Tirso De Molina Registre

l’affiche, après seulement 15 représentations. L’œuvre est l’objet de polémique : certes Molière reprend un mythe qui parcourt toute l’Europe, un mythe bien connu du public du XVIIème siècle : celui d’un seigneur espagnol (créé au théâtre par Tirso de Molina, en 1630) qui mène une vie déréglée et criminelle. Mais le Dom Juan de Molière est une pièce subversive ou le héros est un être révolté qui incarne le libertinage. Dans cette scène d’exposition, le valet Sganarelle, une tabatière à la

reprend un sujet à la mode déjà illustré par l’espagnol Tirso de Molina, est une tragi-comédie qui raconte la vie dissolue d’un libertin. Si Molière est considéré comme un classique, Dom Juan est néanmoins une pièce d’un genre hybride, une tragi-comédie, qui fait plus d’une entorse aux règles classiques, ainsi elle refuse la règle des trois unités, est écrite en prose, se finit mal ce qui est contraire au code de la comédie et mélange les registres. De plus, le héros est plutôt un représentant du mouvement

conclurai sur ce point en vous faisant remarquer que la mise en scène de Jacques Lasalle qui fut, à raison, plébiscitée au festival d'Avignon de 1993 durait elle aussi trois heures. De même mon choix de confier à Loïc Corbery le rôle de Don Juan et les registres changeants de son jeu ont fait l'objet de vives critiques. Trahison à nouveau ? A ceux qui désapprouvent le fait de peindre Don Juan en jeune premier, je réponds qu'au contraire je n'en peux plus de voir des Don Juans grisonnants, de sombres hidalgos

faire interdire Tartuffe. En effet, cette pièce, qui reprend un sujet déjà illustré par l’espagnol Tirso de Molina, est une pièce de théâtre qui raconte la vie dissolue d’un libertin. Si Molière est considéré comme un classique, Don Juan est néanmoins une pièce qui fait plus d’une entorse aux règles classiques, ainsi elle refuse la règle des trois unités, est écrite en prose et mélange les registres. De plus, le héros est plutôt un représentant du mouvement baroque, de par son inconstance et ses tromperies

Français : commentaire littéraire Nous allons étudier la scène 5 et 6 de l'acte V extraite de Dom Juan. Cette pièce écrite à l'origine par l'auteur espagnol Tirso de Molina en 1630, fut reprise par Molière; auteur de nombreuses pièces de théâtre du XVII ème siècle. Dom Juan, tragi-comédie qui raconte la vie dissolue d'un libertin défiant la morale de l'époque, est joué pour la première fois en 1665. Publiée en 1748, cette pièce connait un succès considérable jusqu'à ce qu'elle soit secrètement

en 1664 qui est censurée (elle critique l’Eglise). il écrit alors Dom Juan (pers eponyme), qui met en scène un personnage issue de la noblesse, séducteur, libertin et athée. Pers inspiré de nb myths, reprend sujet de la piece de l’espagnol tirso de molina Dans cette scene dom juan vient d’entrer sur scene pour la premiere fois et explique ds longue tirade sa philosophie. Elle repond a la description faite par sganarelle dans la scene precedente qui nous présentait un etre odieux I) La vision

transforme et disparaît - la statue parle - la terre s’ouvre pour engloutir Dom Juan. « Deus ex machina » (artifice qui permet de régler le problème - le feu dévore Dom Juan ->Tout participe à la destruction du héros. 2) le mélange des registres - mort du héros tragique, tension dramatique : le héros est dépassé par des forces qu’il ne peut pas contrôler - comique de caractère : Sganarelle se veut savant. Il réclame ses gages lors de la mort de son maitre, propos décalés. II. Un dénouement

toutes les ressources de la rhétorique (hyperbole, antithèse, image, périphrase…) III. Le théâtre Le baroque a une dimension spectaculaire, engouement pour le théâtre dans toutes l’Europe, en particulier en Espagne avec un trio : - Tirso de Molina => Don Juan, Le Trompeur de Séville - Lope de Vega - Calderon Production théâtral foisonnante et se caractérise par une grande liberté (apparition de cadavre…) on ne tient pas lieu de la bienséance, et de la vraisemblance, apparition

mais qui reste comique (acte V, scènes 4, 5 et 6). On sait que Dom Juan est emporté dans les flammes de l'enfer par la statue du Commandeur. Dom Juan meurt, on pourrait se croire dans le dénouement d’une tragédie. Mais très rapidement, le registre comique revient au galop avec la réplique finale de Sganarelle : « Mes gages, mes gages ! » ; Sganarelle est peiné, non de la mort de son maître mais de la perte de son argent. Le châtiment de Dom Juan peut paraître exemplaire : un homme qui défie

ACTE II Scène 2 DOM JUAN Dom Juan est une des pièces les plus appréciées du public. Écrite en 1665, d’après une œuvre de Tirso de Molina, c’est une pièce qui est envoûtante et qui, aujourd’hui est devenue un véritable mythe. Cette pièce décrit un personnage infidèle, séducteur, libertin et blasphémateur : Dom Juan. Jeune noble vivant en Sicile, accompagné de son fidèle valet Sganarelle, il accumule les liaisons amoureuses, séduisant