Theorie Et Pratique Kant

vie quotidienne et même dans ses propres opinions, par la présence des affaires politiques dans son intimité. Tocqueville écrira d’ailleurs que la démocratie en Amérique souffre de « l’omnipotence de la majorité ». Selon Kant, dans la seconde section de son article Théorie et Pratique, le phénomène d’une majorité d’opinion, chez un peuple, aurait pour la première fois vu le jour, lorsque le peuple à exprimer sa volonté générale, ce que nous pouvons aussi appeler le contrat « originaire », qui est la«

l’expérience sensible. *hors, le démarche scientifique doit lier expérience et raison. B/ Le criticisme de Kant. *questions métaphysiques fondamentales: dieu existe-il? Sommes-nous libre? Y a-t-il un commencement et une fin du monde? L’âme est-elle immortelle? => pour Kant ces question sont un besoin de la raison. *la métaphysique n’est pas une sciences, les réponses sont pas connaissables. *Kant cherche à établir les limites de la raison. Pour lui il va falloir admettre que la connaissance des obj

et concrète. Antilogie : Ensemble de deux propositions contradictoires utilisé par les sophistes de l’antiquité pour paralyser la pensée, en la rendant incapable de trancher. Antinomie : Du grec antinomia, contradiction dans leur application pratique entre des lois. Dans le criticisme kantien, contradiction entre deux propositions dans laquelle tombe la raison lorsqu’elle prétend dépasser l’ordre des phénomènes et atteindre l’absolu. Les deux propositions, dites thèse et antithèse, s’appuient

de se « despotisme bienveillant » qu’Emmanuel KANT au 18ème siècle et à Alexis TOCQUEVILLE au 18ème siècle nous ont mis en garde dans leurs écrits. En 1793, au moment même où en France les Jacobins travaillés à la rédaction de leur constitution, KANT dénonça dans Théorie et pratique, les risques qu’une telle conception pouvait comporter. TEXTE : KANT, théorie et pratique → Le paternalisme de l’Etat est le plus grand despotisme. Remarque : Selon KANT, il n’est pas légitime que l’Etat s’occupe du

correspondance avec une finalité. La beauté offre une impression de complétude, de totalité, sans qu’une idée puisse justifier ce sentiment. (Kant, CFJ) 2/ L’art de l’artiste serait alors l’art du « Beau » : Le sentiment du beau est suscité par la forme de ce que nous contemplons et non pas son utilité. Selon la conception classique, notamment celle de Kant, le beau est donc défini comme l’objet d’une satisfaction désintéressée, « ce qui plaît universellement sans concept, ce dont la forme de finalité

A. L'œuvre et l'idéal Dans la Critique de la Faculté de juger Kant propose une définition classique de l'œuvre d'art , à partir de l’activité créatrice qui le manifeste. L’art est humain et non pas un produit de la Nature. Si la Nature produit des effets, elle ne crée pas des œuvres. L’œuvre d’art suppose une liberté créatrice qui excède la fécondité naturelle. L’artiste crée en vertu d’un libre-arbitre, qui n’est pas la nécessité naturelle. Or, à ce libre-arbitre proprement humain est attaché

et vers l’autonomie du jugement selon KANT. L’autonomie du jugement symbolise le courant des Lumières, qui lutte contre l’obscurantisme et le dogmatisme. Elle précédé l’autonomie de la volonté. Etre autonome dans son jugement: penser par soi même, ne pas dépendre d’un tiers pour penser. Dans le texte « Qu’est ce que les Lumières? » Kant écrit que c’est passer de l’Etat de minorité à l’état de majorité (être responsable de ses actes). Simplement grâce à Kant on voit que la philosophie morale rejoint

entre ses différentes assertions. Étant donné notamment l’abîme ontologique qui sépare une idée d’une chose, la conformité du rapport de la pensée à la réalité ne peut être évalué immédiatement. C’est la thèse de la vérité-cohérence. Les différentes théories de la vérité que nous allons à présent exposer se distribuent assez bien autour de ces deux pôles sans toutefois s’y réduire dans la mesure où elles fournissent chacune des contributions originales qui ne se laisse enfermer dans aucun modèle prédéfini

EXPLICATION DE TEXTE : Théorie de la justice, 1971 de John RawlsIntroduction :Des sociétés primitives jusqu’à nos jours, on observe que les hommes ont tenté d’élaborer des règles pour organiser la vie en société. Pour préserver la paix sociale, ces règles devaient porter des principes d’égalité ou d’équité. Lorsqu’on visite les périodes historiques de l’humanité, on remarque que des conflits jalonnent l’histoire des hommes en raison d’injustices de différentes natures (ségrégations, exploitations…)

et se préoccuper de ce qui touche l'homme directement. Une maxime du temple de Delphes l'attire et il la reprend: connais-toi toi-même. Il marque ainsi la séparation avec les anciens philosophes. Il faut s'efforcer de mettre l'excellence en pratique et c'est en soi-même qu'on le découvre. Socrate se refuse à enseigner quoi que ce soit. Il invite chacun à revenir sur ses propres pensées et à prendre conscience de ce que l'on croyait savoir. Il y a l'ignorance assumée (la seule chose que l'on