Traînée

proportionnelle à la distance. Traînée excessive La Figure 16 montre une dispersion anormalement grande à longue distance, alors qu'elle est acceptable à courte distance. Cette situation se présente lorsque les flèches ont trop de traînée. La flèche ralentit trop et devient instable lorsque sa vitesse est trop faible. La dispersion et la sensibilité au vent augmentent alors considérablement. Cet effet est particulièrement important sur les flèches légères. Pour diminuer la traînée, réduire la dimension des

--- Les grades --- (entre parenthèse l'Exp nécessaire) |         Trainee  /   Stagiaire   (0)      Recruit   /   Recrue   (550)       Private (PVT)   (1,200)       PRIVATE FIRST CLASS (PFC)   (2,500)         CORPORAL (CPL)   (5,000)        SERGEANT (SGT)   (8,700)       STAFF SERGEANT (SSG)   (15,000 / 22,000 / 30,500)       SERGEANT FIRST CLASS(SFC)   (40,500 / 52,000 / 65,000)       MASTER SERGEANT(MSG) (81,000 / 99,000 / 119,000 / 141,000)     COMMAND SERGEANT

barque surveillaient les personnages. Enfin, nous pouvons rajouter que Zola fait de sa description le tableau d’une nature impressionnante. En effet Zola se sert des adjectifs qualificatifs tels que « de grandes ombres » ou encore « de larges trainées d’argent pâle » pour compléter le tableau. De surcroit, les couleurs sont décrites très spécifiquement« les deux rives, d’un brun sombre tâché de gris, », les effets de lumières et les nuances tels que « un brouillard laiteux » ou « une étoffe blanchâtre »

de l’auteur.· Vers 10 : Enumération de personnages = pittoresque · Vers 11 : allitération en « r » et « t » jusqu’à la fin de la strophe, « r » pour le bruit de la roulotte ? et « t » casse la tranquillité = inconfort du poète perdu sans Annie. « trainée » l’âne a du mal a tirer la roulotte.· Vers 12 : « s’éloignait » souvenir de mai et des vignes rhénanes · Vers 13 : le bruit du fifre est « lointain » donc le poète est seul dans le silence = solitudeStrophe 4 :· Vers 14 : “Le mai le joli mai » répétition

l'arracher d'entre mes bras Emportée par la foule qui nous traîne, nous entraîne Nous éloigne l'un de l'autre, je lutte et je me débats Mais le son de ma voix s'étouffe dans le rire des autres Et je crie de douleur, de fureur et de rage et je pleure Et traînée par la foule qui s'élance et qui danse une folle farandole Je suis emportée au loin Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole L'homme qu'elle m'avait donné et que je n'ai jamais retrouvé Le Point du FLE - https://www.lepointdufle

nues encore » à la ligne 5, «les fenêtres closes dormaient »  à la ligne 7 dans le texte 1. Tous deux parlent aussi de la misère dans le milieu ouvriers « dans la cour, tous ouvriers ; les linges qui sèchent » dans le texte 1 à la ligne 24 et « une trainée jaune sur le pavé de la cour, trouant les ténèbres qui noyaient les ateliers des rez-de-chaussée. On peut dire que ces deux textes ont des points communs mais aussi des différences. Le texte2 s’est inspiré des notes de description d’un lieu du texte

Le 12 novembre 1974, la famille Montgomery décida d’aménager dans un quartier paisible. Après la mort d’Edward Montgomery, la famille très attristée par cette situation, ne supportait plus de vivre sur ces lieux. L’avenue était habillée de longues trainées de feuilles mortes de couleur jaunâtre- brune. On pouvait y sentir l’air frais de l’automne et le vent emporter les feuilles en tourbillon. C’était une maison isolée, non loin d’une forêt. Arrivée dans la maison, le voisinage fut très aimable et

boulot. -Overtime : heures supplémentaires. -Paid holidays : congés payés. -Part time : temps partiel. -Perks : avantages en nature. -Sick leave : congé maladie. -Strike : grève. -Temping : intérim, emploi précaire. -Time off : congé. -Train : former -Trainee : stagiaire. Liste n°6 : -Blue-collar worker : ouvrier. -White-collar worker : employé de bureau. -Work-life balance : équilibre entre la vie et le travail. -Workplace : lieu de travail. -Agreement/ Deal : accord. -Workagreement : convention. -Chief

patience, le frappe et l’insulte. Le chien rampe de frayeur et Salamano le regarde avec haine.. Après il doit entraîner le chien et il ne lui laisse même pas le temps d’uriner, et, détail typique de Meursault, le chien, résistant toujours, sème une traînée de petites gouttes derriere lui. Salamano bat l’animal dans l’appartement aussi et en rentrant tard, le soir, Meursault l’entend gémir sourdement. Pourtant Salamano n’est pas un monstre. La biographie qu’il raconte à Meursault est assez conventionnelle

j’avais compris qu’il n’y en avait qu’une, toujours la même misérable existence. Qu’elle ne se renouvelait pas, non. Elle prenait gout à se travestir, à chaque fois. Toujours à bien des bornes de ce qu’on pouvait en penser, qu’elle était, cette petite trainée , à des lieux de ce qu’on pouvait en attendre. Elle ne voulait pas être saisie. Elle nous échappe toujours, entre les yeux, comme la passante furtive et élancée, aperçue au coin d’une rue ; celle qu’on aime follement jusqu’à ce que la vie nous