Théorie Quantitative De La Monnaie De Friedman

Monnaie et financement Objectifs : Comprendre la fonction de la monnaie et la nature des instruments de la politique monétaire Comprendre les conséquences sur l’économie réelle des différents systèmes de financement et des marchés financiers Compétences : être capable de Interpréter les décisions des Banques centrales et l’évolution des indices monétaires et financiers Comprendre l’organisation et le fonctionnement du système financier Chapitre 1 : Fonctions et formes de la monnaie La

maximisation du profit(pour les producteurs). Cette théorie explique comment les décisions d’individus poursuivant des fins qui leur sont propres, aboutit, non à l’anarchie mais à une situation socialement satisfaisante. Hahn disait « Les prix d’équilibre imposent l’ordre dans le chaos potentiel ». Arrow en fait une présentation achevée (prix Nobel 1972), et Debreu (prix Nobel 1983). Le modèle de concurrence parfaite : modèle de référence de la théorie microéconomique Le modèle de l’EG tel qu’il a été

dettes des agents au cours de l’année. les variations des créances sont enregistrées nettes des recouvrements; de même les variations de dettes sont comptabilisées nettes des remboursements. Flux nets de créances Compte Financier Flux nets de dettes - Monnaie ! - dépôt non monétaire et bons à courts termes - Dépôts non monétaires ! - Obligations - Obligations ! - Actions - Actions ! - crédits à LT - Crédits à court terme ! - Crédits à MT - Crédit à MT et LT ! - Réserves primes-assurances ! soldes des créances

technologique qui modifie la fonction de production. Elle permet avec la même quantité de travail et de capital d’obtenir un meilleur volume de production. De manière générale, on parle de croissance extensive quand elle résulte de l’augmentation quantitative des facteurs de production. On parle de croissance intensive quand la croissance provient d’une utilisation plus efficace des facteurs de production. La croissance relève des gains de productivité. La croissance est un phénomène relativement

incités à rester chez eux, et donc à ne pas chercher du travail, s'ils sont aidés. Les industriels font pression à la hausse des salaires pour les inciter à chercher un travail. RUEFF (1931) : "L'assurance chômage cause du chômage permanent". Théorie du Job search : être au chômage est un travail à part entière, en terme de recherche d'emplois, de collecte d'informations. Un cadre à tendance à rester plus longtemps au chômage qu'un ouvrier, car un salaire plus important et des aspirations plus

et marque le retour au premier plan des politiques monétaires qui, comme leur qualificatif l'indique, privilégient les outils liés à la monnaie et à la distribution du crédit. Ce retour est largement lié au retour en grâce des théories néolibérales. Celles-ci, en effet, contestent l'efficacité des politiques induites par la théorie keynésienne auxquelles elles attribuent volontiers les difficultés rencontrées depuis le début des années 1970 par les grandes puissances

marchés. Les évolutions du capitalisme : Robert Boyer ( régulationniste*) : fait rentrer l’Histoire dans l’économie politique pour comprendre comment la finance a réussi à dominer le monde. « les théories de économistes sont filles de l’Histoire et non le moteur ». L’approche régulationniste : Théorie qui se donne pour objet la compréhension des transformations en longue période et la diversité des capitalismes. La fin du régime fordiste : Régulationnisme explique les années 70 (Faible productivité

Elle est neutre vis-à-vis de l’action st de la morale. Vis à vis de l’action, on est amené à distinguer doctrine économique et la théorie économique. La théorie décrit ce qui est et ce, dans un but d’explications. La doctrine quant à elle prescrit ce qui devrait être en vu d’application. La théorie est neutre alors que la doctrine, il y a l’engagement. Ainsi, la théorie est le jugement d’existence, et la doctrine un jugement de valeur. Vis-à-vis de la morale, l’économie ne peut intègre l’éthique

par la monnaie suggère que la hausse du niveau général des prix résulterait d’une émission de monnaie trop importante. Pour Milton Friedman, chef de file de l’Ecole monétariste et Prix Nobel d’Economie en 1972, « la cause de l’inflation est partout est toujours la même : un accroissement anormalement rapide de la quantité de monnaie par rapport au volume de production ». La justification de cette idée repose sur l’existence d’une relation économique, appelée « Théorie Quantitative de la Monnaie » ou

quelles en sont les limites et comment se manifestent-elles aujourd’hui? Tout commence par la crise des subprimes en 2007 qui frappe le secteur des prêts hypothécaires à risque. Cette crise s’accompagne d’un excès de la liquidité de la monnaie n’engendrant pas, paradoxalement, de l’inflation grâce aux crédits accordés par les banques centrales. C’est dans un climat de confiance que le taux d’intérêt va baisser ainsi que les prix des biens et services au long terme. Par contre, ceux des