Tutoiement et vouvoiement

preuve est que nous avons de nombreuses questions introductives adressées par le lecteur au narrateur ( ex , L1) Une seul indication entre jacque et le maitre , jacques serait le valet du maitre , souligné par le tutoiement du maitre envers jacques alors que celui-ci emploie le vouvoiement. Pendant leur discussion , le maitre va avoir 2 attitudes tres opposés : une attitude bienveillante , agréable animée par l’envie de savoir , de découvrir l’histoire des amours de jacques sont valet , une attitude

phrase interrogatrice qui rendent compte de sa fascination pour la femme * Confusion émotions avec mélange de réf spatio-temporelles : « éternité » « trop tard » « ailleurs » « bien loin d’ici » « jamais » * Changement de ton, passage vouvoiement au tutoiement * B s’adresse directement à femme emploi vocatifs « Ô toi (...) ô toi » qui close sonnet * Rencontre appartient au passe, femme sera plus objet de contemplation que dans futur mystique suggéré par terme « peut-être » et interrogation

pleurais !" B- Une opposition verbale - Ruy Blas fait des tirades alors que Don Salluste parle peu (opposé à l'acte I scène 1) - Ruy Blas donne des ordres ("N'allez point par là", "Allez là dedans prier Dieu !") - Ruy Blas passe du vouvoiement au tutoiement pour s'adresser à Don Salluste => plus de hiérarchie. C- Une opposition physique - Ruy Blas s'oppose physiquement à Don Salluste "Ruy Blas la lui barre." (la route). - "J'ai poussé le verrou depuis longtemps déjà." : les personnages

du mariage, est liée au respect, celui que l’on se doit à soi-même (j'aurais honte que mon orgueil tînt encore contre toi) et celui que l’on manifeste envers l’autre (je te respecte): ce respect se traduit chez Dorante par le passage du tutoiement au vouvoiement (Vous m'aimez donc ?) dès qu’il est certain que Silvia l’aime; les barrières sociales qui séparaient le maître de la servante sont abolies par l’amour, de sorte que Dorante parle à Silvia comme à une égale, c’est-à-dire comme à sa future

progression originale de son récit à travers le dialogue. Dans un deuxième temps, Victor Hugo présente une scène surnaturelle. Tout d'abord, dans cet extrait le premier contact entre Jean Valjean et Cosette s'établit rapidement . Le passage du vouvoiement au tutoiement, on le voit grâce a « donnez »,L6  et « Quel age-as tu ? » L9 . Le héros se sent rapidement proche de la fillette. Jean Valjean joue un rôle de protecteur dès le début de leur relation, son ton est même paternel . On le voit grâce a « Petite »

copplément d'accompagnement 2eme réplique « mon patron » → réponds avec obéissance 1er réplique «  Arlequin ? » question, demande conseil. Iphicrate( supérieur) s'adresse a Arlequin( inférieur) → tutoiement I. → vouvoiement A. Découvre qu'il y a des maître et des esclaves « nous sommes dans l’île des esclaves » «  Tout les maître qu'il rencontre » « les esclaves comme moi » Régulièrement I. rappelle a A. qu'il est

Ciel bleu = azure, idéal Ciel noir = spleen, ennuit. pronom personnel de la deuxieme personne du singulier & du pluriel :"te" (v.7) ; 'ton" (v.9) ; "tu" (v.10) ; "vous" (v.8) => créer une distance / rapprochement. Opposition entre le tutoiement et le vouvoiement. III. La parole du poete a. jeux de son répétition de vers (v.1 & 5) => créer un effet de monotomie. Rythme linéaire / refrain, forme de lassitude. paralélisme de construction : (v.5 & 6) => Donne un effet de refrain, Rythme

ces rois étaient païens leur pouvoir était envisagé comme une désignation divine. Mais aussi confirme le geste politique de Rémi. En effet dés le début du texte, il oscille entre le tutoiement et le vouvoiement. L’usage du vouvoiement montre une forme d’égalité entre les deux hommes, un respect mutuel. Le tutoiement est utilisé pour marquer la différence d’âge. Cette pratique semble attester d’une proximité de l’évêque avec le nouveau roi. Certainement un habitué de la cour, Rémi connaît Clovis et

ente le loup et l'agneau accusation du loup Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité. - "animal plein de rage" : périphrase qui désigne le loup - tutoiement du loup : marque une hiérarchie , manque de respect du loup - emploi du futur catégorique: nous laisse entrevoir que le loup va inexorablement exécuter sa menace - diérèse "châtié": marque une forte insistance la volonté de "punition"

"maman". Marceline = duègne (= vieille femme caricaturale qui voulait épouser F.). A partir de cette scène, la perception de cette femme va changer, ce personnage va devenir l'allié de Suzanne et de Figaro. -Bartholo (le père), passe du vouvoiement au tutoiement: Certaine familiarité avec F. même si cela ne se voit pas. Le personnage souffre. -Le Comte Il subit une contrariété, il avait décidé à l'avance de l'issue du procès, de manière à écarter Suzanne de Figaro. c) Le comique de la scène Comique=