Théorie De La Congruence

de cohérence. 1.1. Un paradigme implicite de cohérence de la culture : La cohérence regroupe deux significations distinctes : une première conception de la cohérence exprime l’idée de conformité ou de couplage, et s’apparente au principe de congruence (selon le Robert 3 « qui convient bien, qui s’applique bien ») largement répandu dans la littérature anglo-saxonne et plus particulièrement en contrôle de gestion. Cette vision systémique de l’organisation associe la performance au niveau de cohérence

des champs très variés : le loisir, l'action sociale, la prévention, l'éducation, la politique etc. Leur rôle sur le territoire national est considéré comme indispensable car elles construisent une offre de services et de produits qui, selon la théorie du « bien être social » (Trouvé, 2004), ne sont pris en charge ni par le secteur public, ni par le secteur marchand. Cette troisième économie s'est développée sur le principe « de non-domination du capital sur l'activité » (ibidem) qui a permis

issus de familles aisées, par exemple) L’inégalité, un mal dont peut naître un bien ? John rawls > La théorie rawlsienne : tente de définir les pcpes d’une justice distributive, d'une répartition juste entre l’ensemble des membres de la sté d’un certain nombre de ressources sociales éminentes comme la richesse, le pouvoir, les droits, les libertés, les opportunités de vie … (cette théorie s’inscrit ds la tradition du libéralisme politique, tradition qui n’a cessé de se débattre entre liberté et

personne (Carl Rogers). LE LIVRE Que font au juste les éducateurs ? Si nos objectifs et nos tâches font l’objet d’un large consensus (protéger, aider, encourager l’autonomie…), nos pratiques concrètes restent largement dispersées et invisibles. Les théories parlent plus de nos publics, que de nos stratégies et de nos petites tactiques, de ce qu’au final nous choisissons de dire ou de faire. Ce livre invite à repartir de récits de « moments éducatifs ». Il s’agit d’exemples précis de détours, qu’un éducateur

and the life cycle (Identité et le cycle de la vie) suivi, en 1968, de Identity : Youth and crisis (traduit en français sous le titre Adolescence et crise. La quête de l’identité, 1972). Dans ces trois ouvrages (principalement), Erikson élabore une théorie du développement psychosocial fondée sur des observations cliniques (de patients, mais aussi à partir de l’étude de la biographie d’hommes célèbres tels que Martin Luther, le Mahatma Gandhi, Georges Bernard Shaw, etc.) où le concept d’identité tient

La fragmentation politique du continent. Le lieu d’invention de l’Etat-nation • Développement de l’Etat moderne • Affirmation de l’idée de nation. Qui tend à se confondre avec l’Etat (XVIIIe et XIXe). (Phénomène de « congruence » chez Ernst Gellner) ( c une épok pd lakelle l’idée de nation se développe. Ce phénomène d’intéraction nous dit qu’il n’y a pas une forme unique d’Etat. • Uniformité ou pluralité des Etats ? ( ya une pluralité de formes d’Etat

bouleversements organisationnels liés à la socialisation des moyens de production et du pouvoir : 28  La remise en cause des formes organisationnelles centralisées : 28  La remise en cause de la division du travail 29 2. Théorie autogestionnaire et nouvelles théories organisationnelles : 31 2.1. Deux perspectives « subversives » quant à la conception « classique » des organisations : 31 2.2. Une même « image » de l’organisation axée sur les activités informationnelles, communicationnelles

peut s'avérer efficace. Le tout est de rester centré sur la personne et d'envisager celle-ci dans toute sa complexité humaine. (8) De l'évolution brutale chez les pensionnaires de leur estime-de-soi, de leur relation aux autres, de leur niveau de congruence, de leur buts et besoins. La rupture d'avec le milieu toxicomane, le renoncement du recours à la matière, le questionnement de la place occupée dans la famille ou la société (le groupe) sont autant d'éléments qui modifient de façon parfois brutale

concerne tout le monde et serait inhérente à l’homme. 2.3 La violence inhérente à l’homme C’est ce que nous dit Joseph Rouzel. Je partirai de cet axiome d’entrée de jeu : l’être humain est animé d’une violence fondamentale. M’appuyant sur la théorie freudienne, force est de constater qu’il y a, à la base pulsions, une violence irréductible. De fait, « l’homme n’est point cet être débonnaire, au cœur assoiffé d’amour, dont on dit qu’il se défend quand on l’attaque, mais un être au contraire

voire pas du tout la réalité de l’organisation. Par conséquent, les critères de définitions dichotomiques (le prescrit et le non-prescrit, le connu et le caché) présentés jusqu’ici sont pour les auteurs incomplets, et « constituent un vestige des théories classiques de l’organisation ». Ce qui occasionne une conception réductionniste de l’organisation sur la seule base de sa structure formelle. Or, le fonctionnement des organisations est rarement conforme au formel et l’informel y joue un rôle prépondérant