Triticale

Provence-Alpes-Côte d’Azur, Languedoc- Roussillon, Franche-Comté, Aquitaine et Rhône-Alpes. Parmi les grandes cultures, la sole la plus importante est consacrée aux céréales, et principalement le blé tendre, devant l'orge, le maïs, le blé dur, le triticale, l'avoine et le seigle. La récolte totale de céréales s'est élevée à 70 millions de tonnes en 2009[17]. La principale récolte est celle du blé tendre, environ 35 millions de tonnes par an (36,5 Mt en 2009, soit un rendement moyen de 74,1 quintaux

l’orge et l’avoine sont plus digestibles que le maïs (sauf conservation humide). l Le blé Le blé, comme le seigle, le sorgho, le triticale doit être apporté en quantité limitée, sans dépasser les 2 à 3 kg par jour et distribué en 2 ou 3 repas. Cela permet d’éviter les troubles digestifs et métaboliques graves : coliques, fourbures, échauffement. Le triticale : (hybride entre le blé et le seigle), présente un bon compromis et s’avère une céréale intéressante pour l’élevage. l L’épeautre

variétés : Flash/3Plus/GT/allées et terrasses/Ultra/Express | Lasso | désherbant sélectif du maïs | Monitor | herbicide blé | Harness | désherbant sélectif du maïs | Latitude | lutte contre le piétin-échaudage sur blé tendre, blé dur, orge et triticale | Avadex | désherbant céréales anti-graminées | Machete | herbicide (riz) | AquaMasters | herbicide (environnements aqueux) | Hartz | semences | Quantum | semences | DEKALB | « la marque semences de Monsanto » semences Dekalb :

| | |33 hectares | | | | |Triticale |15 | | |Blé |16

Dans tout les cas les vaches sont vendues au bout d'une dizaine d'année car sinon il pourrait y avoir des problèmes de consanguinités. Les veaux quant à eux sont vendus vers 8-10mois en vente directe attaché 2 mois avant la vente engraisser avec du tritical et du foin de l’exploitation et il n’y as aucun ajout de condiments ( tourteaux, minéraux vitamines). De plus certains veaux sont aussi vendus plus petits soit vers les 6mois. La majeure partie du temps c'est un négociant qui lui achète les veaux

apportée par les boues en 2008 3.4.2.1. Cultures épandues Avoine 33 Triticale 25 Prairie permanente 100 Colza 95 Prairie temporaire 44 Maïs ensilage 7 Maïs grain 41 Orge d'hiver 108 Blé 91 par rapport à la surface (ha) Surfaces épandues en 2008 par culture (en hectare) En 2008, les boues ont été épandues pour 65% des surfaces épandues, avant implantation d'une culture d'hiver : colza, orge d'hiver, blé, avoine, triticale. La culture la plus épandue est l'orge d'hiver pour 20% des surfaces

réparties de la sorte : - 23 ha de mélange : 50% blé (variétés : Lennox, sensas, wiwa) / 50% féverole - 20 ha de blé pur (variétés : Lennox, sensas, wiwa) - 10 ha de tournesol (variété buffalo) - 7 ha de méteil : 50 kg de semences/ha d’avoine, triticale, pois fourrager et de seigle. Le méteil et le blé-féverolle, comprenant tous deux des Fabacées, sont ainsi capables de transmettre de l’azote à la culture en cours et en général à la suivante. Le parcellaire - la plus grande parcelle : 17 ha

programme «vacances à la ferme» 37 Les ressources naturelles ─ des locaux pour l’UPA/Union Paysanne, AgroQuébec, Slow-Food-Québec, l’édition régionale «internet» journal gratuit Agro-Québec. Cultiver le sorgho sucrier, le panique érigé, le tritical, le chanvre industriel, sur les terres d’Agro-Québec, sous les lignes de transport d’Énergie-Québec, comme substituts du maïs dans l’alimentation du bétail, du pétrole dans le PVC, faire du ciment construction résidentielle, un biocarburant, cultures

chèvres de race Alpine, dont 2 boucs : elles sont élevées en plein air, elles pâturent dans les prairies mises à leur disposition. Leur alimentation est surtout de l’herbe (venant des prairies), du foin, et des mélanges de céréales (1/3 maïs, 1/3 triticale, 1/3 pois), puis un peu de luzerne (plante riche en protéines, très bonne pour l’alimentation animale). Depuis 4 ans, sa production issue de l’agriculture biologique est certifiée par l’organisme Ecocert4 et respecte donc un cahier des charges strict

ateliers d’aviculture/cuniculture (100% de l’alimentation achetée) et les ateliers bovins, ce 173 phénomène étant « corrélé à une sous-valorisation fourragère des ressources produites ou potentiellement mobilisables sur l’exploitation (foin, herbe, triticale et autres concentrés) » (Boisset et al., 2005). Dans le diagnostic IDEA, l’indicateur qui reflète cette utilisation excessive d’aliments achetés est celui de la « Contribution à l’équilibre alimentaire mondial et à la gestion durable des ressources