Théorie Paix Démocratique

PAIX ET GUERRE Nombre de mots : 1950 Dissertation philosophique par The Depth Le 15 mai 2009 1 En 2001, les États-Unis d’Amérique, avec la contribution de quelques pays alliés, ont envahi l’Afghanistan dans le cadre leur War on Terror. Le 20 mars 2003, la première puissance mondiale réitérait avec l’Irak, et ce, supposément pour les mêmes raisons. Ces évènements controversés, évidemment très médiatisés, ont été la source de nombreux débats et soulevèrent de nombreuses questions

Lorsque les moyens financiers ne suffisaient pas à trancher, les deux puissances s’affrontèrent militairement, comme ce fut le cas durant la guerre de Corée de 1950-1953. Dans ce contexte, les réalistes furent prépondérants et développèrent des théories solides sur lesquelles devait reposer l’action politique, comme celle que formula Morgenthau en 1948 : une vision réaliste doit impliquer que la stabilité internationale repose sur l’équilibre des forces, toute tentation de recourir à la violence

plus difficiles et les plus anormales. Mais pour tout observateur qui réfléchit, ce cours des choses est un argument de plus contre la théorie, défendue par Kautsky et tout le parti social-démocrate allemand, d'après laquelle la Russie, pays économiquement arriéré, en majeure partie agricole, ne serait pas encore mûre pour la révolution sociale. Cette théorie, qui n'admet comme possible en Russie qu'une révolution bourgeoise, d'où découle par conséquent, pour les socialistes de ce pays, la nécessité

représentation accordée au populus romanus renvoie à la démocratie.' Si nous fixons notre regard sur les consuls, le pouvoir apparaît monarchique, sur le sénat apparaît aristocratique, sur le peuple semble être nettement une démocratie. Il reprend les théories grecque de Platon et Aristote sur la dégradation des régimes purs : il existe une corruption résultant d'une loi de la nature qui appartient à l'essence des régimes tout comme la rouille fait partie du fer. Cette décadence se transforme en tyrannie

Dissertation souverainté deeifnit l'État - TD CONSTITLA SOUVERAINETÉ EST-ELLE UN CONCEPT NÉCESSAIRE À LA DÉFINITION DE L’ÉTAT ? André CARRÉ DE MALBERG en 1920, dans sa Contribution à la théorie générale de l'État définit l’État en tant que « communauté d’hommes, fixée sur un territoire et possédant une organisation d’où résulte, pour le groupe envisagé dans ses rapports avec ses membres, une puissance supérieure d’action, de commandement et de coercition ». En somme, l’État trouve son

à Louis XIV et qu'il aurait prononcée le 13 avril 1655 devant les parlementaires parisiens en lit réunit en lit de justice pour éviter toute fronde. Cette expression marque la personnalisation extrême du pouvoir incarnée par un homme, qui dans la théorie absolue de droit divin est dit « lieutenant de sur terre ». Le religieux et le sacré fonde ici le pouvoir politique car pour reprendre les mots de Bossuet, le théoricien de la monarchie absolue de droit divin « Dieu établit les rois comme les ministres

autres intellectuels, en dénonçant toute soumission au marxisme. Il juge l'explication d'une société basant sur la seule propriété des moyens de production comme médiocre. Il explique que des deux cotés de la frontière des Etats socialistes et démocratiques occidentales, se trouvent des sociétés industrielles avec des dénominateurs communs : de l'accumulation de capital jusqu'à la division du travail. Dans son document Démocratie et totalitarisme, publié en 1965, Raymond Aron envisage d'étudier

par exemple) et être entendus par les décideurs de la politique mondiale. I L’impossible unipolarité Le système bipolaire se caractérisait par une conflictualité unifiée et ordonnée. On admet même qu’il organisait globalement la guerre et la paix. Comme le dit Bertrand Badie dans son article intitulé "Les pièges de l'unipolarité", depuis 1989, il n'y a plus de grille de lecture patente et reconnue de l'ordre international. Les questions soulevées par ce qui fut appelé le « nouvel ordre mondial

armées reste le président de la République L'impérialisme ou la volonté de puissance étatique Selon le théoricien prussien Carl von Clausewitz (1780-1831) : « la guerre est le prolongement de la politique par d'autres moyens. » Cette théorie pose qu'un conflit armé est « la suite logique d'une tentative d'un groupe pour protéger ou augmenter sa prospérité économique, politique et sociale aux dépens d'un autre ou d'autres groupe(s) » (Harris, p. 54). Soit une définition de la guerre impériale

des relations internationales. C. Hill est ici assez convaincant lorsqu’il cherche à démontrer la nécessité de renouveler l’étude de la politique étrangère en tenant à distance les « méta-théories » des relations internationales (telles que le réalisme ou le constructivisme) et en utilisant plutôt des théories à portée intermédiaire, comme le postulat selon lequel les démocraties ne se font pas la guerre (chapitres 1 et 2). Un autre aspect intéressant de sa démarche consiste à sortir la politique