Train à grande vitesse

Les transports en général : un secteur clé Les transports constituent d’abord un secteur économique à part entière et donc une partie de la production. En 2009, la valeur ajoutée de la branche transports1 représentait en France 79 milliards d’euros (soit 4,1 % du PIB) et 1,13 million d’emplois (soit 4,4 % de l’emploi total). À cet égard, l’importance de cette branche dans l’activité économique a évolué au cours des cinquante dernières années : en termes d’emplois, les transports représentent une

l’automobile et les cathédrales gothiques. Il s’agit de grande création d’époque « conçue passionnément par des artistes inconnus, consommée dans son image sinon dans son usage, par un peuple entier qui s’approprie en elle un objet parfaitement magique ». Pendant longtemps, il est vrai, l’aérodynamisme et la vitesse furent des arguments de vente pour le marché automobile. L’aménagement du réseau pendant le même temps a surtout été destiné à accélérer et à prioriser la circulation automobile. Les conséquences

l’exploitation des infrastructures n'est plus à démontrer. Elle constitue aujourd’hui encore, et pour longtemps, le principal média d’information, entre d’une part, le gestionnaire de voirie et l’autorité de police, et d’autre part, les usagers de la route. Visibilité, lisibilité, uniformité, homogénéité, simplicité, continuité des directions signalées, cohérence avec les règles de circulation et avec la géométrie de la route constituent les grands principes de la signalisation. Ils sont intangibles

A) Les Transports L’avion : l’histoire de l’aviation est née du désir immémorial des hommes de voler (la légende d’Icare). L’avion est né en 1890. Il a été créé par Ader Clément ingénieur français qui n’a volé qu’une cinquantaine de mètre. Aujourd’hui l’avion peut transporter plus de 300 personnes, avec un vol qui ne dure entre 3h et plus dépendant des destinations L'automobile : l’histoire de l’automobile commence en 1769, lorsque Joseph Cugnot (1725-1804) présente le "fardier à vapeur"

Arthur Honegger. Arthur Honegger est né en 1892 au Havre et mort en 1955 à Paris est un compositeur suisse qui a beaucoup habité Paris. Arthur fut marié à Andrée Vaurabourg.Rapidement, il manifeste des dons musicaux qui seront mis en valeur par des études de violoniste (Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris). Quand il etait a Paris ce fut un très grand compisiteur. Les sources d'inspiration d’Honegger reflètent le XXe siècle : on y trouve

collaboration de Blaise Cendrars et Sonia Delaunay-Terk et parait en 1913. Ce poème relate le voyage à bord du Transsibérien que Blaise Cendrars aurait effectué dix ans auparavant au temps de la guerre russo-japonaise. Blaise Cendrars de son vrai nom Frédéric Sauser est à cette époque connu depuis peu grâce à son premier grand poème Pâques. Nous sommes en cette année 1913 dans une époque de renouveau et de grands changements. Il est donc important de signaler le côté singulier de cet œuvre qu’est La Prose

précautions. 1) La bonne longueur, la bonne hauteur : On attache un cheval à un point fixe situé à la hauteur de son garrot ou plus haut. La longueur de longe entre le menton du cheval et le point d'attache est une longeur d'encolure Si la longe est trop grande, ou si le point d'attache est trop bas, le cheval peut être victime d'une prise de longe : il se prend un antérieur dans la longe sans s'en rendre compte. En cherchant à se libérer, il s'affole, tire avec sa tête, et se brûle par frottements

caractéristiques a- Historique b- Caractéristiques * 2 Mouvement du boomerang a- Caractéristiques du mouvement b- Mise en équation * 3 Comparaison expérimentale et théorique a- Modelisation théorique b- Modélisation expérimentale c- Comparaison et interprétation Conclusion Bibliographie Origines du boomerang A le base le boomerang été utilisé comme une arme de jet ayant la forme d’un baton . La forme particuliére du boomerang associé a la rotation permettait

directions. On distingue les ondes de volume qui traversent la Terre et les ondes de surface qui se propagent parallèlement à sa surface. Elles se succèdent et se superposent sur les enregistrements des sismomètres. Leur vitesse de propagation et leur amplitude sont modifiées par les structures géologiques traversées, c'est pourquoi, les signaux enregistrés sont la combinaison d'effets liés à la source, aux milieux traversés et aux instruments de mesure. Ces ébranlements, qui se déplacent sous forme d'ondes

Rapport de stage d’observation à L’office national des chemins de fer L’Agence commerciale centre et oriental –Fès Préparé par : Encadré par : Mlle Souad Riadi Mr. Kherbache Abderrazzak ●Remerciement……………………………............................…04  ●Dédicace ……………………………………………..………..05 ●Introduction …………………………………………..……....06 Chapitre préliminaire : Section 1 : présentation générale de l’ONCF ● A) L’historique de l’ONCF……………….…………