Théététe

esthétique, rhétorique, sophistique, langage Idées remarquables Dialectique, Maïeutique, Allégorie de la caverne, Théorie des Formes, Participation, Réminiscence, Imitation, Philosophe roi Œuvres principales Le Banquet, La République, Phédon, Théétète, Le Sophiste Influencé par Pythagore, Parménide, Héraclite, Socrate, Mystères égyptiens A influencé La majeure partie de la philosophie occidentale ; une partie de la philosophie islamique modifier Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn), Athènes

chacun sa vérité », donc « a chacun son opinion » : on ne peut rien connaître des chose que de la façon dont elles nous apparaissent et nos jugement ne peuvent avoir d'autre portée de l'affirmation de notre expérience individuelle. Ainsi, dans le Théétète, Protagoras souligne à quel point chacun est enfermé dans l'interprétation qu'il fait du réel : « telle une chose m'apparaît, telle est pour moi ; telle elle t'apparaît, telle est pour toi ». on ne pourra jamais s'entendre sur une mesure commune

l'idée d'un cercle. Les grandes figures de ces nouvelles mathématiques sont Thalès (-625 – -547), Pythagore (-580 – -490) et l'école pythagoricienne,Hippocrate (-470 – -410) et l'école de Chios, Eudoxe de Cnide (-408 – -355) et l'école de Cnide, Théétète d'Athènes (-415 – -369) puisEuclide. Il est probable que cette école grecque des mathématiques ait été influencée par les apports mésopotamiens et égyptiens. Ainsi Thalèsaurait voyagé en Égypte13, et il aurait pu rapporter en Grèce des connaissances

idée, tout objet de la pensée quel qu'il soit, passe par le langage puisque le langage est l'expression et même plus, une condition de la pensée ; il ne peut y avoir de pensée construite sans langage, et c'est d'ailleurs ce qu'affirmait Platon dans Théétète, soutenant que lorsqu'une âme pense, elle ne fait que dialoguer, discuter avec elle-même, et une discussion, par définition, a nécessairement recours au langage, aux mots. Aussi et suivant cette même logique platonicienne, avoir une opinion signifie

dans le Théétète, de définir la science par rapport à la sensation. Le savoir doit pour Socrate s’établir sur une forme de stabilité ou de permanence, précisément pour que le discours puisse s’établir sans que les choses changent cependant qu’il se constitue, et surtout qu’il puisse avoir une valeur au-delà de l’instant où l’énoncé est produit. Il y a donc discours lorsqu’il y a prétention scientifique, et l’impossibilité du discours est en fait l’impossibilité de la science. Le Théétète, qui ne

le discours vrai) se concentrait sur l’être changeant. Protagoras soutenait la thèse suivante : «L’homme est la mesure de toutes choses, de celles qui sont pour ce qu’elles sont et de celles qui ne sont pas pour ce qu’elles ne sont pas»2. Dans le Théétète, Platon reformule la thèse de Protagoras en d’autres mots, ce qui pourrait nous sembler plus simple à comprendre : «Telles «m’apparaissent» à moi les choses en chaque cas, telles elles «existent» pour moi; telles elles «t’apparaissent» à toi, telles

trompeuses. Les sciences, par exemple les mathématiques, sont des questions objectives, car peu importe la personne et l’opinion de celle-ci, elle ne pourra s’objecter aux règles fondamentales des mathématiques. Platon, dans le texte étudié Le Théétète, présente l’idée de protagoras et le relativisme comme inacceptable. Pour présenter la première critique, Platon commence par la définition de la science. Il explique la connaissance scientifique. Un architecte, par exemple, est sage et connaissant

sophistique, langage, dialectique, | Idées remarquables | Dialectique, Maïeutique, Allégorie de la caverne, Théorie des Formes, Participation, Réminiscence, Imitation, Philosophe roi | Œuvres principales | Le Banquet, La République, Phédon, Théétète, Le Sophiste | Influencé par | Pythagore, Parménide, Héraclite, Socrate, Mystères égyptiens, Orphisme | A influencé | La majeure partie de la philosophie occidentale ; une partie de la philosophie islamique | Adjectifs dérivés | platonicien

chaque individu. En fonction de nos dispositions et de l’idiosyncrasie de chacun, (comportement propre à chaque individu, de son organisme face au milieu auquel il est exposé) nous percevons le réel différemment. Comme nous le montre PLATON dans Théétète au travers de son exemple « L’homme malade : les choses qu’il mange lui apparaissent amer et elles le sont Tandis que, pour celui qui est en bonne santé, c’est tout le contraire qui est et apparaît ». On pourrait voir alors que nous avons chacun

d'Héraclite, aucun être. Or, Platon renvoie dos-à-dos ces deux théories contradictoires, en estimant qu'elles ne peuvent ni l'une ni l'autre établir des conditions satisfaisantes pour la connaissance. Monde sensible et opinion Références principales : Théétète ; Timée La connaissance est pour Platon une activité de l'âme au contact de différents objets40. Parmi ces objets se trouve l'ensemble des choses sensibles dont la totalité constitue le monde. Le vivant, que Platon définit comme un corps animé,