Tirade Amour Impossible

devenait impossible. Dans le passage étudié, qui constitue la fin de la scène, Alceste malgré cette invitation à rompre, ne parvient pas à se détacher de son amour, et supplie la coquette de le rassurer, serait-ce par des men­songes . Après une dernière dérobade, sa jalousie éclate et l'entretien se termine sur un échec de la communication entre ces deux êtres qui ont une conception radicalement différente de l’amour. Axe de lecture : I> Le caractère excessif d'Alceste et son amour exclusif

classique (contrairement au Cid de Corneille (1637) de l’époque baroque). En 1670, la France connaît une époque florissante, grâce à l’apogée de Louis XIV. On parle de « Grand Siècle » et de « Grand Versailles ». Bérénice, qui met en scène l’amour impossible entre Titus, empereur romain, et Bérénice, reine de Palestine, n’est pas sans rappeler l’amour de Louis XIV pour Marie Mancini, nièce de Mazarin. Le jeune roi ne put se marier avec celle-ci en raison du statut de cette dernière, et aurait alors

situe lors de l’aveu que fait Phèdre à Oenone, sa confidente, sur cet amour impossible. Nous allons étudier comment la passion est dramatisée dans cette tirade, en observant tout d’abord le retour aux sources, la passion destructrice et enfin la fatalité tragique. Tout d’abord, à travers cette tirade, Phèdre relate le coup de foudre qu’elle a eu pour Hippolite. On observe le champ lexical de la passion amoureuse : « incurable amour v283, je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue v273, trouble, âme éperdue

Commentaire littéraire : Nous allons étudiez un extrait du chapitre 7 de Pierre et Jean œuvré par Guy de Maupassant. On peut dire que cet extrait correspond à une tirade qui est celle de Mme Roland où elle avoue à son fils Jean la relation qu’elle avait et qu’il est le fils de Maréchal. Ce texte présente l’intérêt du discours descriptif dans un récit. Il vise à observer comment s’établiront l’alliance et l’union entre Mme Roland et son fils Jean. Dans un premier temps, Maupassant dénonce

rebondissements Don César revient à l'acte IV. A la fin, après avoir vécu avec la reine, et l’avoir vengée, Ruy Blas trouve pour sauver son amour pour la reine la force de lever son masque,et de lui révéler sa vraie identité, il tue alors son maitre et s’empoisonne. Malheureusement c’est lorsqu’il meurt qu’elle découvre qu’elle aussi l’aime,et lui crie son amour, Ruy Blas dans un dernier soupir la remercie et repose en paix. Mouvement littéraire: drame romantique. Le drame romantique est un genre

II- Une passion interdite I/Un amour non réciproque L’amour entre Phèdre et Hippolyte ne peut exister car c’est une passion non-réciproque. Elle se décrit comme étant atteinte « d’un incurable amour » pour lequel les « remèdes [sont] impuissants » (283). L’adjectif antéposé incurable fait allusion à la malédiction de Vénus, qui lui a infligé cet amour. Le mot impuissant placé à la rime prouve que Phèdre ne peut s’empêcher d’aimer. Cependant, Phèdre est détesté par Hippolyte, c’est elle qui « pressai[t]

la difficulté de l'aveu ; puis ensuite une longue tirade de Phèdre emportée par sa passion, annonçant, par prolepse, sa mort Conclusion -- cette peinture de la passion amoureuse nous montre le caractère inéluctable du destin de Phèdre : aimer ouvre sur une maladie du corps et de l'âme. De plus, la passion impossible, condamnée, donne à l'héroïne un caractère tragique. -- on peut remarquer que Phèdre, comme Bérénice, reste victime d'un amour fatal, lequel entraînera sa chute. Elle est d'hors

toujours déclaré mort (on saura par la suite qu’il est vivant) et la question du prochain roi commence à se poser. Phèdre commence par recommander son fils à Hippolyte, mais, entraînée malgré elle par sa passion, elle en arrive, elle aussi à déclarer son amour. Il la repousse avec horreur. Elle demande à mourir de la main d'Hippolyte mais cette demande n'est qu'un prétexte pour éprouver le jeune prince. Le refus implicite d' Hippolyte peut lui donner de l'espoir. Phèdre prend son épée pour se suicider mais

celui-ci et l’autre en est le cousin. L’extrait constitue une tirade, à peine interrompu par un hémistiche de Don César. Nous analyserons ces alexandrins pour montrer quels sont les caractéristiques du héros romantique. Pour y répondre, nous montrerons que le personnage vit une passion amoureuse exaltée, et que cette passion a des accents tragique. I. Les accents lyriques : une passion amoureuse exaltée : 1. L’émotivité de la tirade : Les didascalies : « avec emportement », « tombant

cet amour, qui en est triste et affaiblit, et inspire de la pitié au lecteur. Tout cela rend le texte plus accrochant et moins rébarbatif. Ces procédés peuvent être démontrés au v.30 « Je sentis le reproche expirer dans ma bouche » qui donne une hypothèse de culpabilité, « feintes douleurs » v.15 qui monte sa souffrance, mais aussi «ma faiblesse » v.10 qui prouve qu’elle est affaiblit et « mes malheurs » v.15 qu’elle éprouve de la tristesse. 3. … et qui est racontée dans une longue tirade. Eriphile