Théorie de la complexité

Le défi de la complexité – Edgar MorinLa complexité c’est un problème de connaissance et de mode de pensée/façon de penser, de connaître, de regarderConnaissance au nœud de la complexitéConnaissance = traduction suivie d’une reconstruction – tradutore, traditore (le traducteur est souvent un traitre)Perception visuelle Photons > code binaire nerf optique > perception = différente de l’image qu’a reçue la rétineConstance perceptive (chien loin et proche)On peut se tromper dans la traduction

multiples dimensions de l’image « globale », mais également les multiples expertises liées aux savoir faire des techniques de la communication. Un schéma attribué à Olten, issue de l’école de gestion de Genève, illustre bien cette évolution de la complexité organisationnelle au sein des organisations et cette nouvelle tendance : « Ce n’est qu’en privilégiant le management de communication intégrée qu’entreprises et organisations parviendront à transmettre avec succès des messages complexes, et à

Introduction. L'apparition du concept de système peut être expliquée en grande partie par la complexité croissante des phénomènes économiques, sociologiques (modification des modes de vie, phénomène de mondialisation…) et la multiplication des interactions entre ces différents phénomènes. Les approches traditionnelles (on pense surtout à la logique cartésienne) seraient insuffisantes pour maîtriser cette double évolution. Il devenait donc nécessaire de construire une nouvelle approche scientifique

(individuelle jusqu'à universelle) et présentation du dilemme central auquel elles se rapportent. Montrez la complexité du problème et ne craignez pas de poser des questions, de présenter vos intuitions. 3.2) Analyse du problème à la lumière d’aux moins 2 théories éthiques pertinentes rencontrées dans la session (application et présentation des concepts, des principes, des valeurs que soutiennent ces théories). Cette portion est très importante : elle témoigne de votre maîtrise de la matière du cours.

L’ECONOMIE, LE DROIT ? J.-F. KERVEGAN (PARIS 1 / IUF) Le seul fait de pouvoir se demander « ce qui fait société » témoigne de la situation singulière des sociétés contemporaines, une situation que l’on cherche parfois à désigner à l’aide du terme « complexité ». En effet, dans les sociétés qu’on appellera par commodité « traditionnelles », cette question ne pouvait même pas être soulevée, tant la réponse à lui apporter était évidente. Le lien social avait un unique substrat, quel qu’il soit : par exemple

Théorie du Chaos : La théorie du chaos est, à la base, une théorie mathématique. Poincaré en est le précurseur mais c’est Lorenz qui, en 1963, va compléter cette théorie de manière certaine. La théorie du chaos explique que « certains phénomènes dynamiques non linéaires sont si sensibles aux conditions initiales que, même s’ils sont régis par des lois rigoureuses et parfaitement déterministes, les prédictions exactes sont impossibles ». En d’autre terme, avec le temps, un changement mineur dans

prismes stratégiques, chacun d‟entre eux renvoyant à des théories différentes. En effet, plusieurs points de vue complémentaires sont nécessaires à la compréhension d‟un phénomène aussi complexe que la stratégie. Le prisme de la méthode considère que l‟élaboration de la stratégie correspond à un processus analytique, structuré et directif, entraînant un positionnement délibéré de l‟organisation (Johnson et al, 2008). Ce prisme renvoie aux théories économistes et aux sciences de la décision. Le prisme

’automobile en 1980 Voir http://www.fnege.net/accueil/_home/cadre.php Importance pour le manageur Les décideurs sont de plus en plus confrontés à la complexité, au changement et au management des paradoxes. Les méthodes usuelles ( la machine rationnalisée ) ne permettent pas de rendre suffisamment en compte cet accroissement de complexité. Il faut donc trouver une autre démarche où l ’on comprennent les tenants et aboutissements des actions, et où l ’on se sente sécurisé, en situation complexe

* CH8 : LES APPORTS DE L’ECONOMIE A LA THEORIE DES ORGANISATIONS 1. L’organisation dans la théorie économique traditionnelle Les apports d’A. Smith en ce qui concerne l’organisation s’articulent autour de deux pôles : • d’une part l’organisation de la production • d’autre part la théorie des sentiments moraux Smith et l’organisation de la production A. Smith, avant Taylor, est à l’origine de la première grande réflexion sur l’organisation de la production (précurseur). Recherche sur

grandes théories psychologiques de ce que je préfère nommer l'Apprendre plutôt que l'apprentissage puisque ces théories visent un sujet moyen, ontologique, qui n'existe d'ailleurs nulle part ; ces théories qui accordent si peu d'importance au poids des institutions, qui cherchent à exhiber des Lois, ou tout au moins des "mécanismes" et qui fleurissent dans le scolaire où on a vu Piaget et les fameux "stades" servir à organiser des redoublements. On en viendrait, par la confusion entre théorie et méthode