Tirade Amour Impossible

anthologie, sur la rencontre amoureuse. Mais ici, cette rencontre n'est pas un hasard : c'est avant tout une prise d'otage pour des raisons politiques, car Néron veut neutraliser politiquement Britannicus. Situation de la scène : début de l'acte II. La tirade de Néron dans cette scène n'est pas un progrès dans l'action qui n'avait pas avancé dans l'acte I. Ce dernier prend des mesures politiques terroristes pour écarter Br, qui n'a rien fait de mal. On apprend au début de la scène le double jeu de Narcisse

fils Hippolyte, mais cet amour est impossible d’une part parce qu’il aurait recours à l’inceste et d’autre part parce qu’Hippolyte aime une autre fille, ennemie de la famille, ce qui engendre la misère et le malheur de Phèdre. Dans l’extrait que nous allons analyser, Phèdre confie à Oenone, sa confidente, qu’ Hippolyte aime une femme autre qu’elle, Aricie une ennemie de la famille, on peut alors voir toute la détresse et la douleur qu’elle éprouve face à l’aveu de cet amour. Nous allons donc tenter

impliquant une double contrainte complexe, voire impossible à résoudre, entre deux valeurs contradictoires. Ce thème est notamment présent dans L’Illusion comique , tragi-comédie en cinq actes écrite par Corneille en 1635. La scène VI de l’Acte III en particulier consiste en un long monologue du personnage de Lyse, la servante d’Isabelle. Ayant précédemment fait face à l’annonce invraisemblable de Clindor déclarant son amour pour elle et affirmant ne courtiser Isabelle que

également ce qui est devenu un cliché du jeu amoureux : le balcon dans lequel se trouve la bien aimée interpellé par l’amoureux à ses pieds. Nous retrouvons également certaines instances d’énonciation propres au lyrisme. C’est ainsi que dans cette tirade amoureuse, nous retrouvons l’utilisation importante de la première personne du singulier : «mon langage », « je vais vous parler », « je ne sais », « j’ai tellement pris »…L’emploi du « je » privilégie et favorise en effet l’analyse du « moi ». Cela

Roxane à l'un de ses amis, le Marquis Valvert.Le rideau se lève. La Clorise commence. Lorsque Montfleury, l'un des acteurs de la pièce, déclame sa première tirade, Cyrano, cousin de Roxane, interrompt la représentation et chasse l'acteur de la scène. Valvert croit alors bon de se moquer de son nez ; mais Cyrano réplique par une merveilleuse tirade qui célèbre son appendice (c'est la fameuse : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap ! / Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »).

version de l'histoire qui n'est en réalité pas la sienne v21 : Elle emploie le mot amour , mot fort pour cette situation quelque peu inconfortable Vers 22 à 29. Même utilité du procédé de substitution v22 : Emploie du moi et du vous désignant elle même et Hippolyte à la place d'Ariane et Thésée v23:/ v24:/ v25:/ v26:/ v27:/ v28:/ v29:/ Fin de la longue tirade . V30 : Achevé par le vers 31 , constitue une tirade d’Hippolyte v31:/ v32 : Emploie du verbe juger, qui rappelle la faute commise

Comme elle l’exprime lors de son aveu à Hippolyte, Phèdre est confrontée à un amour interdit et donc impossible ce qui est l’une des raisons qui en fait un personnage tragique. On remarque, au vers 26, le parallèle entre le fils naturel de Phèdre et le fils de son mari : « Tremblante pour un fils que je n’osais trahir ». Ici, Phèdre dit qu’avouer son amour pour son « beau-fils » est une trahison pour Hippolyte mais aussi pour son fils et donc toute sa descendance.

après avoir bravé l’interdit rencontre la fatalité et est sacrifié ce qui le conduit à la mort, ceci est habituel dans les pièces théâtrales dramatiques. Ensuite, le mélange des registres, passant du pathétique, notamment dans les deux premières tirades de Ruy Blas puis au lyrique quand le valet demande le pardon et que celle-ci le lui donne puis enfin au tragique en fin de scène car l’amour y était réciproque. Cette scène est bien contraire aux règles des autres genres théâtrales. En effet, elle

2) Une longue tirade significative. Le Duc est exclu de l’aveu. Mme de Clèves anticipe les réponses du Duc. Ex : «  Je sais que... » ; «  mais ». - Mme de Clèves est seule à parler monologue. - Seul intervention du Duc, «  Ah ! Madame » exprime sa douleur. 3) Un bilan lucide. - Evoque la passion de M. de Clèves pour elle. - Analyse l’amour de M. de Nemours. - Analyse les infidélités du Duc (Mme de Thévinier). - Topos romanesque ; amour refusé

scène une histoire d’amour impossible à la cour d’Espagne du XVIIème siècle entre la reine et un valet. La scène 4 de l’acte V correspond au dénouement de l’œuvre. Dans la scène précédente, Ruy Blas vient de tuer Don Salluste, son maître qui se servait de lui pour se venger de la reine. Celle-ci avait en effet quelques années plus tôt, condamné le comte à l’exil après avoir déshonoré une fille de sa cour. Dans l’extrait étudié, Ruy Blas se suicide à cause de son amour pour la reine et l’acte meurtrier