Tourneur) ? Jean-Baptiste Grainville : Le dernier homme, 1805 (extrait du Chant IX; Slatkine Reprints, Genève 1976) Friedrich von Schiller : La Grandeur du Monde (trad A.Régnier) Népomucène Lemercier : extrait de "L'Atlantiade ou Théogonie Newtonienne", 1812 Giacomo Leopardi : L'infini, 1819 (trad. M.Orcel) Byron : L'abîme de l'espace (extrait de Caïn, Acte II Scène I, trad. Fabre d'Olivet) Pierre Daru : "L'homme a sondé des cieux..." (extrait de L'astronomie, chant I, Paris

et d'une partie des acteurs. 4/ Les auteurs grecs sont, pour les plus connus : Homère (7eme Siècle avant JC - ?), il a écrit des œuvres tels qu’Iliade et Odyssée Hésiode (8eme siècle avant JC - ?), ces œuvres représentatives sont La Théogonie et Les Travaux et les Jours. Archilogue (-712 – 664 avant JC), son œuvre la plus connue est Paros Parmi les auteurs romains les plus connus on a : Lucius Apulcius (125 - 170) il a écrit des œuvres tels que L'âne d'Or et Les Métamorphoses

allant du Ixe siècle avant notre ère jusqu'au IVe siècle ap. J.-C., avec la civilisation latine qui s'empare de l'héritage hellénique. Dans cet ensemble cohérent, les mythes concernant la formation du monde (cosmogonie), la naissance des dieux (théogonie) et l'apparition de l'homme (anthropogonie) voisinent avec les cycles divins (Zeus, Apollon, Athéna...), héroïques (les Argonautes, Héraclès, Thésée, les aventures d'Ulysse, Œdipe, etc.) et les légendes épiques (la guerre de Troie). La mythologie

province d’Europe. Dans son acception géographique, le mot a d'abord désigné la Grèce continentale. La première fois que le terme « Europe » est mentionné dans les écrits pour désigner un continent, c'est vers 590 avant J.-C., par Hésiode, dans sa Théogonie. Depuis l'année 500 avant J.-C., sa signification comprend toutes les terres situées au nord[réf. nécessaire]. Au ier siècle, Varron5 évoque une bipartition du monde au niveau du Bosphore, les parties situées au nord-ouest du détroit constituant

l’Antiquité), à un rôle éducatif (depuis le XVIIIème siècle et l’apparition de l’école), et enfin à un rôle de socialisation (à l’heure actuelle). Le père dans la mythologie •Au VIIIème siècle avant JC, le poète grec Hésiode décrit dans sa Théogonie le mythe de Cronos. Ouranos et Gaïa avertissent Cronos qu'il sera détrôné à son tour par son propre fils. Car Chronos, armé par sa mère Gaïa, castrera son père Ouranos avant d’être à son tour vaincu par son fils Zeus. Gaïa avertit Zeus qu’une fille

l'explication, le changement de registre répond à un type d'enquête entièrement neuf; neuf par l'objet qu'elle désigne: la nature, phusis; neuf par la forme de pensée qui s'y manifeste et qui est toute positive. Certes les anciens mythes, spécialement la Théogonie d'Hésiode, racontaient eux aussi la façon dont le monde avait émergé du chaos, dont ses diverses parties s'étaient différenciées, son architecture d'ensemble constituée et établie. Mais le processus de genèse, dans ces récits, revêt la forme d'un

l'Odyssée (retour d'Ulysse) d'Homére. Dans l'imaginaire, ces textes étaient inspirés par la muse (fille de Zeus et de Mémoire), une divinité qui inspire la vérité sur les « choses fondamentales ». 1)La religion grecque : Chaos et Cosmos.Dans la Théogonie, Hésiode explique l'origine des dieux et leurs filiations. Les dieux primordiaux : | Chaos (élément fondant le monde en désordre) | Gaïa (la Terre) qui engendre seule Ouranos (le ciel) | Erôs (énergie vitale) | Gaïa