Tirade Amour Impossible

intelligente car elle met en scène une langue d’une grande beauté. Nous pouvons le constater avec la langue de Musset, dans Les Caprices de Marianne , Marianne, Octave et Claudio font preuve d’esprit. Marianne a de nombreuses tirades : “je croyais qu’il en était du vin comme des femmes. Une femme n’est-elle pas comme ce flacon de cristal ? [...]” (II, 1). Octave et Claudio sont deux grand maître de la parole, nous le remarquons dans leur affrontement verbal, “En quelle façon juge

déclaration lyrique d’un amour absolu entre les jeunes gens annonce- t-elle en même temps l’issue tragique de cet amour ? Annonce du plan : 1er mouvement : du début à « Il l’embrasse », nous étudierons le personnage de Nawal, et la force de son amour pour Wahab. 2ème mouvement : de « J’ai un enfant dans mon ventre » jusqu’à la fin, nous étudierons l’aveu de la jeune fille et ses conséquences. I. Une tirade qui dévoile le personnage de Nawal, et la force de son amour pour Wahab. A. Le titre

Dom Juan, tirade de l'inconstance : Acte I scène 2Intro : • Libertinage présente sous 2 formes au 17ème : libertinage de mœurs qui place plaisir en avant et libertinage de pensée, courant intellect traverse siècle croyant et prône indépendance individu par rapport à toutes règles prédéfinies et extérieures à conscience• Héros a été une 1ère fois présenté comme 'épouseur à toutes mains, pourceau d'Épicure et grand méchant homme' par son valet, S.• Suite à remontrance permise de S, DJ se justifie et

et son valet, ainsi que lui-même. Cette tirade précise la tonalité de la pièce à la fois comique, ironique et parodique, et nous indique déjà du ton libertaire et polémique que pourra revêtir cette tragi-comédie qui, comme nous allons le voir, se présente comme critique des la scène d'exposition. Sganarelle nous laisse entendre quel type de vie mène Dj, il reste néanmoins évasif, utilise des euphémismes (< J'ai peur qu'elle ne soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise

poursuit tourments inévitables. Par des voeux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner ; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée, 15 D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain sur les autels ma main brûlait l'encens : Quand ma bouche implorait le nom de la Déesse, J'adorais Hippolyte ; et le voyant sans cesse, Même au pied des autels que je faisais fumer, 20 J'offrais tout à ce

belle-mère qu’il ne supporte plus, mais la vraie raison est qu’il veut partir du royaume pour s’éloigner d’Aricie son amour impossible. Quand tombe l’annonce de la mort de Thésée, Oenone, la servante de Phèdre, pousse cette dernière à déclarer sa flamme à Hyppolite. Mais Phèdre est devancée par Hyppolite qui va déclarer son amour à Aricie, un amour réciproque. Quand Phèdre déclare son amour à son beau-fils, elle lui dit de la tuer comme si elle était un monstre pour qu’il devienne un héros comme son père

devenait impossible. Dans le passage étudié, qui constitue la fin de la scène, Alceste malgré cette invitation à rompre, ne parvient pas à se détacher de son amour, et supplie la coquette de le rassurer, serait-ce par des men­songes . Après une dernière dérobade, sa jalousie éclate et l'entretien se termine sur un échec de la communication entre ces deux êtres qui ont une conception radicalement différente de l’amour. Axe de lecture : I> Le caractère excessif d'Alceste et son amour exclusif

S'inspirant de l'histoire antique, Racine met en scène l'empereur romain Titus, poussé par le Sénat et le peuple à renoncer à son amour pour Bérénice, reine de Palestine. C'est dans la quatrième scène de l'acte IV, juste avant le dénouement final, que se situe  le cœur de la tragédie. Impliqué dans une crise à la fois personnelle  et politique, tourmenté entre sa passion et son devoir, Titus s'interroge une dernière fois sur la décision qu'il a prise avant même le début de la pièce : "renoncer à

est horrifiée par son amour : ne plus aimer Hippolyte Celle qui aime : torturée c) Infernal Le moi désemparé : abondance du pronom personnel « je », Phèdre qui tente de combattre le sentiment, pour susciter notre pitié 3) Coup de foudre a) Ponctualité Soudaineté du sentiment : « me montra » passé simple à valeur ponctuelle Or, imparfait au début : état initial « semblait » Adverbe « à peine » b) Adoration pour Hyppolyte Antithèse : ennemi qui devient une idole Amour contre la religion : adverbe

Dom Juan, tirade de l'inconstance : Acte I scène 2 Intro : • Libertinage présente sous 2 formes au 17ème : libertinage de mœurs qui place plaisir en avant et libertinage de pensée, courant intellect traverse siècle croyant et prône indépendance individu par rapport à toutes règles prédéfinies et extérieures à conscience • Héros a été une 1ère fois présenté comme 'épouseur à toutes mains, pourceau d'Épicure et grand méchant homme' par son valet, S. • Suite à remontrance permise de S, DJ se