Tournure

l’intéressement au travail : « en dehors des appointements fixes (salaire), elle lui gagnait des sous, grâce aux primes de chauffage; » « elle faisait en effet de grosses économies de charbon » (La façon dont la chose est exprimée fait entendre les tournures orales du parler de Lantier : cf focalisation interne) L’on voit bien que la focalisation interne rend naturelle les renseignements documentaires que l’on trouve dans le roman sur la vie dans les chemins de fer, le personnage relais qu’est Lantier

classique réprouve la mise en valeur du « moi ». Alceste ne cesse d’afficher le sien (« moi je… », v.5 ; « moi, votre ami ? », v.8… à relever) / Philinte s’efface derrière des tournures impersonnelles (ex : « on », v.65… à relever) 2) Philinte s’efforce de dépassionner le débat par l’usage de la litote et de tournures d’atténuation (« un peu », v.31 ; « parfois », v.75… à relever) / Alceste exagère : généralisations (« tout homme d’honneur », v.16 ; « tout le genre humain », v.96…) ; hyperboles

d’Alexandre, le plus proche des événements présent. Ce sont ces souvenirs et des interrogations qui mènent à la narration de cette histoire étrange. L’action du récit est assez mouvementée.Ceci est due à l’accumulation des évènements et de leurs tournures. L’action est de plus en plus palpitante du point de vue du lecteur, car les évènements entraînent au bout du compte les personnages dans une fuite. III. Le roman gothique se caractérise par la présence d'un certain nombre de caractéristiques

routine bien organisée II/ L’entretien du corps III/ Un repas sainI/a. L’importance de la lectureCitationsProcédésAnalyse« s’éveillait », « frictionnait »Imparfait d’habitudeUne nouvelle routine est mise en place pour Gargantua.« Il lui était lue »Tournure passiveCe n’est pas Gargantua qui lit : il n’est pas seul face à ses lectures au contraire de l’éducation sophiste. « quelques pages de la divine écriture. » PériphraseDésigne la Bible. La religion est toujours présente. Le vocabulaire n’est pas

dernier vers du texte le poète était et n’est plus auj 3. Passé simple évoque l’union des 2 êtres vbe « être » (v.21) existence qui n’a plus lieu d’être 4. Passé opposé au futur futur marqué tout le tmps par la négation (v.2-13-14) tournures négatives marque qu’il n’y a plus d’avenir II.b) 2ème strophe lien avec des parties du corps d’une part, l’amour et d’autre part, la vie : * « les yeux » ou vit et s’exprime le sentiment amoureux * « la bouche » lieu du langage et

péjoratifs, le registre polémique…  S’agit-il d’un discours commémoratif ? (célébrer un événement passé) : il faudra comparer le présent et le passé.  S’agit-il d’exprimer un souhait, d’encourager quelque chose ou quelqu’un ? Il faudra employer des tournures hypothétiques, utilisation du subjonctif, modalisateurs…. Troisième étape : adopter une stratégie argumentative Le sujet vous précise en général s’il s’agit de convaincre et/ou de persuader. En fonction, il faut donc employer les procédés qui

deux protagonistes qui sont deux personnages en opposition : Le premier personnage a être décrit est le loup, le loup est présenter comme un personnage très affaibli, LF montre sa maigreur avec les noms « os et peau » et insiste sur ça avec la tournure restrictive « ne+que ». On comprend ici que le loup est prêt à tout pour se nourrir, l'agressivité et la cruauté du loup est exprimé au vers 5, comme le loup est affamé il est prêt à tout. A coté de son agressivité on peut voir que le loup peut être

à travers le procédé éminemment polémique de l’apostrophe. L’apostrophe est une interpellation quelque peu brutale. Dans les deux premiers vers, l’interpellation est introduite par l’interjection « O ». Dans les vers suivants, une succession de tournures impératives : « Accourez, contemplez » (v.5) et interrogatives : « direz-vous » (v.15 et 17) organise la pression argumentative sur ces destinataires que l’auteur prend à partie. On notera notamment l’agressivité de la formule « direz-vous » qui

Poème 2 :Guillaume de Machaut, « Une vipère réside dans le coeur de ma dame »Projet de lecture :En quoi cette ballade exprime-t-elle bien un amour courtois ? (distance et éloge de la femme aimée)Str1 : Des animaux symboles de la froideur de la dame, sourde à ses lamentations · Image de la vipère : serpent, symbole de perfidie, de tromperie, du mal qui s’oppose à l’amour du poète : responsable de la surdité de la dame.· Temps : présent. « Réside dans » ; « étouffe » expriment bien cette occupation

Ma chère maîtresse : mise en scène du nom de Manon qui traduit l’obsession du héros envers elle, annonce un dénouement brutal. Se croyait : absence de réaction adéquate de la part de Des Grieux, précipitation du dénouement qui lui donne une tournure tragique. La fin de ses malheurs : tragique, malgré le picaresque des personnages, il y a une noblesse qui se rapporte au sublime. Je la perdit : cadence majeure qui montre le désespoir, situation finale du roman. Mon âme ne subit pas la