Transcendance

connecter à la liberté : l’ouverture, le risque, et peut-être une certaine transcendance par laquelle la conscience est ouverte à un monde qui la dépasse, par laquelle la parole dit quelque chose qu’elle vise sans le contenir, par laquelle le désir désire en excédant le besoin, par laquelle enfin la volonté sait ce qu’elle veut mais reconnaît possible l’échec dans l’atteinte de ses objectifs. S’il y avait ouverture ou transcendance en nous, elle ne pourrait pas venir de la réflexion, elle la précéderait

est, et ne peut décider d’être autre chose. - en situation : parce que l’homme est dans le monde, il est en situation, dans une classe, une nationalité, une famille, etc. qu’il n’a pas choisie. - la conscience : mouvement de transcendance vers le monde et les choses, mouvement fondamentalement transparent à lui-même ; - l’existence : exister, c'est être-là, surgir dans le monde et s'y forger ; "l'existence précède l'essence " : l'homme est d'abord dans l'univers où il imprime

est aussi critique absolue de soi, lue dans les yeux de celui qui est le terme de cette droiture et dont le regard me met en question. Mouvement vers l'autre qui ne revient pas à son point d'origine comme y revient le divertissement incapable de transcendance. Mouvement par-delà le souci et plus fort que la mort. Droiture qui s'appelle Temimouth, essence de Jacob 5 ». La même méditation mettait en œuvre, comme toujours mais comme chaque fois de façon singulière, tous les grands thèmes auxquels la pensée

· · · ↑ 100 avec 100 flèches dans l’écriture... – ...ou un gogol de flèches... – ...ou un gogolplex... – ...ou 10 ↑ · · · ↑ 100 flèches, où le nombre de flèches dans ce nombre est 100 ; disons que nous sommes là au « 2e niveau de transcendance ». – Le « 3e niveau de transcendance » : 10 ↑ · · · ↑ 100, où le nombre de flèches est 10 ↑ · · · ↑ 100, où le nombre de flèches est 10 ↑ · · · ↑ 100, où le nombre de flèches est 100. restons volontairement vagues quant au sens du mot « quantité ». une fois, nous

les « libres lointains » (v. 14). Ces « frères » sont libres, ce que la répétition en fin de vers 1, sous l'accent, et au début du vers 3 (une nouvelle fois accentué) dévoile explicitement. 2. Des martyrs Ils deviennent alors des martyrs. Une transcendance leur permet d'échapper à la domination de leurs oppresseurs. Le verbe croître (v. 5) est employé au présent de l'indicatif : bien que torturés, ces hommes « croissent plus puissants ». La conjonction de cause « parce que » révèle la force des

biblique celle-là, d’où sortiront tardivement les Evangiles, nomme Dieu comme Amour don de soi, comme transcendance extatique, comme un infini trinitaire qui n’est pas un intellect sans affectivité, mais un corps, un corps spirituel, se tenant en soi hors de soi par don, dont l’identité est d’être relation à soi-même comme un autre, à la fois proche de soi et distant de soi par une transcendance qui est un "se donner soi-même". La logique du tiers inclus qui en résulte est une logique existentielle

d’un discours. Cette transcendance de la parole à l’égard du discours constitué fait de lui un sujet pensant, entendons capable de concevoir, d’imaginer et de se souvenir. Par une parole qui le dépasse, il découvre un pouvoir, celui de signifier sa présence en verbalisant. Si le débordement constitutif de notre humanité s’enracine dans la chair, n’est appréhendé qu’à travers l’autre, il ne se révèle pourtant qu’à la faveur d’une parole qui unifie notre conscience. La transcendance de l’égo à l’égard

départ de toutes ses explications. Plus précisément, le philosophe français cherche à comprendre comment les images se forment dans notre esprit. À ce sujet, les titres des écrits philosophiques de cette période sont évocateurs : L'imagination; La transcendance de  l'ego; Esquisse d'une théorie des émotions et enfin, L'imaginaire. Selon la formule de Simone de Beauvoir, Sartre cherchait à « exprimer sous une forme littéraire des vérités et des sentiments métaphysiques ». Son œuvre, tant philosophique

d’un concept universel. 4.2) Pour Sartre : L’homme existe avant de pouvoir être défini par un concept (l’existence précède l’essence), puisqu’au départ il n’est rien, car il n’est pas conçu par Dieu. 4.3) La subjectivité est un dépassement (transcendance). Elle est créatrice de ses propres normes. L'homme n'est pas prédéfini. Il se définit par ses actes et ce qu'il fait de sa vie. L’homme n’est rien d’autre que son projet, il n’existe que dans la mesure où il se réalise, il n’est donc rien d’autre

Lévinas qui compare la vérité à cette voix de fin silence, à la modestie de la transcendance. 91. « L’idée d’une vérité dont la manifestation n’est pas glorieuse, ni éclatante, l’idée d’une vérité qui se manifeste dans son humilité comme la voix de fin silence selon l’expression biblique dans le livre des Rois, l’idée d’une vérité persécutée n’est-elle pas l’unique modalité de la transcendance » Levinas, Entre nous. [transcendance du vrai]. 92. « Non, il porte l’entière responsabilité du déchiffrement