Triple énonciation

situation comique : Britannicus arrive, rayonnant de bonheur, naïf, aveuglé par l'amour. Au vers 699, nous avons assisté à un retour en arrière : « quelle nuit !Quel réveil ! ». Néron est caché, c'est une représentation du destin et de la double-énonciation. I/- La théâtralité de la scène Britannicus s'interroge. Même sa joie, il la présente sous forme interrogative. Ses questions commencent dès le début de sa réplique. Elles continuent par la suite : « Vous ne me dites rien ? »v707. La scène

et Racine appartient plutôt à la cour ; - dans la tragédie classique, rien ne doit choquer le spectateur : on y supprime toute violence physique. 2 - Les NORMES de la tragédie. La tragédie classique, genre strictement défini, se caractérise du triple point de vue des règles, des thèmes et de l'action dramatique. Les règles. - Les héros tragiques sont des personnages nobles : roi ou descendant des dieux (le bourgeois et le paysan appartiennent au genre de la comédie). Ainsi, Phèdre est la fille

caractère badin, en style galant, dix-huitiémiste, sur une basse d'Alberti, la mélodie n'étant énoncée qu'une seule fois et aboutissant directement à la transition en do avec des triples croches à la main droite. Après un jeu sur l'introduction de la pièce (alternance mi-ré#) nous retrouvons la partie principale A pour une énonciation sans reprises (a1a2a3a1a2). La section C, de caractère dramatique sur une pédale obstinée sur la, s'ouvre à la main droite sur un accord de septième diminuée, pour une idée

descriptifs au premier abord.) Les textes choisis et leur mise en relation avec des documents complémentaires permettent en parallèle de cerner et définir les caractéristiques formelles et structurelles des textes qu’on regroupe dans cet objet d’étude. ( Enonciation menée à la première personne, présence d’un « pacte »de vérité avec le lecteur, alternance de récits historiques et de discours ancrés sur le moment d’énonciation, passages d’analyse introspective…). L’étude permettra évidemment aussi de mettre

Acte 3 , scène 4 Macbeth I)  La double scène et le double jeu Nous parlons de double scène et de double jeu, mais on pourrait même parler d’une scène à triple foyer, dont le centre d’intérêt serait triple : la fête, qui est le prétexte à la réunion des personnages qui se trouvent sur scène, l’intervention de l’assassin, et l’irruption du spectre. En regard de chacun de ces éléments, la position des personnages principaux, Macbeth et Lady Macbeth est duplice, et la fête, pourtant au centre de l’espace

leur apparition sur le parcours Paris-campagne ( valeur du P.Q.P. ) Type : descriptif et narratif (logique réaliste), récit. Tonalité : réaliste subjectif (jugement dépréciatif sur la famille Dufour). Ironie (description de Mme Dufour). Enonciation - focalisation : personnage le plus présent : Mme Dufour (élément dominant). Maîtresse-femme. Prénom : Pétronille (31 mai) : Sainte Patronne des rois de France (Þ mère nourricière). Focalisation externe ("on apercevait,...") ; point de vue des

la nourrice n’est pas seulement un personnage-confident au service de la double énonciation (dont la relation privilégiée de confidence avec le héros sert à l’information du spectateur concernant les intentions et les sentiments du héros, tout en évitant la présence de monologues du héros trop longs et artificiels), elle est pleinement un agent de l’action. La nourrice est un personnage ambivalent qui intègre la triple dimension comique, pathétique et tragique de la pièce. Dimension symbolique aussi

par sa démesure. 1)     Ubris La démesure d’Œdipe, l’ubris qui en fait un personnage tragique, est mise en valeur dès les premiers mots de la tirade qui ouvre cet extrait : il est celui qui excelle en tout, qui peut revendiquer la maîtrise dans le triple domaine de la richesse, du pouvoir et dusavoir (380). Le problème de la démesure ne réside pas, de façon immédiate, dans la condition supérieure d’Œdipe prise en elle même : le spectateur la connaît, aussi bien que Tirésias présent sur scène, ou que

personnages (l2), ce que nous tenterons de préciser à travers les concepts de coénonciation, de sur-énonciation ou de sous-énonciation, en revisitant le concept de double énonciation. 1.3. Point de vue et double énonciation Ces données complexifient le cadre communicationnel du texte théâtral présenté comme un phénomène de « double-énonciation » (Kerbrat-Orecchioni 1984). Rappelons que cette double énonciation dédoublée oppose d'un côté deux émetteurs, le locuteur-dramaturge L1 et les personnages l2,

Explication linéaire 1 Beaumarchais Le Barbier de SévilleŒuvre de théâtre écrite en 1775 ; met en scène Figaro (homme du peuple) ; auparavant valet de Almaviva. Il est maintenant Barbier. La pièce se passe en Espagne car cela permet de parler et de critiquer plus librement la noblesse française.Le texte est un dialogue entre Almaviva et Figaro, 2 personnes de classes très différentes où Figaro élabore un stratagème afin que Rosine et le comte puissent se rencontrerDans ce