Tutoiement et vouvoiement

« façonnés aux bouches des Titans » : référence culturelle aux Titans, seins aplatis par les bouches des Titans qu’elle a nourri (Titans > révolte contre les dieux) 2) Enonciation « c’est vous » : vouvoiement pour Lady Macbeth, il s’adresse directement à elle « ou bien toi » : tutoiement pour la Nuit, plus grande proximité « ce qu’il faut » en opposition avec « je ne puis » Longue exclamation du dernier tercet admirative > tout ce que Baudelaire aime (Ce poème est au centre d’un triptyque

d'où l'intérêt de la rupture de registre c. domination d'Arlequin par le volume de parole → tirade finale. ligne 64 → langue d'Athènes = langue du pouvoir, Arlequin ne l'entend plus. d. passage du vouvoiement au tutoiement + expression « mon ami » avec déclaration claire et franche → je ne t'obéis plus. e. la situation sur l'île est présenté comme une thérapie qui doit rendre le maître moralement meilleur (=plus raisonnable). L'adj raisonnable (l.72) → question

sueur du front du Christ → véritable apothéose de RB. Traduit son désarroi Contraste avec cette apothéose → la reine perd de sa grandeur : - raideur antérieure => gestuelle fébrile (« se jetant sur son corps ») ; - vouvoiement => tutoiement → créer une proximité entre les deux personnages. … évolution emblématique d'une esthétique littéraire, celle du drame romantique. Échange de rôles entre le valet et la reine : valet traditionnellement personnage de comédie acquiert

baudelairien. Les sonorités de "douceur", de "fascine" et de "plaisir qui tue" donnent une impression de sentiments agréables, de glissement. Deux mono syllabes: "qui tue". III. Les réflexions du poète Changement de ton: on passe du vouvoiement au tutoiement. Le poète s'adresse directement à la femme. La réflexion fait suite à la description. Au vers 9 s'établit une rupture suivie d'interrogation. Le vers 9 résume symboliquement une rencontre avec la passante : le pète est illuminé "un éclair"

"plaisir qui tue" donnent une impression de sentiments agréables, de glissement. Transition : Une réaction paradoxale donc quand à cette rencontre qui amène la réflexion du poète sur ces événements. III) Les réflexions du poète Passage du vouvoiement au tutoiement : le poète s'adresse directement à la femme. vers 9 : Résume la rencontre : "un éclair" puis "la nuit" : un renversement donc. vers 11 : La rencontre appartient au passé et la femme ne sera l'objet de contemplation que dans un futur mystique

qu’Antoinette savait déjà qu’elle n’allait pas tenir parole : « en me fiant à vos promesses », « je ne serais pas assez sotte pour la tenir ». La duchesse a même veillé à ce que le général ne la prenne pas pour acquise en employant le vouvoiement tandis que lui, le tutoiement : « Si tu… », « ne me compromettez pas ». Deuxièmement, Montriveau réagit face à la réelle personnalité de son amante. Dans un premier temps, Armand paraît surpris face au discours d’Antoinette. Il ne s’attendait pas

sont immédiatement identifiables grâce à leur nom : Arlequin est connu comme le célèbre valet du théâtre italien et le nom Iphicrate renvoie par sa sonorité à la noblesse de la Grèce antique. Leurs échanges (lexique, ordres, vouvoiement contre tutoiement) confirment encore le rapport hiérarchique qui oppose les deux hommes. L’on peut donc sans difficulté comprendre, dès les premiers instants, que la pièce posera la question des inégalités sociales dans un lieu nouveau qui en bouleversera

baudelairien. Les sonorités de "douceur", de "fascine" et de "plaisir qui tue" donnent une impression de sentiments agréables, de glissement. Deux mono syllabes: "qui tue". III. Les réflexions du poète         Changement de ton: on passa du vouvoiement au tutoiement. Le poète s'adresse directement à la femme. La réflexion fait suite à la description. Au vers 9 s'établit une rupture suivie d'interrogation. Le vers 9 résume symboliquement une rencontre avec la passante : le pète est illuminé "un éclair"

baudelairien. Les sonorités de "douceur", de "fascine" et de "plaisir qui tue" donnent une impression de sentiments agréables, de glissement. Deux mono syllabes: "qui tue". III. Les réflexions du poète         Changement de ton: on passa du vouvoiement au tutoiement. Le poète s'adresse directement à la femme. La réflexion fait suite à la description. Au vers 9 s'établit une rupture suivie d'interrogation. Le vers 9 résume symboliquement une rencontre avec la passante : le pète est illuminé "un éclair"

comme s'il voulait l'en protéger. Ta main => tutoiement + action du destinataire. Identification (copule = « est ») de coeur et lieu saccagé. Lieu = mot vague, creux. La griffe et la dent féroce de la femme => métaphore pour la cruauté. La femme est dépoétisée, on la rend bestiale, sans pitié. Griffe et dent => attributs principaux d'une bête, ce qui peut blesser l'homme. Tout cela accentué par « féroce ». Ne cherchez => soit le retour du vouvoiement, soit une sorte d'annonce à la cantonade.