Tout Plaisir Rend T Il Heureux

La chroniqueConsommer rend-il heureux ? Cette question semble avant tout relever du domaine individuel, ne serait-ce que parce que chacun à sa manière à soi de définir le bonheur. Nous devrions être capables d’évaluer le plaisir ou l’utilité que nous retirons de notre consommation. Si nous nous comportons comme l’homo econimicus rationnel des économistes, nous devons cesser de consommer toujours plus à mesure que l’utilité que nous en tirons ne suffit plus à compenser la peine que nous nous donnons

particulièrement à propos de son influence vis-à-vis de ceux qui nous entourent. Ainsi, si nous recherchons le bonheur, devons-nous tout faire pour y parvenir, au détriment d’autrui ? Autrement dit, le bonheur est-il un idéal égoïste ? Vouloir être heureux et agir en fonction de cette recherche du bonheur, cela signifie t-il pour autant être égoïste et ne penser qu’à soi ? Tout d’abord, le bonheur peut se révéler comme étant un idéal individualiste et personnel ; cependant il n’est pas certain que cette

bonheur le fondement de la politique ? L’insatisfaction des citoyens d’une nation face à sa politique n’est pas un phénomène récent, et les politiques on souvent été accusés de ne pas remplir leurs fonctions puisque les citoyens ne se sentent pas heureux : les individus attendraient donc de la politique qu’elle leur apporte le bonheur. Ceci ne peut qu’inciter à se poser la question : doit-on faire du bonheur le fondement de la politique ? Par « bonheur », on entend ici la situation de satisfaction

d'être heureux ; on s'attend à le devenir : si le bonheur ne vient point, l'espoir se prolonge, et le charme de l'illusion dure autant que la passion qui le cause. Ainsi cet état se suffit à lui- même, et l'inquiétude qu'il donne est une sorte de jouissance qui supplée à la réalité, qui vaut mieux peut-être. Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En

n’avons pas trop peu de temps, mais nous en perdons beaucoup. La vie est assez longue ; elle suffirait, et au-delà, à l’accomplissement des plus grandes entreprises, si tous les moments en étaient bien employés. Mais quand elle s’est écoulée dans les plaisirs et dans l’indolence, sans que rien d’utile en ait marqué l’emploi, le dernier, l’inévitable moment vient enfin nous presser : et cette vie que nous n’avions pas vue marcher, nous sentons qu’elle, est passée. Voilà la vérité : nous n’avons point

Culture général, expression personnelle. Tout d’abord, le travail peut nous rendre heureux car il nous permet de créer des liens sociaux. Ces liens sociaux peuvent être caractérisés par une collaboration entre collègues. Ce partenariat permet donc de créer une amitié entre les collègues, du fait de devoir travailler ensemble à longueur de journée. Ces employés peuvent plancher sur un sujet commun auquel ils doivent donc se réunir et réfléchir tous ensemble. Outre les liens sociaux, le travail participe

Pascal dans ses Pensées avec « C’est le motif de toutes les actions de tous les hommes, jusqu’à ceux qui vont se pendre ». Effectivement, un homme qui veut se pendre est un homme malheureux ; la raison pour laquelle il met fin à sa vie est qu’il ne trouve pas le bonheur. Il y a donc bien là une recherche du bonheur. Par opposition, nul ne désire être malheureux, même lorsqu’il cherche, comme le masochiste, de la souffrance pour trouver son plaisir. L’ensemble de ces philosophies, qu’on appelle hédonisme

fameux slogan « prend la vie coté coca cola » qui signifie prend la vie du coté du bonheur. Déjà des ces débuts la marque prônait de tel slogans, qui insiste a étre heureux, comme en 1938 avec « C’est toujours un bon moment pour se reposer et se rafraîchir, radieux comme le soleil ! », ou encore «Détendez-vous avec la pause qui rend heureux » . Plus récemment comme en 2001, coca cola nous dit « que la vie est belle » avec sa boisson ; mais aussi l’univers que crée coca cola autour de sa boisson, un univers

l’Homme d’être maître de lui même est de rester objectif. Descarte affirme que l’usage de la raison rend plus heureux, le fait de réfléchir à ses actes(DONNE UN EXEMPLE :on ma volé mon portable mais je vais pas tué le gars qui me la piqué car sinon je vais aller en prison et etre malheureux). Il explique aussi que la raison nous permet d’échapper à certaines illusions qui entraînent des passions néfastes. Tout comme Spinoza pour qui le bonheur est une joie active découlant de la raison. On pourrait alors

est une aspiration commune à tous les hommes –De nombreux moyens sont à notre disposition pour être heureux : le travail,la réussite sociale,la rêverie,et surtout l’argent-En effet, face aux difficultés de la vie quotidienne,ce dernier apparait comme la solution à tous nos problèmes matériels et il est la clé du bonheur pour bon nombre d’entre nous.Dans quelle mesure l’argent nous rend il heureux ?Ne peut –il pas être parfois source de malheur ? Il est indéniable que l’argent est une nécessité