Transposition De Dialogue Romanesque

pour échanger sur l’œuvre. Séance 2 : Lecture cinématographique Objectif : L Lycée Amélie Zurcher Terminale Littéraire Camille Rustand Année scolaire 2014-2015 Visionnage de quelques extraits de l’adaptation de Chabrol en 1991. Etudier une transposition cinématographique du roman et exercer son jugement critique. Réflexion à partir de la citation suivante : « Il y a des pans entiers de la littérature qui ne peuvent pas passer directement à l’écran : ce n’est pas faisable. Voilà. Eh bien, chez

en son nom (« j’ai toujours ouï dire que… » l. 101), ce qui le conduit finalement à construire un dialogue fictionnel (l. 106-123). Cette prudence ne l’empêche pas de faire preuve de franchise dans ses reproches : « se jouer ainsi d’un mystère sacré » (l. 98), « les libertins ne font jamais une bonne fin » (l. 102-103), « le Ciel punit tôt ou tard les impies » (l. 122). D’ailleurs, la transposition fictionnelle qu’il met en place pour se protéger est tellement transparente qu’elle fait sourire. b

monarque rimailleur et le poète railleur deviennent orageuses. Certes, Voltaire triomphe aux soupers, corrige les vers du roi, écrit en liberté : il achève et publie Le siècle de Louis XIV, et découvre les vertus du dialogue philosophique (Dialogue entre Marc-Aurèle et un récollet, Dialogue entre un brachmane et un jésuite). Mais le séjour à Potsdam et la cohabitation avec ce roi carnassier deviennent assez vite pesants. Voltaire se brouille avec Frédéric pour affaires (procès Hirschell), puis se réconcilie

apprend que sa sœur s’est éprise de lui et qu’elle va s’enfermer dans un couvent. Alors il s’embarque pour l’Amérique… René essaie d’expliquer à ce vieil Indien l’origine de son incurable mélancolie René est une autobiographie et une fiction romanesque. L’enfance rêveuse du héros ressemble beaucoup à celle de l’auteur ; le mal de René, ce « vague des passions » semble être la peinture d’un état d’âme réellement éprouvé par Chateaubriand lors de son adolescence. Chateaubriand veut peindre dans

des additions (l'épisode de Cravatte et la lettre de Mlle Baptistine à la vicomtesse de Boischevron) et des déplacements importants. Ceux-ci visent à organiser la matière selon les conventions du genre biographique et sous des titres fort peu romanesques : « ses tournées ; ses paroles ; sa vie ; sa journée; sa maison; Cravatte; la lettre; conclusion » 18. Mais le portrait de l'évêque s'ébauche surtout à partir des « bruits » et des « propos », des « palabres » et des « racontages » ; « un jour

textes du corpus, etc.) ; – monologue délibératif ; dialogue (y compris théâtral) ; discours devant une assemblée ; – récit à visée argumentative (fable, apologue, etc.) Mais, lorsqu’elle concerne le genre narratif, elle peut s’appuyer sur des consignes impliquant les transformations suivantes : – des transpositions : changements de genre, de registre, ou de point de vue ; – ou des amplifications : insertion d’une description ou d’un dialogue dans un récit, poursuite d’un texte, développement

sociolecte et l’idiolecte....................................................................................33 La névrose et le défi de l’acte créateur ................................................................................................35 Le dialogue comme domaine de la névrose et espoir de soulagement.................................................37 ESTHÉTIQUE DE DOUBLES .......................................................................................................................

Clitandre, la répétition du mot « chimères »), les pédants, Trissotin et Vadius, et la servante Martine (son langage où elle se plaît à l’enchaînement de proverbes). C’est une comédie de moeurs aux dialogues étincelants. Originalité : Molière y a mis beaucoup de lui-même, y expose ses propres idées. Il faut même penser que, s’il se déclare alors contre l'émancipation des femmes après avoir défendu, tout au long de son œuvre, leur

voulez-vous mourir ?" Parmi les 16 occurrences du verbe relevées (où les deux seuls passés simples sont de nouveau dominés par huit imparfaits) dans Le Rivage des Syrtes, l'isotopie /secours/ est en faisceau avec /danger/ : ➢ De façon romanesque, lors de l'excursion dans Vezzano, qui requiert l'aide masculine : "Vanessa s'accrochait [80] à moi sur ces galets glissants" (chap. 7, p. 684). ➢ Devant la colère menaçante du capitaine envers ses hommes, lors du premier signe du déclenchement

intérêt, quel plaisir peut-on trouver à lire une pièce de théâtre ? La position du lecteur et le texte théâtral 1.1. L’essentiel, de nombreux éléments pour comprendre, imaginer et apprécier 1.1.1. Le texte lui-même : les répliques elles-mêmes, les dialogues permettent de comprendre et d’imaginer : – l’intrigue et ses rebondissements, ses coups de théâtre (dynamique de la pièce) ; – les personnages : leur caractère et souvent leur physique (exemples) ; – les didascalies « internes » (voir la scène de