Transcendance

l'amitié, et dans la charité, puis-je trouver un intérêt ? Dans le cas limite du sacrifice, est-ce encore mon intérêt que je cherche ? Dans un second temps, nous nous demanderons si c'est simplement en refusant par le procédé de l'identification la transcendance de l'Autre, son avènement qui nous déborde de toutes parts, que nous nous rendons incapables de nous abandonner. Plan. I – Le soupçon « Utilité » de l'êros. Instrumentalisation de la philia. Contre-argument : communauté visant à un perfectionnement

proposer une démonstration sur le modèle logico-mathématique. Les croyances et les dogmes religieux ont souvent une valeur qui dépasse le pouvoir de la raison humaine et qui témoigne d’une transcendance. Si bien que démontrer reviendrait à ramener à un niveau logique et humain, un message transmis par la transcendance. Enfin, démontrer des dogmes ou l’existence de Dieu, au nom des exigences de la raison humaine revient à satisfaire l’esprit de son besoin de logique, mais pas à contenter son besoin de

d’abord ce qu’en dit Husserl lui-même: " … en toute recherche gnoséologique,[…,] il faut accomplir la réduction gnoséologique, c’est-à-dire marquer toute transcendance qui y entre en jeu, de l’indice de mise hors circuit, ou de l’indice d’indifférence, de nullité gnoséologique, d’un indice qui dit ici: l’existence de toutes ces transcendances (c.-à-d. de tout ce qui existe en dehors de moi) que j’y croie ou non, ne me concerne ici en rien, ici il n’y a pas lieu de porter un jugement là-dessus, cela

que les Modernes mettent l’individu à la place du tout. Les Grecs ont une conception holiste du politique. Ils ont la même conception du Bien, de la communauté. La Modernité, elle, n’offre plus ces garanties : elle ne peut plus s’ancrer dans une transcendance puisque, précisément, elle met l’individu à la place du tout. En fait, ce qui détermine le citoyen antique, c’est sa naissance dans une Cité. Pour les Anciens, la vie politique est par nature, la Cité est naturelle. En effet, la cité athénienne

de l’obscurité à la lumière -Levée du jour Poète, réveille Nature par étapes : -« Rien ne bougeait encore au front des palais » Labiales → Bruit sourd, feutrage -« J’ai marché » → IL se lève, le jour se lève (subjectivité) -Elevation, transcendance, « route », « les cils se lèvent », « la cascade », « cime », « clocher » *Sonorités et rythmes évoluent en conséquences -Poète « en courant » → Accélération du levé du jour -Vbs d’action : « bougeait », « agitant », « levant » → Participe

charnière → comme les romantiques il est marqué par un certain mal de vivre. → comme _________________ mal alaise dans la société, idéal . → cherche une vérité transcendante. → même quête mais plus de réponse, le poète moderne est coupé de la transcendance, il est condamné à l'immanence. Creusement des sensations → supplément de vie, intensifiant le rapport au sensible. Poésie de la suggestion → impose de l'ordre, impose du sens en mettant en relation. (avant poésie de la représentation). Jeu sur

transhumanisme n'est peut être pas une religion au sens conventionnel du terme, mais comme une religion, il nous offre quelque chose en quoi nous pouvons mettre notre foi et notre confiance. Comme la religion, il nous promet transcendance, mais à la différence de celle-ci, cette transcendance est acquise à travers nos propres moyens technologiques, et non à travers Dieu. La question se pose donc : faut-il mettre notre espérance, confiance, et foi en la vision du monde transhumaniste ?

titre-->le projet de l’épilogue« Tu m’as donné ta boue j’en ai fait de l’or »Le soleil : « quand ainsi qu’un poète, il descend dans les villes/ il ennoblit le sort des choses les plus viles » (le poète vient transcender la réalité) A. Transcendance moraleB. Transcendance physique et sociale« Le ciel regardait la carcasse superbe/ comme une fleur s’épanouir » (une charogne) ---> extrait de la beauté d’un cadavre + référence au titre FDM extraire de la beauté « À une mendiante rousse »Il la décrit

précède l'essence ». L'homme est ainsi libre de choisir son essence. L'Homme est absolument libre, il n'est rien d'autre que ce qu'il fait de sa vie, il est un projet. Sartre nomme ce dépassement d'une situation présente par un projet à venir, la transcendance. Selon Sartre, l'homme est condamné à être libre. L'existentialisme de Sartre est athée, c'est-à-dire que, pour lui, Dieu n'existe pas (ou en tout cas « s'Il existait cela ne changerait rien »), donc l'homme est seul source de valeur et de moralité

de plus en plus deviendra transcendance. C’est-à-dire que les dieux vont se détacher de la nature, vont se détacher du monde humain, le monde sera désacralisé. Il n’y a plus alors un sens absolu donné par l’Autre, mais le désir de l’Autre va être à décrypter : la nature ne se lit plus comme un livre ouvert, son sens va peu à peu se détacher du mythe, de ce sens donné une fois pour toute. Le divin n’est plus dans les choses, et la pensée religieuse va vers la transcendance : la nature fonctionne sans