Transcendance

comme le voudrait la psychanalyse en étudiant les rêves et donc en particulier Freud. Le rêve nous ouvre à un monde. Dimension ontologique et cosmologique. L’imagination nous ouvre un monde qui n’est pas autre mais transcendance latérale. Foucault utilise l’expression de transcendance en diagonale qui nous fait voir de maniere plus authentique le monde dans lequel nous vivons que par l’expérience de la connaissance objective. Michel Foucault «  En rompant avec cette objectivité qui fascine la conscience

consciemment, c'est la partie inconsciente qui se trouve en nous qui s'en charge. Conséquences de cette théorie: Ainsi, en plus de l'immanence (l'intériorité, ce qui est au même niveau que l'Homme) est née la transcendance (la supériorité, qui dépasse l'Homme). La transcendance est donc quelque-chose en nous qui nous détermine, mais dont nous ne sommes pas conscient. L'origine en est la famille. On s'est donc intéressé au petit enfant / à l'enfance, (qui jusque là était considérés comme négligeable)

Comme ce poème fait partie du recueil intitulé Du mouvement et de l’immobilité de Douve, il contient les éléments de l’espace et du mouvement. Le poème «Lieu de la salamandre» d’Yves Bonnefoy aborde la question de la transcendance de la mort. L’idée de la transcendance provient des reflexions – puis – des constatations du philosophe Immanuel Kant. La salamandre semble d’être morte pour sauver sa vie, mais elle ne l’est pas. D’où l’attribution de cette mort artificiel sur l’homme – en meurant

maintient auprès des dieux, c'est-à-dire dans le réel et le significatif. II est facile de voir tout ce qui sépare ce mode d'être dans le monde de    l'existence d'un homme areligieux. Il y a avant tout ce fait : l'homme areligieux refuse la transcendance, accepte la relativité de la « réalité », et il lui arrive même de douter du sens de l'existence. » Mircea Eliade, Le Sacré et le Profane (1965), Éd. Gallimard, coll. «Folio», 1965, pp. 171-172.   Analyse : Il s’agit de définir

la sculpture, etc. Toutes ces techniques permettent à l’Homme de partager sa propre perception, et de l’affirmer auprès d’Autrui. Mais, l’Art, reste tout de même un moyen de s’affranchir d’un quotidien difficilement supportable, il permet la transcendance, c’est-à-dire, qu’il élève l’Homme au-dessus des barrières qu’on lui a imposé, et ainsi lui permet de se détacher de tout un monde matérialiste afin d’atteindre le but ultime : la Beauté. Ainsi, l’Art, reste et demeure un réel apport positif à

dépasser sa condition de mortel mais aussi par le fait qu’il est aveuglé par ses passions et guidé par son orgueil. Il est alors confronté à son destin souvent synonyme de divinité ou du moins de transcendance et est soumis a celle-ci. * Innocent il est alors le jouet de cette divinité ou transcendance, de cette mystérieuse fatalité. Par exemple Dans Andromaque de Racine Oreste est victime de cette fatalité « je me livre aveugle au destin qui m’entraine » Et il en est ainsi de chaque héros tragique

La conscience de soi Ce qui fait apparaître autrui et le monde au bout d'un regard, par un acte de transcendance, une intentionnalité: toute conscience est conscience de quelque chose, et ce qui fait apparaître le soi par le sentiment de ce qui s'éprouve soi même: on peut appeler cela présence à soi, accompagnant toute acte de transcendance. Le mode d'apparaître du monde et d'autrui n'est pas le même que le mode d'apparaître du soi: dans le premier cas, une chose est projetée à distance comme

pénétrer en l’Ame de mon Ame». Nous pouvons observer l’ordre des termes en débutant par l’attirance vers le corps, puis le coeur, pour finalement atteindre la raison, «la faculté propre à l’être humain de penser». Le deuxième vers sous-entend la transcendance de cet amour en parlant de l’Ame, l’amour ayant donc surpassé les qualités sensibles de l’homme pour n’en garder que l’essence. Il y a aussi dans cet amour la recherche d’un idéal à atteindre, et notamment la volonté de se réaliser. Par le

limite qu’il est obligé d’exercer en permanence. Aussi Sartre distingue-t-il l’en-soi du pour-soi, ou la contingence de la liberté, ou bien encore (dans le cadre de l’étude de la mauvaise foi notamment) la facticité de la transcendance. LIBERTE EXISTENCE POUR-SOI TRANSCENDANCE ≠ ≠ ≠ ≠ CONTINGENCE ETRE EN-SOI FACTICITE Ce qu’il entend par « en-soi », c’est bien la réalité incontournable, le déterminisme auquel l’être humain ne peut échapper ; c’est ce qui est et qui nous précède. Avoir les yeux

arts ainsi que les proto-histoires de culture et tous les occultés de société, du collectif, de l'individu, le symbole, le sujet et l'objet, la transcendance et la facticité sont des représentions de la réalité et de l'imaginaire. Ce qu'on ne peut pas filmer est par exemple et le monologue intime, la réflexion, le métaphore intérieur de transcendance, la raison et vertue, la sagesse, la conscience, les actions complexes du psychisme qui se développent, les motivations et décisions intérieures