Théophile Gautier La Montre

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857 La Mort dans la vie La mort est multiforme, elle change de masque  Et d'habit plus souvent qu'une actrice fantasque;  Elle sait se farder,  Et ce n'est pas toujours cette maigre carcasse,  Qui vous montre les dents et vous fait la grimace  Horrible à regarder. Ses sujets ne sont pas tous dans le cimetière,  Ils ne dorment pas tous sur des chevets de pierre  A l'ombre des arceaux;  Tous ne sont pas vêtus de la pâle livrée,  Et la

qui la donne ou qui la fait gagner ? Gérard de Nerval. Théophile Gautier né à Tarbes le 30 août 1811 et mort à Neully-sur-seine le 23 octobre 1872, est un poète romancier, peintre et critique d’art francais. Ce poème est un extrait du recueil Émaux et camées publié pour la premiére fois en 1852, ce dernier est un éloge artistique de la beauté de la femme. Le poème de la femme Un jour, au doux rêveur qui l'aime, En train de montrer ses trésors, Elle voulut lire un poème, Le poème de son beau

la curiosité et laisse présager une certaine tension dramatique dans l'histoire.Cette illustration montre Romuald et Clarimonde à la mort de cette dernière. Théophile GautierThéophile Gautier était un écrivain français né en 1811 à Tarbes et mort en 1872 à Neuilly-sur-Seine. Il est surtout connu pour son œuvre poétique, mais il a également écrit des romans, des nouvelles et des critiques d'art. Gautier était également un grand défenseur de l'esthétique du mouvement romantique et a été un membre important

celui des grands comédiens : Frédérick Lemaître, Mademoiselle Rachel, Mademoiselle Mars, Marie Dorval et Mademoiselle Georges sont les premières grandes vedettes de la Comédie-Française ou du boulevard du Crime. Le Public : Comme nous le montre le film « les enfants du paradis » le public de l’époque était très agité, n’hésitait pas à crier, siffler, huer, ou acclamer… Il exprimait ostensiblement ses impressions, ses sentiments. Le public pouvait s’asseoir dans le dernier étage

métamorphoser le réel, de déchiffrer les symboles et d’accéder à l’univers des idées. Cette conception du poète médiateur du sacré, et voyant privilégié, fut celle de la Pléiade (XVIème siècle), reprise ensuite par les poètes du XIXème siècle, Hugo, Théophile Gautier, Baudelaire et Rimbaud qui assimile même le poète à Prométhée. B. La poésie engagée La poésie engagée et philosophique, moins proche de nous, tient cependant une place notable à l’époque. Les prises de position religieuse au milieu des

[...] et de mâts » v.15 ; des pierres précieuses « or » v.28, « [...] le rubis, la perle, le saphir » v.32 ; de la chaleur ardente « brûlante Afrique » v.6, »l'ardeur des climats » v.12, « l'éternelle chaleur » v.20. Tous ces champs lexicaux nous montre la volonté de l'auteur de nous emporter dans son rêve crée par cette chevelure incantatoire. L'apport du rêve exotique est décrit de manière sensuelle par l'intermédiaire de la chevelure et son parfum. Cette sensualité permet au poète de partir dans

et bien qu’ils apprécient leur travail l’un l’autre, ils ne mâchent pas leurs mots si celui-ci leur déplait. Théophile Gautier. Hugo le rencontre grâce a son ami Nerval qui lui présente en juin 1829. Il est alors un jeune auteur et bénéficie du soutient d’Hugo qui vante ses mérites. Il est notamment soutenu par Hugo lorsqu’il a des difficultés financières. Il deviennent amis Gautier partage alors le couvert avec les Hugos une fois par semaine. Alfred de Vigny. Hugo le rencontre en 1820 chez

femme fatale….Quelle relation les personnages féminins entretiennent avec les personnages masculins? Elles vont chercher à être une femme désirable, à fasciner et plaire... En littérature ou encore au cinéma cette femme fatale est présente et nous montre bien l'image qu'elle veut donner.... La femme fatale utilise le pouvoir de la sexualité pour piéger le héros malchanceux. Elle séduit dans certaines situations, elle use du mensonge et de la contrainte plus que du charme(2).L’homme qui sera séduit

Le corpus de textes que nous nous proposons d’étudier comprend quatre poèmes : “L’albatros” de Charles Baudelaire, tiré du recueil Les Fleurs du Mal et publié en 1857 ; “Le pin des Landes” tiré du recueil España de Théophile Gautier, publié en 1845 ; “Le crapaud” de Tristan Corbière publié en 1873, tiré du recueil Les Amours jaunes ; et “Le lombric” du recueil Les Animaux de tout le monde, publié en 1990. Dans chacun de ces poèmes, une métaphore animale ou végétale est créée. Nous allons expliquer

fait polémique. Nombreux sont les poètes qui font de leur métier, et de leur art, un véritable enjeu pour eux-mêmes, mais également pour autrui. Mais les avis divergent en ce qui concerne le rôle de cet art au sein de notre société. En effet, Théophile Gautier affirme qu’« Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien », Malherbe quant à lui nous indique que si l’on en suit cette idée, la poésie est belle car « Un bon poète n’est pas plus utile à l’État qu’un bon joueur de quilles. » À