Théâtre Vocation

texte de Schlanger : « Moteur de la vocation » Introduction -Judith Schlanger propose dans La Vocation une réflexion sur « la vocation moderne, cette version laïque de la vocation religieuse » (quatrième de couverture). Elle s’interroge tout particulièrement, dans son ouvrage, sur la vocation de savoir. -La réflexion part ici du postulat que la vocation est active par définition, et s’articule autour de la question suivante : quel est le « moteur de la vocation », le principe de cette action ?

Le texte est extrait de La Religieuse de Denis Diderot écrit en 1760-1781. Diderot est un auteur du XVIIIème siècle. Il étudie chez les Jésuites, mais abandonne rapidement sa vocation religieuse pour étudier la philosophie et la théologie. Diderot participe à l écriture de l’Encyclopédie. La religieuse est une œuvre romanesque. Il s’agit de mémoires d’une jeune fille, Suzanne, qui retrace sa vie, d’abord dans sa famille, puis dans trois couvents successifs. Ses « parents » ont décidés de ne pas

Lorsque Rabelais écrit Gargantua, sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier, il a l’intention d’amuser ses lecteurs mais aussi de les inciter à « sucer la substantifique moelle ». Ce roman original de par son sujet qui s’écarte du roman chevaleresque ou à vocation religieuse et de par ses personnages nous invite à réfléchir sur la notion de héros. Dans quelles mesures peut-on considérer Fère Jean comme un véritable héros ? Frère Jean, incarnation des valeurs humanistes - De moine, il devient soldat pour

alors devenu largement hereditaire, gere par des families sp6cialisees. Cet 6tat de fait est encourage par l'Etat, dont la gestion administrative des clerg6s favorise cette sp6cialisation familiale. Certains individus, eprouvant a l'age adulte une vocation religieuse, ne trouvent pas de place dans les diff6rents couvents ou monasteres organises par lignes - qu'il s'agisse de lign6es par le sang ou de lignees adoptives -, oui l'on entre a un Je tiens a remercier le professeur Kristofer Schipper qui

quelques jours d'intervalle. Rita avait déjà perdu ses parents depuis plusieurs années et maintenant, en l'espace de quelques mois, elle perd son mari et ses deux enfants. RELIGIEUSE Maintenant qu'elle se retrouve seule ici-bas, Rita se souvient de sa vocation religieuse et elle va frapper à la porte du monastère de SainteMarie-Madeleine, à Cascia. L'abbesse la reçoit, l'écoute et promet de soumettre son cas au chapitre. Mais lorsque Rita vient chercher la réponse, l'abbesse lui fait savoir qu'il n'est

se traduit par la place accordée à la description de ces propres rêves : 8 paragraphes leur sont consacrés. Les deux premiers paragraphes constituent une présentation que le poète fait de lui-même, dans une vocation à la fois amoureuse et poétique, tandis que le dernier réaffirme sa vocation amoureuse, totalement inspirée par la femme qu’il voit dans ses rêves. Dans le début du texte, Eluard affirme le lien qui l’unit au rêve, en opposant lumière et obscurité : « en vérité, la lumière m’éblouit

le carton ondulé, la photographie ou des objets trouvés, l’artiste revendique néanmoins une filiation avec la peinture traditionnelle qu’il a pratiquée à ses débuts. Selon lui, la peinture se caractérise non par l’habileté de la main, mais par sa vocation religieuse et son pouvoir sacré. C’est dans ce sens que toute l’œuvre de Boltanski peut être perçue comme la continuité de la tradition picturale : en tant qu’elle interroge la religiosité de l’art. Tous les objets qu’il convoque dans ses dossiers

Le monachisme de Robert d’Arbrissel « L’attitude première qui définit proprement la vocation religieuse, est déterminée par la recherche d’une vie spirituelle plus ardente permettant, en imitant le Christ, d’entrer plus pleinement en union avec lui grâce à la prière, l’office liturgique et l’ascèse ». Comme l’écrit Marcel Pacaut dans son ouvrage l’ordre monastique et religieux au moyen-âge, c’est ce but ultime qui pousse les plus assidus des clercs dans la foi, à se réfugier dans le monachisme

siècle. Rabelais né en Touraine en 1483 ou 1494, près de Chinon. Son père étant avocat, il entame très tôt des études de droit jusqu’en 1510, date à laquelle il entre comme novice dans l’ordre franciscain. Rabelais consacre les années suivantes à sa vocation religieuse si bien qu’en 1520 il est ordonné prêtre au couvent de Fontenay-le-Comte. Il se découvre alors une passion pour les textes datant de l’Antiquité, qu’il entreprend aussitôt de traduire. Jugeant d’un mauvais œil cet intérêt croissant pour

se traduit par la place accordée à la description de ces propres rêves : 8 paragraphes leur sont consacrés. Les deux premiers paragraphes constituent une présentation que le poète fait de lui-même, dans une vocation à la fois amoureuse et poétique, tandis que  le dernier réaffirme sa vocation amoureuse, totalement inspirée par la femme qu’il voit dans ses rêves. Dans le début du texte, Eluard affirme le lien qui l’unit au rêve, en opposant lumière et obscurité : « en vérité, la lumière m’éblouit »