Tutoiement et vouvoiement

maintenant des individualités livrées à elles-mêmes. C) Les pronoms personnels. -Avant la reconnaissance du lieu du naufrage domine le 'nous' : sort commun unissant le couple qui partage le même malheur malgré la diférence des conditions (tutoiement/vouvoiement) : « nous deviendrons... » - « nous sommes... ». -Découverte du lieu (= dissociation). leu situation n'est en fait pas commune : pour l'un la mort, pour l'autre, la liberté. Le « je » d'Iphicrate triomphe : « Si je ne me sauve... » « mais

normes en sont floues et évoluent évidemment avec le contexte culturel et politique. Pour certain le respect c’est une question d’âge, pourtant que l’on ait 15 ou 80 ans, le respect doit se mériter. Pour d’autre le respect passe par le vouvoiement, car pour eux le tutoiement est une atteinte à la personne et donc un manque de respect. 2) Différentes formes de respect Le respect commence par le respect de soi-même, de son corps, de son esprit et de son cœur. Le respect de soi c’est accepter ce que

démonstratifs « ces » : mise à l’écart, mise à l’index : rejet, exaspération appuyée par la conjonction de coordination « Et » + adj. « éternels » qui insistent sur leur présence insupportable. Je t'ai dit souvent de les laisser à la cuisine. Tutoiement → familière. « Souvent » rappelle « éternels » : sujets habituels de reproche. Injonction : Claire domine Solange, lui donne des ordres. CCL « à la cuisine » précise au lecteur le type de gants : de ménage + lieu réservé aux domestiques. C'est

éveillé, attentif. ( Par l’idéalisation de la femme : « Saintement » (v. 2) appelle « Personne pure » (au sens particulier, chez Valéry, de « sans mélange », donc « parfaite ») et « ombre divine » (reflet de Dieu, v. 5). ( Par le passage du tutoiement au vouvoiement (v. 15 et 16) qui confère au poème une sorte de gravité et de tendre respect. ( Par le bonheur qu’il espère du retour de la femme aimée (ou de la Muse) : « dons » (v. 7), « j’ai vécu de vous attendre » (v. 15), et « nourriture d’un baiser

repencher sur le vouvoiement et le tutoiement. Le vouvoiement est pour moi une façon de montrer au patient que je lui montre du respect. C'est également une façon de dire que je l'exclus de mon cercle intime, car il n'est pas un proche, il n'est pas question de camaraderie mais de prise en charge thérapeutique et d'accompagnement. Effectivement je tutoie les membres de ma famille, mes amis, mes proches en règle générale, mais vous je suis ici pour vous soigner. Pour moi, le vouvoiement permet de poser

laisse de moins en moins de temps de parole. Se qui montre le rapport inégal qui li les deux animaux. Celui qui a la parole est celui qui a le pouvoir. De plus, les paroles prononcés par les personnages souligne ce rapport inégalitaire: tutoiement ± vouvoiement L'agneau emplois des termes qui montrent respect et soumission « sire, majesté ». Un procès injuste à cause de la mauvais fois du Loup: A) Un procès fictif: présumé coupable, condamné avant le procès: Dès le premier chef

comme « le maître », on ne connaît pas son prénom ce qui montre une certaine marque sociale et le second est appelé par son prénom, Jacques, ce qui montre un aspect beaucoup plus courant. De plus ce rapport est marqué par le tutoiement du maître envers le valet et le vouvoiement du valet envers son maître. Enfin, c’est l’attitude du maître qui nous permet de voir le réalisme du personnage. En effet, il se comporte d’abord de manière bienveillante, il écoute son valet. Puis il devient très violent « coup

aveugle », pourtant il « est devin, il y donc une opposition puisqu’un devin voit les choses, mais Tirésias lui, ne peut rien voir réellement. Il y a dans cet extrait une relation très ambiguë entre Jocaste et Tirésias, elle, glisse du vouvoiement au tutoiement, elle ne c’est pas vraiment comment s’y prendre avec lui. Elle est très dur avec lui et ne lui laisse aucun répits, elle le critique et lui en demande beaucoup, « As-tu calmé le peuple? », mais malgré cette autorité elle a pour lui un surnom

tous les deux(V1227/1228) L'enjambement met en valeur ce qui est atteint par la peur : le l'amour V1235 la reine répond qu'elle a peur aussi c'est un véritable duo car ils ont peurs ensemble et s'aiment ensemble. Ce qui les sépare sont les tutoiements et vouvoiements, la reine tutoie R.Blas car elle l'aime cependant R.Blas dans son sentiment amoureux garde sa place et la vouvoie car il n'oublie pas sa classe derrière son rôle:il est digne de la grandeur de la reine car fait longtemps que R.B n'a plus

touche directement car c’est d’elle dont parle Arlequin sans le savoir.  - Personnage du valet (comedia del arte) : langage familier « pardi ! », caractère de séduction qui renvoie à la luxure propre au valet de la comédie du XVIIIème « la belle », vouvoiement (séduction) « entretenez vous dans ce sentiment là, il pourra trouver sa place », manque d’éducation : Arlequin s’adresse d’abord à Dorante au lieu de Silvia qu’il ne connaît pas, accentué par la phrase interrogative « avez-vous bien été reçus