Tout Le Monde Peut Il Etre Artiste

goût.
»
(«
Philosophie
de
A
à
Z
»
‐
dictionnaire
spécialisé)
 
 En
mettant
en
commun
ces
quatre
définitions,
on
en
retire
que
l’esthétique
est
un
nom
 féminin,
qui
désigne
une
science,
une
théorie,
ou
bien
encore
une
étude,
dont
les
objets
 peuvent
être
multiples.
Mais
quels
sont
ces
objets
?
 Ceux‐ci
sont
on
nombre
de
cinq
:
 ‐ La
beauté
 ‐ L’art
 ‐ La
nature
 ‐ Le
sentiment
ou
la
sensibilité
:
ce
que
le
spectateur
éprouve
lorsqu’il
est
en
 contact
avec
une
œuvre,
ou
ce
dont
il
se
nourrit
l’artiste
pour
créer

lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit par tout autre moyen, le fonctionnement réel de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, exempt de toute préoccupation esthétique ou morale." - André Breton, Manifeste du surréalisme Le surréalisme est un mouvement artistique et littéraire qui s'est développé dans les années 1920. La rationalité oppressante de la société commençait à être rejetée et les adeptes du mouvement souhaitaient explorer les domaines

nombreuses crises économiques et culturelles. Les surréalistes, sachant l’impacte que peut avoir l’art sur le peuple, tenteront par une révolution culturelle de régler des problèmes plus sérieux tel que le problème économique. Le surréalisme est officiellement apparu en 1924 avec la publication de ce « Manifeste du surréalisme » d’André Breton. Le surréalisme s’inscrit dans la lignée du mouvement dada (de nombreux artistes dada adopteront le style surréaliste) fondé en 1916 par le roumain Tristan Tzara

ouverture sur le monde qui a permis aux auteurs et aux artistes québécois de d’élever leurs statuts d’artistes bien que le clergé avait encore une grande emprise sur ceux-ci. C’est dans un Québec en plein changement qu’a vu le jour le manifeste longuement contesté et publié à de nombreuses reprises de Paul-Émile Borduas intitulé Le Refus global.[1]Publié à la librairie Henri Tranquille[2] , lieu sacré de livres interdits, Paul-Émile signe ce manifeste avec une quinzaine d’autres artistes dont Claude Gauvreau

considéré comme un "homo faber", un être de travail et si la technique constitue un moyen clé de son rapport au monde; avec la création artistique s'ouvre la dimension non plus de l'utile mais bien celle du jeu, de la liberté créatrice, de l'imagination et de l'affectivité. Avec l'apparition de l'art et des multiples oeuvres que les artistes laissent que devient notre rapport à la réalité sachant qu'elle est toujours ce qui est déjà là. Il y a entre le monde et l'artiste des liens complexes qui

démocratique procède de la volonté, des intérêts et de la raison des hommes. La culture et l'esthétique vont suivre ce mouvement : humanisme esthétique. Avant le XVIIIème, l'art n'est qu'une découverte, non pas une invention mais le reflet d'un autre monde; après, l'art devient création. Double révolution de l'esthétique Le concept d'esthétique (aistheis = sensation) symbolise cette humanisation. Il apparaît en 1750 (Aesthetica du philosophe Baumgarten). Le bouleversement dans l'ordre de l'art provient

quelque temps et suscite et a suscité tout au long de l’histoire un grand intérêt pour la définir. Toutefois depuis le philosophe jusqu’à l’ouvrier ou même l’enfant de 11 ans qui commence à développer son esprit critique et commence à se poser des questions philosophiques ont des concepts différents. Herbert Read, philosophe anglais dit «  l’art est une tentative de créer des formes plaisantes » mais pour Georges de Chirico «  l’art c’est vivre le monde comme un immense musée d’étrangetés »

Aristote puis s’est fortement répandu à la Renaissance chez les peintres pour aider à la reproduction. La camera obscura, elle aussi est une invention due à des connaissances techniques et intimement lié au monde des arts. La photographie elle aussi a entretenu et entretiens toujours des liens avec le monde de l’art, quand elle n’est pas de l’art à part entière, mais elle est aussi en partie liée à la science et l’intègre parfois pleinement. La photographie s’inscrit dans les exigences de simplicité et d’exactitude

l'écologie Le domaine de l'art et de l'écologique est varié, on peut donc produire une distinction entre les œuvres activistes qui ont un réel impact écologique et les œuvres où se côtoie tout ce qui touche de près ou de loin à la nature.Ce concept de l'art allié à l'écologie à émerger dans les années 60-70 en même temps que les sculptures monumental du Land Art au États-Unis. La différence entre les artistes activistes et les artistes du Land Art et que là ou certains construisent dans des espaces

pensée nouvelle et moderne de l’homme et du monde que mettent en valeur les écrivains et artistes humanistes. Cependant, ces deux aspirations apparemment contradictoires nous amènent à nous demander comment l’humanisme de la Renaissance a-t-il réussi à concilier ces deux aspects qui le constituent ? Nous verrons tout d’abord, que l’Humanisme se rapporte à l’Antiquité, puis nous développerons sur le thème de la vision nouvelle et moderne de l’Homme et du monde des humanistes de la Renaissance.