Toyotisme Et Flexibilité

en Europe) • Approche en termes de profit global (70 aux USA) Les évolutions majeures de la logistique depuis 1945 : Seconde GM Développement du concept marketing aux USA puis Europe (50-60) Développement et application de techniques (toyotisme) (60-70) Accroissement important des échanges d’info (90) 3) La logistique, son champ La chaine logistique  Des flux physiques  Des flux d’informations Dont il faut minimiser les coûts La performance de la chaine logistique

hiérarchie. En bref… Le toyotisme : une alternative au fordisme ? Le toyotisme est une forme d’organisation du travail et surtout de la production initiée par l’entreprise Toyota dès les années 50, et qui va se généraliser à partir des années 80. Au niveau de la production, le toyotisme se caractérise par les « cinq zéro » (zéro panne, zéro stock, zéro délai, zéro papier, zéro défaut), le principe des flux tendus dans lequel la demande régule directement la production. Le « toyotisme » ne rompt pas avec

standardisés. De fait, les entreprises tendent à modifier la gestion de leur facteur travail vers un nouveau modèle : le toyotisme. Il est caractérisé par le « juste à temps » (réduction des coûts : peu de stocks, délais courts, pas de défauts de qualité, pas de pannes et peu de papier)  et « l’autonomisation » (le salarié doit être autonome, responsable, polyvalent et peu absent). Ainsi le toyotisme apparaît comme une forme d’organisation du travail plus flexible et adaptée à une économie de crise. Mais cela

dont elle dépend en amont et en aval du processus de production. Il est attendu de cette forme d’organisation du travail une réactivité aux problèmes, une amélioration de la qualité du produit et du fonctionnement des machines, une plus grande flexibilité de la production, un développement des compétences, un intérêt accru du travail, enfin une modification des rapports hiérarchiques. 1 Ce texte est une version modifiée et développée d’une communication intitulée « La genèse du travail en groupe

l’augmentation de ces salaires permet aux ouvriers d’avoir un meilleur train de vie et donc de consommer d’avantage. • Le Toyotisme (1960), est une amélioration de taylorisme et du fordisme, les travailleurs sont plus responsabilisés leur taches à faire sont plus importante, ils deviennent polyvalent et participe plus a la vie de l’entreprise. Cela joue sur la flexibilité. Les Etats Unis ont donc une conception du travail novatrice qui leur permet d’être une puissance économique importante et

d’un nouveau mode de production dicté par Taïchi Ohno et appliqué pour la première fois au Japon par l’entreprise Toyota dans les années 1950. Le Toyotisme vise à une productivité élevée, une réduction des stocks non pas par la mécanisation mais à partir de l’organisation interne de l’entreprise et l’autonomisation. C’est le premier pas vers la flexibilité. Ce nouveau principe repose sur la méthode du Kanban selon deux principes essentiels : Le « juste à temps » : la production est lancée une fois

sociologiques du travail 11 2.1. Karl Marx 11 2.2. Taylor 20 2.2.1. Principales caractéristiques du travail manufacturier 20 2.2.2. L'organisation scientifique du travail 26 2.3. Ford 29 2.4. L'école des relations humaines 35 2.5. Toyotisme 41 3. Le travail et ses aspects 44 3.1. Le marché dual du travail ou la segmentation du marché du travail 44 3.3. La division sexuelle du travail 51 3.4. L'organisation du travail au début du 20ème siècle 69 3.5. Chômage et protections

baisse (ce fut le cas du taylorisme et du fordisme) ou à la hausse (nouvelles technologies, polyvalence du toyotisme). • Il modifie aussi les conditions de travail, en les améliorant ou en les dégradant élimination des tâches les plus pénibles ou dangereuses (ateliers de peinture dans l’industrie automobile…). l’amortissement d’un capital sophistiqué et coûteux exige en effet plus de flexibilité dans les horaires de travail, le recours au travail de nuit… l’informatique augmente la standardisation

donc à penser que le Fordisme, système de production utilisé en occident pendant la première moitié du XXe siècle, est obsolète. En effet, cette méthode préconisait notamment une standardisation des produits. Pour augmenter la productivité et la flexibilité, Ford produisait en masse la Ford 5, de couleur noire et sans ajouté aucune option. Ceci serait impensable aujourd’hui puisque les consommateurs demandent des produits de plus en plus personnalisés et une grande diversité. Actuellement, plusieurs

simples et efficaces et des principes normatifs applicables à toutes les organisations. * Peter F. Drucker : la direction par objectifs * William E. Deming : La roue PDCA * Shigéo Shingo : Le poka Yoké – le SMED * Taichi Ohno : Le toyotisme * William Ouchi : La théorie Z Les principaux postulats de l’école néo classique : * La maximisation du profit, un des buts de l’entreprise * La décentralisation des responsabilités et des décisions * Direction par objectifs (DPO)