Trivial

avantages de cette conquête. Les termes augmenter... tes richesses, manger... de l'andouille, rouler carrosse soulignés par le rythme ternaire et les deux adverbes intensifs indéfiniment... fort souvent, évoquent des intérêts purement matériels et triviaux (la nourriture en particulier). Cette dérision est encore accentuée par l'allusion à des pièces de costume très ordinaires, soulignées par leur reprise. Les termes capeline, parapluie, caban n'ont rien à voir avec un univers royal. 3. Les personnages:

hyperbolise l’attitude du poète gisant sur son lit ; le vers 9 lui se constitue entièrement en une hyperbole (« Je trouve ce plaisir si doux et si charmant ») avec la double occurrence de l’adverbe d’intensité « si ». Cette exagération d’un thème si trivial caractérise tout à fait l’esthétique baroque de Saint-Amant, et définit l’humour du poète. II L’humourA/ Le burlesqueles comparaisons absurdes : le premier quatrain est régit par une double structure comparative introduite par une double entrée

vecteur propre associé Définition : Soit A une matrice carrée d’ordre n à coefficients réels. On appelle valeur propre de A toute valeur de λ pour laquelle le système A. X = λ. X admet une solution non triviale X ≠ 0 . On appelle vecteur propre associé à la valeur propre λ ces solutions non triviales. Exemple :  1 1 − 1 A =  1 1 1 , −1 1 1 1  X 1 = 1  , 0  0 X 2 =  1 ,  1  1 X 3 = − 1  1  1 1 − 1 1 2 1 A. X1 = 2.X 1 A. X 1 =  1 1 1.1 = 2 = 2.1

-hyperbole «qui vit…vivre » -verbes au présent de l’indicatif = présent de vérité générale -pronom personnel « on » utilisé pour faire une généralisation - le sujet traité est trivial (=du quotidien) donc un thème qui n’a pas sa place au théâtre mais ce sujet est traité de manière noble : c’est héroï-comique (=le sujet est bas mais l’expression est noble. II.Une tirade d’exposition A.L’allusion à Done Elvire - Sganarelle

| |L’œuvre s’inscrit dans une tradition de transmission du savoir religieux et d’éducation des fidèles. | |« Tant de violence, tant de souffrance sont exaltées par Rubens : aucun type n’est trivial, aucun corps n’est laid, aucun geste vulgaire. » | | | |Le(s) commanditaire(s)

tout soit bien préparé. * Kim * Karaoke-Karaodance Veillées grands jeux, grands jeux de société * Comme leur nom l'indique, il s'agit de jeux de société connus, adaptés pour être joués par un grand groupe * Scrabble * Trivial Pursuit * Bataille Navale * Loto * Ambassadeurs * Jeux radiophoniques * Cluedo * Le dico Veillées spectaculaires * Veillée casino * Veillée cabaret * Veillée illusionisme * Veillée énigme policière

Emma une vie qui ne serait pas romanesque ne vaut rien = une femme qui ne fait rien de sa vie 2. L’ironie de l’auteur au couvent : vocabulaire dépréciatif des romans “avalait de longs chapitres”, “graissa, poussière”, “rêva bahuts” > vocabulaire trivial qui contraste avec la matière romanesque accumulation ironique des poncifs romanesques : nombreux pluriels “tous les relais / toutes les pages” : parallélisme entre fiction et réalité, ironie accentuée par “tout” caractère stéréotypé des héros d’Emma

burlesque et ridicule d'Arnolphe) 2- Traitée sur le mode parodique (scène tragique parodiée) Molière cherche a faire rire les spectateurs à travers Arnolphe : désespoirs et élans d'amour . Marque d'amour suivies d'alexandrins avec des termes bas et triviaux : adhération incomplète à l'amour d'Arnolphe . Cul de couvent : - Allitération en (C) - cul : grossier , couvent : noble Résultat inverse de celui souhaité : Agnès s'éloigne de lui ce qui montre l'aveuglement de cet amour

l’Angoisse atroce, despotique/ sur mon crâne incliné plante son drapeau noir » → usurpe tt espoirREF pour le 2 : Une Charogne – « l’odeur […] si forte » ou « les vers » qui sorte de la charogne « putride » → laid, triviale, « répugnant » Vénus Anadyomène – Rimbaud - vieille femme affublé « d’un ulcère à l’anus » Hérodiade – Théodore de Banville « chef sanglant de Jean-Baptiste » Tableaux parisiens – « A une mendiante rousse »

regarde qu'avec « un air satisfait de propriétaire » qui envisage la rentabilité. Cette femme ne peut qu'être insatisfaite dans son mariage, à l'image d'autres mal mariées de la littérature dont l'âme romanesque s'accorde mal avec les préoccupations triviales de leur époux- et donc tentée par l'infidélité, comme Mme Bovary de Flaubert, le maître de Maupassant. Enfin on peut voir se découper une autre ligne de partage: Jean prend la défense de Mme Rosémilly, comme sa mère il « murmur{e] ». Cela le place