Tôtes

Écriture d'invention Page du journal de Boule de Suif Mardi 10 Décembre , Cher journal , Aujourd'hui mes compagnons de voyages et moi-même sommes arrivés à l'auberge de Tôtes. Devant ce charmant bâtiment , un officier prussien nous a arrêter et nous a demandé notre autorisation de départ . Ceci réglé ,on nous a fait visiter nos chambres , elles étaient coquettes mais petites : il n'y avait la place que pour un lit , une table de chevet et une armoire aux rangements limités .Après cette

causées par le patriotisme. Elle croit fermement sur son pays, peut-être à cause de la voix contre la guerre, et elle a une haine très clair pour les Prussiens. Après tout, c'est à cause de la guerre qu'elle doit aller sur le voyage qui l'emmène à Totes en premier lieu. C'est une grande perte pour Boule de Suif de dormir avec le général, non due à l'immoralité de l'acte, mais parce qu'il est un Prussien. Cependant, il est la nature généreuse et le bon cœur de Boule de suif qui la motive aussi à céder

marginaux : un « démocrate » et Boule de Suif, une prostituée. Le voyage est pénible, la voiture peine à avancer, les voyageurs ont faim. Boule de suif partage les provisions qu'elle a pensé à prendre. Les voyageurs font étape dans une auberge à Tôtes, occupée par les Allemands. Un officier qui occupe cette auberge leur interdit de repartir tant que Boule de Suif n'aura pas accepté ses avances. Boule de suif refuse, approuvée de ses camarades. Mais un complot se trame contre elle. Boule de Suif

début méprisé par les autres voyageurs, qui comportent des bourgeois et deux bonnes sœurs. Mais quand la faim les pousse à manger les provisions qu’elle seule à penser à emporter, ils deviennent plus courtois avec elle. Arrivés dans la ville de Tôtes, un officier allemand les oblige à rester dans l’auberge jusqu’à ce que Boule de Suif cède à ses avances. La plupart des voyageurs se concertent pour pousser Boule de Suif à l’acte. Elle finit par se sacrifier et ils peuvent enfin repartir. Au retour

qu’elle est la seule à avoir pensé à emporter avec elle pour le voyage et qui font oublier à ses compagnons de voyage, du moins temporairement, leurs préjugés vis-à-vis d’elle. Durant leur périple, les voyageurs font une halte dans une auberge à Tôtes et se rendent compte que celle-ci est occupée par l’ennemi prussien. Leur officier supérieur remarque Boule de Suif, lui fait des avances et lui demande de le rejoindre avant le souper. La jeune femme qui est certes une prostituée est également une

refuse pas non plus. Après quelques minutes, les dix personnes de la voiture finissent le panier en rien de temps. Une conversation commence pendant le repas et des histoires, des faits se font entendre. Après plusieurs de voyage, ils arrivent enfin à Tôtes. Un officier allemand qui occupe les retient car boule de suif n’accepte pas les avance qu’il lui fait. Impatient, les neufs autres passagers se demandent pourquoi l’officier ne veut pas les laisser partir. Les trois bourgeois décident d’aller le voir

habitació del seu difunt fill havia de ser empaquetada i tornada a deixar com l’estava però en un altre casa ; així o havia decidit la seva família. En la nova casa, hi havia una cambra amb les mateixes dimensions que l’antiga ; van ficar exactament totes les coses en els mateixos llocs : la cadira una mica separada de la taula, el cendrer ple de burilles, el llibre obert… però !, en durant la mudança s’havien equivoquat i l’havien obert per les pàgines 214 i 215. I es així com les dues pàgines es

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occupe tous les esprits. Boule de suif est la seule à avoir pensé à apporter des provisions. Malgré une réticence manifeste, ses compagnons de voyage finissent par accepter de partager les vivres que leur propose la prostituée. La diligence s’arrête à Tôtes où un officier prussien demande à voir Boule de suif et ordonne l’immobilisation de la diligence jusqu’à ce qu’elle accepte ses avances. Elle refuse d’abord puis, poussée et encouragée par les autres, pressés de repartir, elle accepte et se donne en

www.persee.fr/doc/etnor_0014-2158_1989_num_38_1_2806_t1_0072_0000_3] Quant au cadre spatio-temporel, l’histoire prend place pendant la guerre de 1870 à la vielle de Rouen. L’auberge à Tôtes est créée sur le modèle de l’auberge du cygne, fondée en 1611 sur la route entre Rouen et Dieppe, dans le village de Tôtes. C’est dans cet établissement que Maupassant écrit cette nouvelle[footnoteRef:3]. [3: https://web.archive.org/web/20110128165442/http://www.aubergeducygne-totes.com/, consulté le 6 janvier