Transcendantal

objet (paragraphe 16 de l’Analytique transcendantale) : « Je pense doit pouvoir accompagner toutes mes représentations, autrement il ya aurait quelque chose en moi qui ne serait pas représenté. » A la fin de l’Esthétique, le temps a été caractérisé comme la forme du sens interne (avec une dissymétrie : si l’espace n’est que la forme du sens externe, le temps est aussi la forme par et à travers laquelle m’apparaissent les phénomènes extérieurs). A la toute fin de l’Esthétique transcendantale, on a cette remarque :

L’objet, chez KANT, est quelque chose constitué par notre esprit par les structures a priori. L’objet a une structure générale et ce sont les concepts purs qui définissent cet objet (Objet transcendantal différent de l’objet physique). L’objet physique est l’objet perçu qui est de la matière et l’objet transcendantal mais qui n’est jamais perçu. Phénomène : MATIERE (diversité des intuitions empiriques) + FORME Il existe 2 formes (celle de la sensibilité et de l’entendement) La

humaine dans ses principes dépasse l’esprit que rien dans l’esprit ne dépasse la nature humaine ; rien n’est transcendantal ».4 La méthode empirique qui prend pour objet la nature humaine débouche ainsi sur un scepticisme, en effet chacun de ses énoncés est soumis aux règles qu’il énonce. À partir du moment où il n’y a pas de point de départ au-delà de la nature humaine (il n’y a pas de transcendantal ni de principes « avant » tout donné) on est dans une perpétuelle réflexivité ou circularité. Il n’y a

se donnera particulièrement trois ressources : a) on veillera à avoir une idée assez claire de sa Critique de la raison pure, dans ses trois moments principaux (l’« Esthétique transcendantale », l’« Analytique des principes », notamment sur « Les anticipations de la perception », et la « Dialectique transcendantale », notamment dans la « Troisième antinomie » de la raison pure) ; b) on se reportera utilement à deux textes rétrospectifs de Bergson repris dans La pensée et le mouvant (« Quadrige

la condition, c’est à dire ce sans quoi les choses n’existeraient pas, c’est qu’il est indépendant de l’expérience et se distingue radicalement du « je » empirique.. C’est ce qu’on appelle le « je » transcendantal (indépendant de l’expérience). Une fois que « je » est défini comme sujet transcendantal, cela signifie-t-il que la conscience de soi, que le « je » a épuisé toutes ses potentialités ? II) Ce pouvoir fait de l’homme une personne distincte des choses et des animaux : Kant développe

non plus dans le cadre de tous les énoncés). De fait, si la démarche scientifique neutralise la subjectivité empirique, elle ne neutralise pas toute forme de subjectivité. (on distingue ainsi subjectivité transcendantale et empirique). Au contraire, elle se fonde sur la subjectivité transcendantale. CCL : Le rationalisme n’est pas la SEULE source de connaissance réelle. Il est nécessaire de prendre en compte d’autres aspects de la pensée scientifique pour former une possible source de connaissance

faut adhérer à sa doctrine essentielle selon laquelle il n’existe que des impressions atomiques différentes et discernables, ou à la thèse principale de l’empirique qui soutient qu’un objet n’est que la somme de ses propriétés. 3) Kant : Le Je transcendantal comme activité de synthèse. Kant se considère lui-même comme un héritier de Hume qui l’a « réveillé de son sommeil dogmatique ». Hume a en effet humilié le rationalisme dogmatique des philosophes qui le précédaient en leur montrant que ce qu’ils

point fixe n’a pas à tourner autour des objets mais elle fait graviter des objets autour de son pouvoir central: elle a un fonction solaire. La philosophie se définit comme l’affirmation de la toute puissance de la conscience dans un mouvement transcendantal. L’attractivité du « je pense » vient à se soumettre tout forme de connaissance. Mais cette organisation toute puissante du Moi doit se reconnaître un pouvoir d’organiser des images ( des phénomènes ) mais cet ordre de la connaissance humaine

temps. L'espace et le temps sont les formes a priori de toutes les données empiriques. C'est ce qu'analyse Kant dans son esthétique transcendantale ou analyse de la sensibilité. Les représentations données par ces deux éléments sont liées entre elles par la raison finie, à l'aide des catégories, ou principes de l'entendement pur. Les catégories (analytique transcendantale) qui dessinent les limites de la vérité, sont les produits d'une force et non pas l'attribut d'une substance. Elles sont posées à

quelque chose qui est antérieur à l’expérience) qui englobe les différents « je », qui réfèrent à toutes les actions vécues, et les relie sous le joug d’un « je transcendantal ». Le « je transcendantal » est une synthèse des différentes représentations de soi, il est un « moi » qui relie toutes les perceptions vécues par l’individu (par transcendantal, nous entendons une représentation qui dépasse le domaine de l’expérience). Kant affirme donc la nécessité d’une structure afin de penser l’individu en tant