Torseur cinématique

La cinématique rectiligne Andrés Briones 31 août 2015 Table des matières 1 MRU 1.1 Vitesse moyenne . . . . . 1.2 Vitesse instantané . . . . 1.3 Référentiel et trajectoire 1.4 MRU . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 MRUA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2 2 3 3 5 1 Andrés Briones 1 CO. Claparède MRU 1.1 Vitesse moyenne Pour déterminer une vitesse

 Repère de l’activité : Comprendre-Lois et modèles/Temps, cinématique et dynamique newtonienne TP 13 : Etude de mouvement Compétence : Mettre en oeuvre une démarche expérimentale pour étudier un mouvement. 1) Comparaison de deux mouvements de chute libre Réa 3 Val 1 Avec le logiciel Généris 5+, ouvrir la vidéo « chuteVetP » à partir du dossier DocEleves . La vidéo permet d’observer les chutes simultanées de deux billes identiques : - une bille 1 tombant en chute libre sans

ciences et T CINEMATIQUE Position, trajectoire et mouvement echniques I ndustrielles Niveau Programme Objectifs : Terminale STI. : 2.1 Mouvement relatif de deux solides. 2.1.1 - Paramétrage - Repère fixe, repère mobile. - Trajectoire - Mouvement (Rotation et translation) : Décrire le mouvement d’un solide ou la trajectoire d’un point dans l’espace. 1 INTRODUCTION Définition : La cinématique est la partie de la mécanique qui permet d’étudier et de décrire les mouvements des corps, d’un point

de thèse - 05 janvier 2006 Plan Introduction : contexte et positionnement de l’étude Développement du modèle de simulation OSCAB Optimisation des cinématiques Commande en boucle fermée Conclusion et perspectives Page Plan Introduction : contexte et positionnement de l’étude Développement du modèle de simulation OSCAB Optimisation des cinématiques Commande en boucle fermée Conclusion et perspectives Page Définition et contexte Microdrone Engin volant autonome, d’une envergure inférieure ou

acier mécano-soudés, il comporte : - Un bras inférieur (repère. 10) - Une tringle inférieure (repère. 3) - Un bras supérieur (repère. 11) - Un tube antibalançant (repère. 12) - Un arbre antibalançant (repère. 13) Ces pièces permettent d' obtenir la cinématique désirée pour le déplacement de l' archet.  1 tête de captage Constituée des pièces de suspension (repère. 4) supportant un archet (repère. 9), elle assure le transfert du courant de la caténaire vers le système articulé du panto, tout en assurant

(4) ; [réunion de (3) avec (4)] Fig.1 Fig.2 Déterminer : Y0/S (l’action sur l’axe Y de 0 sur le système S); Z 0/S ; Z 2/S ; Solution : On modélise l’action mécanique du milieu (a) [corps (a)] sur le milieu (b) [corps (b)] par le torseur globale :  ; La condition d’équilibre de l’ensemble : -signifie l’extérieur de l’ensemble S  (par rapport au point J); (par rapport au point J); (par rapport au point J); (par rapport au point J); En appliquant le principe fondamental

apparaissent. Il faut donc aussi exprimer les moments de ces forces par rapport à un point (judicieusement choisi, par exemple le point A). La résolution par les torseurs est de loin la plus puissante, la plus rigoureuse. Avant d’aborder cette méthode de résolution, répondons à la question : Qu’est-ce qu’un torseur ? Un torseur est une description complète d’une action mécanique, exprimé par rapport à un point particulier (point choisi). On y trouve : - la valeur de l’effort exercé en

liaison peut être représenté par un torseur résultant exprimé au centre de la liaison.[Visualiser les Torseurs]   3- PRINCIPE DE LA STATIQUE Le principe de la statique est une application particulière du principe fondamental de la dynamique que nous aborderons dans le chapitre sur la dynamique. 31- Enoncé Un solide indéformable en équilibre sous l'action de n actions extérieures reste en équilibre si la somme des torseurs associés à ces actions est égale au torseur nul, soit | |   Remarque:

|S.SI | Objectif du TP : On cherche à vérifier les hypothèses de modélisation de la pince pour le calcul de l’effort de serrage de celle-ci. 1. A partir d’un modèle cinématique et avec l’aide d’un logiciel, calculer l’effort disponible sur les doigts de la pince. 2. Mesurer l’effort sur les doigts de la pince. 3. Comparer les résultats du logiciel avec les valeurs mesurées et conclure quant au bien fondé des hypothèses

CABLECAM de HYMATOM Q1) a) Calculer en mètres, le champ observable à 100 m avec le plus fort grossissement. Champ observable : L = ≈ 3,1 m (le calcul plus précis est 2.100.tan(1,8/2)) 1,8° α L 100 m b) Calculer également l’angle de roulis admissible grâce au stabilisateur. Angle de roulis : α = 1,8/3 ≈ 0,6° ou 10 -2 rad Q2) Expliquer qualitativement et succinctement ce qui peut provoquer le tangage. Le tangage est dû à la souplesse des câbles conjuguée au non alignement de l’axe