Théorie Des Bulles Spéculatives

Comment la crise s’est amplifiée ? 3. Le rôle des banques centrales 4. Les conséquences sur la Bourse (CAC 40) et évolutions à venir 5. Quelles protections pour les particuliers ? 6. Epargne et placements : que faut-il faire ? 7. Bulles et krachs : l’éternel recommencement ? Crise financière : comment celà a commencé ? Marche - 10 octobre 2008 - Auteur : Lafinancepourtous Debut de notre dossier sur la crise financière d’octobre 2008 avec les raisons qui ont lancé la crise

sous-produit de l'activité d'un casino, il risque de s'accomplir dans de mauvaises conditions. " Un beau commentaire de la part d'un observateur des effets de la finance contemporaine. Si ce n'est qu'on le doit à John Maynard Keynes en 1936, dans sa célèbre Théorie générale. Lorsque les banques deviennent l'un des premiers joueurs du casino, ce sont effectivement les économies qui en pâtissent : chaque crise financière se traduit par un affolement des banquiers, qui répugnent alors à prendre les risques nécessaires

forte présence de l’état dans la vie économique, la mise en place d’un système de redistribution, la mise en place d’investissement publique (théorie du multiplicateur d’investissement) pour accroitre la croissance économique. Cependant le paradigme keynésien repose sur le fait qu’on ne peut avoir une inflation et du chômage en même temps. En effet dans la théorie keynésienne on a : Chômage-> Baisse du pouvoir d’achat-> Demande<Offre -> Déflation. Cet arbitrage entre inflation et chômage

prix. On peut également dinstinguer un marché selon sa portée géographique, on parle alors de marché locale, nationale et internationale. Les marchés sont plus ou moins matérialisé selon le types de bien.( éco echangiste ou reseau d'info). La théorie économique définit le marché d'un bien par la rencontre de la demande collective et de l'offre collective. Marché et institution : elles sont indispensables à l'économie de marché. Distingue 3 : > financières : moyen de paiement > assurance :

PSYCHOLOGIE DE L’INVESTISSEUR La remise en cause de la théorie d’efficience des marchés est le point de départ de la finance comportementale. Selon l’hypothèse classique, les agents sont pleinement informés et rationnels, ils interprètent donc correctement ces informations, et ont pour seule motivation de maximiser leur « utilité financière ». Ils agissent en toute indépendance et leurs décisions mènent à un équilibre des prix. La théorie traditionnelle considère donc que l’évaluation d’une valeur

collective de la nation. Pourquoi l’inflation risque d’induire une mauvaise allocation pour 2 raisons : · Car elle vient perturber les choix d’investissements des entreprises. · Car elle suscite la spéculation et nourrit le développement des plus spéculatives. a. L’inflation perturbe les choix d’investissement. Dans l’analyse keynésienne comme dans la tradition néoclassique, l’investissement est une fonction décroissante du taux d’intérêt. Pour comprendre l’inverse on analyse la décision d’investir

des marchés peuvent être proposées (Keynes, Aglietta, Orléan) mettant l’accent sur les processus mimétiques à l’œuvre dans le domaine financier qui conduisent à l’apparition de “ bulles spéculatives ” où le prix des titres s’écarte durablement et cumulativement de leur valeur “ fondamentale ” à l’éclatement de ces bulles conduit alors à des perturbations économiques majeures pouvant générer un blocage durable de la croissance (krachs boursiers du 19ème, de 1929, crise asiatique de 1997-98)

innovations financières (nvx produits financiers) ( ( Libre circulation des capitaux financiers ( Cette libre circulation des capitaux va aboutir à la constitution de mouvements spéculatifs successifs qui vont eux mêmes être a l’origine de crises spéculatives à répétition qui entraine des crises éco (⇒ cho, précarité sociale). ( Ce chapitre va suivre le déroulement de la crise de 1929 et sa gestion politique (aux EU par Roosevelt) et le comparer au déroulement de la crise des subprime. - Quelles différences 

néoclassiques quand à eux ont mis en œuvre l’existence d’un effet d’accélération financière qui explique que lorsque les cours boursiers augmentent, la prime de risque bancaire diminue et l’offre de crédit se développe au profit de la spéculation. Cette théorie d’accélérateur financier fait désormais l’objet d’un relatif consensus : les postkeynésiens l’ont adaptée tandis que la plupart des économistes proches de l’école des nouveaux classique comme SCHWARTZ (2002), l’ont finalement admise car cela leur

de crises financières A. Avant les années 80, un État plus présent et peu de crises 1929 : krach boursier à New York  Grande Dépression avec crise économique mondiale ; tentative de relance par l’offre avec des mesures libérales  échec  théorie Keynésienne adoptée avec soutien de l’État (aux USA) IVème République Fr : l’État contrôle le secteur bancaire, les Institutions d’Investissement ainsi que de nombreuses grandes entreprises, grandes compagnies d’assurance nationalisées (après 1945