Tragédies Le Cid Et Phèdre

mot "comique" (du grec kômos, fête carnavalesque et rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant

populaire et morale iiiiije-Le théâtre -LE XVI SIECLE iiiiija-La Renaissance iiiiijb-La Pléiade iiiiijc-Rabelais iiiiijd-Montaigne -LE XVII SIECLE iiiiija-Introduction iiiiijb-Les grands courants littéraires du XVII siècle iiiiijc-La Tragédie iiiiijd-Pierre Corneille iiiiije-Jean Racine iiiiijf-Le Jansénisme iiiiijg-Blaise Pascal iiiiijh-Molière -LE XVIII SIECLE Qu’est-ce que le symbolisme ? Le symbolisme est avant tout un courant de pensée, reposant sur la conviction que

Parmi tous les thèmes de la littérature, celui de la relation maître – esclave est un des plus riches et des plus fréquents de l’Antiquité au XXe siècle. Si ce thème appartient en général au genre de la comédie, il peut également faire partie de la tragédie. En effet, Beckett ou Ionesco, au XXe siècle, abordent ce sujet avec un humour plus grinçant que plaisant. Cependant, quelques années avant la Révolution Française, cette relation sociale inégalitaire est très prisée au théâtre. Marivaux, qui écrit

RACINE - La Thébaïdewww.comptoirlitteraire.comAndré Durand présente ‘ ’La Thébaïde ou Les frères ennemis’’(1664) Tragédie en cinq actes et en vers de Jean RACINE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : les sources (page 2) l’intérêt de l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 6) l’intérêt psychologique (page 7) l’intérêt philosophique (page 9) la destinée de l’œuvre (page 10) Bonne lecture !RÉSUMÉ Le titre indique que l'action se déroule

par Guez de Balzac et traduisent par les Messieurs de Port-Royal. Ce qui confirme la présence de la culture archaïque au classicisme français est retrouvé dans l'hellénisme racinien inspiré de la sagesse antique et son image à ses tragédies originales. (Iphigénie et Phèdre, puisées d'Euripide) 1.2 Les modèles latins Il est considérable que toutes éducations lettrées du latin se commencent depuis la renaissance des belles-lettres. Cela exige une vaste connaissance de la culture latine. La littérature

d'Aristote est à l'origine de cette conception littéraire du genre qui a perduré pendant très lgtps : "quant au spectacle, qui exerce la plus grande séduction, il est totalement étranger à l'art et n'a rien à voir avec la poétique, car la tragédie réalise sa finalité même sans concours et sans acteurs." Aristote les théories esthétiques du XVIIè ne visent pas à instaurer un système nouveau, à fonder une esthétique originale (même si c'est ce à quoi elles aboutissent en définitive). Leur

52). Bossuet (1694) reprendra les mêmes thèmes et les mêmes figures. Par la vertu d'une représentation des passions « où tout apparaît effectif », par un transfert dont le corps est le lieu, le spectateur se transforme en « acteur secret dans la tragédie ; on y joue sa propre passion ». Lamy usera d'arguments similaires dans son traité de poétique : « C'est en vain qu'un Poète pretend émouvoir ses lecteurs, s'il ne est disposé auparavant à recevoir les Passions qu'il veut faire naître dans les âmes

ses tragédies, ses philosophes. Les romains eux-mêmes, après avoir constitué un immense empire reprendront cet héritage que leurs poètes adapteront. L’histoire romaine, sa grandeur et sa décadence fourniront une source de réflexion et d’inspiration intarissable pour les époques postérieures.  Grands auteurs et grands ouvrages de l’Antiquité : o o o o o o L’épopée de Gilgamesh (le plus ancien récit connu : vers 2040 avant J.C.) L’Iliade et l’Odyssée d’Homère (800 avant J.-C.) Les tragédies grecques

| | | |et des dieux) | | |2. Genre dramatique[vi] |Représentation d’une action où |Terreur et pitié (la tragédie) ou |Le drame (tragique mêlé de comique) et le mélodrame | | |s’affrontent des caractères |rire (la comédie) |(tragique démonstratif et moral) ; la farce (comédie| | |opposés

Moyen Age, « comme Rondeaux, Ballades ou Virelais qui corrompent le goût de notre langue. Il approuve les petits genres antiques, épigrammes, élégies, épîtres, satires et églogues, mais il faut imiter les anciens. Les autres grands genres sont la Tragédie, la Comédie, et surtout l’Épopée. Chez les modernes, Du Bellay n’admet que le Sonnet, illustré par Pétrarque et son école. La doctrine de l’imitation : À l’instar des Italiens, la Pléiade a voulu puiser chez les écrivains anciens le secret de