Transcendance

Or si le soi ne peut échapper à soi, s'il n'apparaît jamais au foyer de la conscience comme une chose, s'il est présence à soi, comment pourrait-il y avoir un savoir de soi si le soi ne peut être observé, mis à distance dans l'horizon de la transcendance? Remarquez que si vous changez la définition du savoir, si savoir c'est s'éprouver soi même dans un sentiment, il peut y avoir un savoir de soi comme ce qui s'éprouve soi même. ============== Peut-on se connaître soi même? si je ne me

d'espérer, les jeux sont faits, tout est sous le signe de la fatalité. L'action que représente la tragédie est toujours pathétique et tragique. Elle est toujours liée à la présence d'une transcendance : d'une puissance qui domine le personnage tragique et sur laquelle celui-ci n'a aucun contrôle. Cette transcendance peut être figurée par une divinité, par une passion, ou par des valeurs imposées par un ordre social. Elle provoque la perte, la déchéance du héros et le condamne à la mort. S'il veut combattre

et moi-même. • La découverte d'Autrui... La philosophie du 20éS à découvert Autrui. Peut être est ce du à la disparition du rapport à la transcendance ( Passer au delà, surpasser. SENS ORDINAIRE > ce qui est superieur. METAPHYSIQUE> caractère de ce qui est d'une nature supérieure, radicalement différente et séparée du monde sensible comme la transcendance divine. Chez KANT > caractère de ce qui est au delà de toute expérience possible ). On ne rencontre pas Autrui comme un objet. Il faut distinguer

tend à prouver que l’ontologie de l’œuvre se reflète bien sur ces deux plans que les philosophies esthétiques sont toujours parvenues à distinguer : un plan d’immanence où l’œuvre se signifie elle-même et s’identifie à son objet, et un plan de transcendance où elle déborde cet objet, où elle n’a plus d’objet, et où elle se contente d’être rapport au monde. À la question : « Qu’est-ce que l’art ? », il y a toujours eu, en général, deux sortes de réponses : la première est culturelle et relative (« l’œuvre

péjorative. Il s’affirme comme un loisir, par opposition au labeur quotidien ; il permet une nouvelle conception du corps, devenu efficace et productif. Le sport devient un nouvel espace d’héroïsation, il se cherche à la fois une morale et une transcendance. Une contre-société sportive prend forme, autour de nouveaux idéaux d’effort et de loyauté. La convergence avec la société des médias de cette nouvelle société sportive est parfaite au XXe siècle, que l’on observe l’éternel renouveau des résultats

la religion permette de « relier les hommes » au-delà des particularités attachées à chaque culte ou croyance. Elle peut être qualifiée comme une sorte de « ciment social ». Il apparait alors que la morale doit être fondée sur le principe de la transcendance. Par son étymologie, le terme de religion suggère immédiatement ce qui peut le rapprocher du lien social : la religion est " ce qui relie ", le " lien " unissant des hommes dans une même croyance. Pour Durkheim, les rites et les mythes serviraient

religieux fait l'expérience d'un Tout autre, à la fois terrible et fascinant, effrayant et admirable : une Transcendance. Ce que le théologien allemand Rudolf Otto appelle le " numineux " (du latin numen qui signifie la divinité.) Ce terme particulier lui permet d'éviter tout le vocabulaire religieux qui serait trop connoté à consonance judéo-chrétienne. Le sentiment, plus, l'expérience de la Transcendance. Il faudrait donc faire naître toute forme de religiosité du sentiment que l'homme à de sa finitude

sans être reliée à une forme de transcendance qui se décompose en trois modèles traditionnelles : l’origine divine, l’ordre naturel, et la force de la tradition. Aucune de ces formes ne paraisse convenir à P.Foray partant du principe que la langue est notre contemporaine et se veut l’objet d’une appropriation par chacun. Ce serait la transmission d’un savoir dont nous sommes dépositaires reçus de nos prédécesseurs. Il s’agit plus de « précédences que de « transcendances ». « La langue » de Marcel Gauchet

ces notions. La religion suppose que l’esprit transcende l’ordre physique. Cette transcendance est la seule base potable pour la morale (l’homme est mauvais, la nature et la science sont amorales, l’histoire n’a pas de but ; seul reste la transcendance). Dieu forme un esprit unique et surpuissant. * Pour Luc Ferry, il y a une morale intérieure basée sur l’autoréflexion et sur la conscience de soi. * Transcendance : ce qui dépasse la Nature / Immanence : ce qui est dans la Nature * Le

lui même comme origine, comme conscience de soi : Ce qui fait apparaître autrui et le monde au bout d'un regard, par un acte de transcendance, une intentionnalité: toute conscience est conscience de quelque chose, et ce qui fait apparaître le soi par le sentiment de ce qui s'éprouve soi même: on peut appeler cela présence à soi, accompagnant toute acte de transcendance. Le mode d'apparaître du monde et d'autrui n'est pas le même que le mode d'apparaître du soi: dans le premier cas, une chose est