Tocqueville Despotisme Liberté Egalité

les croisades qui suivront) La société d’ancien régime est un système dans lequel la religion catholique est une religion d’état, la seule qui soit reconnue et dont le libre culte est autorisé. Jusqu’en 1989, il n’existe pas en France de réelle liberté religieuse. Les Juifs et les protestants sont particulièrement touchés (exemple de l’Affaire Dreyfus) : * Interdiction de pratiquer le culte en public * Exclusion de certaines professions. L’édit de Nantes fixe le statut des protestants

du tout dit ce qu'on lui fait dire. Il faut que le pouvoir arrête le pouvoir, càd que chaque pouvoir est séparé, mais que chacun a un petit morceau du pouvoir des autres. Montesquieu dit fréquemment qu'il y a une opposition du pouvoir et de la liberté. En réalité, Montesquieu est partisan de la doctrine développée par le Comte de Boulainvilliers qui dit que la noblesse, à laquelle il appartient, est génétiquement la descendante des francs, et donc que les privilèges sont justifiés par les droits

les croisades qui suivront) La société d’ancien régime est un système dans lequel la religion catholique est une religion d’état, la seule qui soit reconnue et dont le libre culte est autorisé. Jusqu’en 1989, il n’existe pas en France de réelle liberté religieuse. Les Juifs et les protestants sont particulièrement touchés (exemple de l’Affaire Dreyfus) : Interdiction de pratiquer le culte en public Exclusion de certaines professions. L’édit de Nantes fixe le statut des protestants en France

privilégiés. II) Le déclenchement du processus révolutionnaire Dans ce contexte de crise se déclenche le processus révolutionnaire en 1788. En 1788, le chef des finances a pour ambition de réformer la fiscalité, l' impôt, il veut instaurer l' égalité fiscale avec un impôt direct sur le revenu qui frapperait tous les sujets de Louis XVI. L' ancien régime est très traditionaliste et toute tentative de réforme est bloqué. Les parlementaires vont s' opposer à cette réforme ( le parlement est composé

belles actions, qu'existe le politique.» Aristote (Les politiques L.3 Ch.3) bibliographie: Les Politiques, Aristote La République, Platon «Texte pédagogique» (2/09/1811), Friedrich Hegel Second Traité du Gouvernement Civil, John Locke Le liberté des modernes comparée à celle des anciens, Hannah Arendt Le totalitarisme, Hannah Arendt I. Genèse de la Cité (polis) et constitution du politique a) Le choix d'Aristote -La compétence politique Qu'est ce que la politique ? A quelles

contrôle de constitutionnalité ? 31 2.3.La question sensible des révisions de la constitution 31 Leçon 7 – La démocratie, garante des droits et libertés 33 1.Le primat de la liberté 33 1.1.La liberté des Anciens ou liberté politique 33 1.1.1.Le pluralisme politique 33 1.1.2.Le respect de l’opposition 33 1.2.La liberté des Modernes ou liberté individuelle 33 2.La question de l’égalité 34 3.Des générations de droits ? 34 Leçon 8 – L’Etat de droit 35 1.La notion d’Etat de droit 35

Histoire du droitLivre : Tocqueville, L’ancien régime et la Révolution (lire avant le 1er Semestre)Introduction :Le droit couvre tous les domaines de la société. Le droit, c’est la norme applicable (droit positif = sources formelles du droit). Ce droit nait toujours dans un contexte précis, il est donc toujours le fruit des objectifs (politique, économiques, sociaux…) du moment. Il faut l’analyser dans son contexte. Ce n’est pas seulement une norme applicable, il peut être un idéal, une projection

soumettent à la loi qui est la même pour tous. L’ordre est établi par la volonté de chacun et non par la contrainte. L’idée d’égalité est que finalement tout le monde est soumis à la même loi. Au VIème siècle, apparait un nouvel ordre des choses. La liberté, l’égalité, la légalité et la laïcité sont des principes qui sont admis mais contre lesquels vont se dresser un certain nombre de penseurs. III- La grande génération de la société ouverte Au Vème siècle, la Grèce traverse une période troublée

que ce soit, y compris l'Internet. Cette licence et cette autorisation n'entraînent pas une renonciation de [la] part [de l'auteur] à [ses] droits moraux ni à [ses] droits de propriété intellectuelle. Sauf entente contraire, [l'auteur] conserve la liberté de diffuser et de commercialiser ou non ce travail dont [il] possède un exemplaire.» REMERCIEMENTS Je tiens d'abord à remercier mon directeur, Serge Robert, et mon co-directeur, Dario Perinetti, pour leur disponibilité, leurs suggestions, leurs

PROPOS : L’ordre est une condition à l’effectivité de la liberté. Cette dernière n’est réellement accessible qu’au prix d’une lutte contre la propension foncière de l’homme au désordre. Alexis de Tocqueville le précise dans son ouvrage, De la démocratie en Amérique : « On ne saurait trop le dire : il n’est rien de plus fécond en merveilles que l’art d’être libre ; mais il n’y a rien de plus dur que l’apprentissage de la liberté. » Dans cette matière, il y a une diversité des points