Traité Verdun 843

influences orientales sont plus fortes que celles des Francs. Le commerce avec l'Orient se poursuit, tandis que Venise centralise les produits orientaux et que la vie urbaine persiste en Italie. Après le partage de l'Empire de Charlemagne (traité de Verdun, 843), l'Italie fait partie de l'État de Lothaire Ier, passant ensuite au fils de ce dernier, Louis II. La féodalité naissante et le morcellement politique qui la caractérise anéantissent les pouvoirs traditionnels. À Rome, les nobles contrôlent

Clotaire, Clodomire et Childebert — il y a donc quatre parties. Chacun a le titre de roi et un quart du royaume franc. À première vue, à cause de la division du pouvoir, la mentalité des barbares semblent incapable de s’élever au rang d’État car il traite le royaume comme de simples terres. C’est là une conception purement patrimoniale du pouvoir — selon leur héritage franc. Cependant plusieurs éléments viennent tempérer cette interprétation. Tout d’abord les partages francs respectent des entités

XIè s. D’où une présentation qui choisit d’isoler les 7 premiers siècles du M.A par rapport aux trois suivants, largement annonciateurs des intuitions de la modernité. Concentrons-nous donc sur ces 7 siècles et sur leur histoire juridique. Deux traits essentiels les individualisent : * la disparition d’une autorité politique unique, investie d’un pouvoir sacralisé, édictant une norme reçue et appliquée sur un large territoire (1ère partie : l’effacement rapide du pôle normatif unifié) ;

de l’empire en s’attachant à de nouveaux barbares, Rome accepte donc au 4-5e s des tribus entières de barbares. Rome passe un traité – foedus avec ces barbares faisant de ces barbares des fédérés qui viennent de foederatus. Ces fédérés se voient octroyer un territoire où ils s’établissent auprès de l’EROC et jouissent d’une réelle indépendance. En contrepartie de ce traité, ces fédérés doivent le service militaire à Rome et vont former sans intégrer l’armée romaine, des commandements avec leur propre

délimitation par rapport à la langue d’oïl suit un tracé complexe; entre les deux zones, au nord du Limousin et de l’Auvergne, il y a une zone de transition, appelée «le croissant». On distingue en général les variétés suivantes (qui se différencient par des traits phonétiques, morphologiques et lexicaux): le limousin (nord de la Dordogne, Corrèze, Haute-Vienne), l’auvergnat (Puy-de-Dôme, HauteLoire), l’alpin-dauphinois ou vivaro-alpin (Ardèche, Drôme, Hautes-Alpes), qui forment le nord-occitan; le languedocien

ouest-est) à cette époque », tandis que pour M.Gysseling4 « la formation de la frontière linguistique fut en définitive l'oeuvre des siècles ». L'époque franque est, dans tous les cas, une période de christianisation pour la Belgique. Après le traité de Verdun de 843, les régions belges sont divisées de part et d'autre de l'Escaut entre la Francie orientale (le futur Saint Empire) et la Francie occidentale (le futur royaume de France). Elles dépendent dès lors de ces grands Etats. Placées à la périphérie

couramment employé pour désigner un territoire plus ou moins bien défini, comme on le voit à la lecture de la Chanson de Roland, écrite un siècle plus tôt. Ce terme de « France » fait suite à celui de « Francie occidentale », officialisé au traité de Verdun en 843 pour désigner la partie occidentale de l'empire carolingien, suite à son morcellement. Dès juin 1205, le territoire est désigné dans les chartes sous le nom de regnum Franciæ, c’est-à-dire royaume de France[2],[3]. L'occupation humaine du

Cet espace carolingien prêtant être le descendant de l’empire romain d’occident. La prétention de l église est universel elle souhaite assouvir l’Europe, il y a une lutte des papes et de l’empereur sur la main mise du pvr pol en Europe. En 843 partage de Verdun les 3 fils de Charlemagne se partage l’empire dont 2 envisages la France et l Allemagne. Charles le Chauve à l Ouest, Louis le Germanique à l est, au centre Lothaire et la Lotharingie. Cet émiettement laisse les mains à l’église et donc au

empereurs de modifier l’écriture. Charlemagne est donc bien un empereur romain. Celui de l’architecture, à l’époque de Charlemagne on entreprend de grande construction, on construit 7 beaucoup d’église, de palais sur le grand traité d’architecture qui vient du monde romain, le traité d’architecture de Vitruve, inspiré de l’architecture romaine, style un peu lourd, mais ils veulent se rattacher à la politique romaine. A travers l’architecture on va exalter la puissance et la jouissance du prince. b)

intellectuelle et artistique de haut niveau[e 28]. Néanmoins, après la mort de l’empereur, les comtes et les vassaux de celui-ci parviennent peu à peu à rendre leur fonction héréditaire, et les petits-fils de Charlemagne se partagent l’Empire au traité de Verdun (843) ; Charles obtient la Francie occidentale, qui correspond approximativement aux deux tiers occidentaux de la France actuelle et dont les frontières varieront peu jusqu’à la fin du Moyen Âge[e 29]. Le nouveau royaume doit toutefois affronter