Thèse De Protagoras

Newton propose d'ailleurs que l'observation des phénomènes précède habituellement la démonstration : «  the whole burden of philosophy seems to consist in this - from the phenomena of motions to investigate the forces of nature, and then from these forces to demonstrate the other phenomena ». L'application de cette méthode a permis à Newton et à ses contemporains de décrire les forces en mécanique (en particulier celle de la gravité) et de construire un modèle corpusculaire de la lumière.

fasciste; car le fascisme, ce n'est pas d'empêcher de dire, c'est d'obliger à dire” (R. Barthes, leçon inaugurale au Collège de France) •La linguistique critique (R. Fowler, G. Kress, R. Hodge, T. Trew, Language and Control, 1979) –prolongement de la thèse d’Orwell, 1984 •la ‘novlangue’ est simplifiée et ne permet pas d’exprimer de concepts subversifs –le discours est intimement lié aux relations sociales; il génère, propage et maintient des inégalités réelles et des idéologies –critique des médias

problème de savoir quel type d’argumentation utilise Platon pour renforcer ses thèses : argumentation philosophique (lorsque les arguments suivent un parcours rationnel), argumentation par l’autorité du mythe (lorsque le mythe devient matière à la thèse soutenue) ou encore quand le discours reste un pur éloge. Il convient donc, au cours de chaque analyse d’un discours, d’expliquer à quel type d’arguments il se réfère : mythique, philosophique ou simple éloge. PROLOGUE Le prologue

John Rauls théorie de la justice (1971). principe d'équité : toute loi doit être évaluée et appliquée par un juge (Aristote). Il reste cependant qu'Aristote contrairement à Platon ne fonde pas le pouvoir politique sur le savoir (comme c'était la thèse de Platon dans la république). Car il détermine la cité comme le lieu d'une réflexion politique ce qui est par essence chose publique et qui ne serait être le monopole de quelque uns fusse t-il détenteur de ce pouvoir particulier (et en l'occurrence

philosophique occidentale ; * la période grecque classique (Ve siècle av. J.-C.), qui commence avec Socrate à Athènes et se poursuit avec Platon, Diogène et Aristote. Ce même siècle est également celui de la sophistique représentée par Gorgias et Protagoras, entre autres ; * après les conquêtes d'Alexandre le Grand, vient ce que l'on a nommé la période hellénistique : Épicure, les Stoïciens ou les Sceptiques qui sont les penseurs les plus importants de cette époque. L'École d'Athènes (détail

Cette position irrite Platon qui ne fait aucune place aux idées de Démocrite dans ses écrits - pas même pour les réfuter - ni n'y mentionne son nom. D'autres philosophes, avant Socrate, avaient aussi des points de vue sceptiques, comme Prodicus et Protagoras. Au troisième siècle avant JC, les philosophes grecs Theodore[27] et Straton de Lampsacus[28] ne croyaient pas non plus aux dieux, ce qui n'est pas équivalent à dire qu'ils ne connaissaient ou n'éprouvaient aucune transcendance[29] . Socrate (-471

(de la caverne) -> amener l’homme à sortir de sa condition de prisonnier du monde matériel et à se libérer par les idées, la raison, qui doit gouverner le désir et les émotions. Il réagit ainsi à la conception utilitaire de l’enseignement pour Protagoras et les Sophistes : celle-ci vise l’adaptation fonctionnelle de l’individu à sa société. Platon propose une conception libérale de l’éducation, orientée vers le développement de l’esprit indépendamment de toute visée utilitaire. Pour lui, l’éducation

finalement Machiaval serait celui qui a dégagé et systématisé la doctrine politique de l'Église, les États bourgeois ont pris modèle sur le pouvoir a ensuite donné du « valeur » et du « habileté », lesquels ne sont pas aussi modernes que « qualité » : « Thésée n'aurait point fait éclater sa vertu, si les Athéniens n'avaient été dispersés. Le bonheur de ces grands hommes naquit donc des occasions ; mais ce fut par leur vertu qu'ils surent les connaître » (voir p. 37 P., p. 275 R.). On peut comparer avec

savoir si Dieu existe. Dès lors, il est possible de chercher à comprendre quelque chose aux actions des hommes comme êtres e la nature, sans pour autant nier leur liberté. - La thèse kantienne est essentielle : c’est elle qui ouvre la possibilité d’un savoir objectif de cette subjectivité qu’est l’homme. Accepter cette thèse, c’est ouvrir le champ de l’anthropologie (i. e. : de la connaissance de l’homme). Seule l’histoire intéresse Kant dans cet article : mais son geste dépasse la seule histoire pour

social comme nature ou comme convention. Avant Aristote; Hérodote (5ème siècle AVJC), distinction entre lois naturelles et lois conventionnelles (ou normatives) 1. L'artificialisme social des sophistes (fin 5ème siècle et début 4ème siècle AVJC). Protagoras : «L'homme est la mesure de toute chose.» • 2 concepts se sont toujours opposés jusqu'à aujourd'hui : une conception harmonique du sociale contre une conception conflictuelle. II. De la Renaissance aux Lumières. Rappel : les périodes historiques;