Théététe

L’ecrit: pensee sans contexte qui la fait naitre Dans le Politique: Platon: le second qui importe, rend l’interlocuteur apte a trouver la premiere La pensee selon un sophiste: le dialogue interieur et silencieux de l’ame avec elle-meme Dans le Theetete: penser:ame / dialoguer: s’adresser a elle-meme questions et reponses( affirmation a la negation) Les Dialogues : problemes d’authenticite/ chronologie Vocabulaire de Platon: la stylometrie: des datations sures Des dialogues surs: socrate/ gorgias/criton/critias/Protagoras/sophiste

universelles). L'expression « chacun sa vérité », devenue un lieu commun, illustre bien le relativisme : aucune opinion n'est vraie absolument, «tout se vaut, tout peut être affirmé». • Cette difficulté a été mise en évidence par Platon qui, dans le Théétète, reprend les thèses du sophiste Protagoras : celui-ci affirmait en effet que « l'homme est mesure de toutes choses », autrement dit, que la ou plutôt les vérités dépendent des perceptions, sentiments ou opinions de chacun. Si la connaissance se réduit

d’être relative et non absolue. On peut donc se demander si lorsqu’on dit « à chacun sa vérité », le mot de vérité garde un sens et si oui lequel.   On peut effectivement soutenir comme le sophiste Protagoras selon le témoignage de Platon dans le Théétète que la vérité réside précisément dans le fait que l’homme au sens de l’individu est ce à partir de quoi il y a vérité. On appelle vrai ce qui nous paraît être et qui donc est pour nous. On appelle faux le contraire. De sorte que lorsque nous changeons

information immédiate qui les rends crédible. Ainsi pour Epicure les sens sont sources de nos connaissances. b. Critique de ce critère Sensualisme est une doctrine qui considère que les sensations est la source de nos connaissances. [Platon-Théétète passage entre 185a et 186a] les sensations sont indépendante les unes des autres [Kazimir Malevitch-carré blanc sur fond blanc]. On peut reprocher à la connaissance sensible de nous livrer qu’une ombre de la réalité [Platon-Livre 7 de la république]

choses, de celles qui sont comme elles sont, de celles qui ne sont pas comme elles ne sont pas») et des témoignages, notamment de Platon, qui, outre le dialogue cité et de nombreuses allusions, discute longuement sa doctrine de la connaissance dans le Théétète. La pensée politique de Protagoras est originale et fonde rationnellement la pratique grecque de la démocratie sur la nécessité, également partagée à l'origine, de la vie commune. On en aura une idée par son récit du mythe de Prométhée dans le Protagoras

les yeux au ciel, il tomba dans un puits. Une servante de Thrace, fine et spirituelle, le railla, dit-on, en disant qu'il s'évertuait à savoir ce qui se passait dans le ciel. et qu'il ne prenait pas garde à ce qui était devant lui et à ses pieds." Théétète On peut se demander ce qu'il pouvait bien voir là-haut qui lui fît négliger son intérêt personnel. Thalès et les Mathématiques : Thalès démontra une multitude de choses tels que : -les angles à la base de tout triangle isocèle sont égaux

les premiers penseurs aux spéculations philosophiques en l’illustrant avec les activités de recherches des premiers philosophes. On reconnait l’influence de Platon sur son jeune élève, ce maître philosophique rétorquait déjà par lui-même dans le Théétète : “S’étonner, voilà un sentiment qui est tout à fait d’un philosophe. La philosophie n’a pas d’autre origine (…)”. Enfin, il déduit la spécificité de l’actiité philosophique de cette origine première: elle n’aurait qu’un but unique qui serait de

critiques basé sur la réflexion et enfin donner son avis avec des réponses rationnelles, objectifs, et universelles pour dire si on est d'accord ou non avec la ou les réponses étudiées, c'est à dire donner son opinion. Et comme le dit Platon dans Théétète (369-367 av. J.-C.) « C'est la vraie marque d'un philosophe que le sentiment d'étonnement. » -On philosophe parce que on s'émerveille et s'étonne, on prend conscience de notre ignorance alors on doute énoncé par Michelle de Montaigne « philosopher

disposition d'esprit. Cette définition est à l'origine des divers emplois du mot habitus en philosophie et sociologie. Genèse de la notionLes prémices de la notion d'habitus remontent à l'antiquité grecque. Le terme de hexis est débattu dans le Théétète de Platon : Socrate y défend l'idée que la connaissance ne peut pas être seulement une possession passagère, qu'elle se doit d'avoir le caractère d'une hexis, c’est-à-dire d'un avoir en rétention qui n'est jamais passif, mais toujours participant

en ce qu'il s'attacha à décrire les moeurs et coutumes des peuples qu'il a visités sans porter de jugement extérieur. On le retrouve aussi chez les sceptiques, qui remettaient en cause de façon plus générale l'accès à la vérité. Platon, dans le Théétète, décrit Protagoras de manière polémique comme l'un des défenseurs d'un relativisme individuel. L'idée de Protagoras est que « l'homme est la mesure de toutes choses ». Protagoras considère que chaque individu croit ce qui est vrai pour lui. En ce