Tutoiement et vouvoiement

revanche définir toute une relation et déterminer sa nature. Donc, il faut savoir le moment adéquat pour employer le ‘tu’ comme le ‘vous’ afin de garder et trouver la bonne distance de communication. Le tutoiement marque la proximité et la parité des niveaux, à l’inverse, le vouvoiement symbolise la distance et illustre une marque de respect. Certains gens préfèrent rester isolés, garder des relations superficielles et fermer toute voie de communication. D'autres par contre adoptent la promiscuité

accrochent l'œil. Contraste entre questions et réponses : réponses toujours en contradiction avec les questions, les niant fortement: « Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère » ; « J'ignore... » ; « Je le hais... » tutoiement du questionneur et vouvoiement de l'étranger : refus de la familiarité, désir de maintenir une distance, entre le moi et les autres Echec de communication ? Phrases de plus en plus abrégées = certaine irritation du questionneur, qui apparaît encore plus nettement

marques d'exclamation (interjection "hélas!"), lexique de la souffrance ou de l'injustice. Le vouvoiement montre une position d'infériorité par rapport à son interlocuteur qui le tutoie. La réaction du personnage auquel s’identifiera volontiers le lecteur (personnage relais), en l’occurrence Candide: marques de douleur, d'indignation dans les paroles, colère contre Pangloss. Réaction: sanglots. Tutoiement certes. En même temps, Candide le considère comme son égal, il s'adresse à lui comme à

Aucune complicité avec un faux dialogue, pourtant les indices sont présent « je », « tu ». Une dissymétrie est présente entre les deux discours ; de nombreux indices nous l'indiques : utilisation du tutoiement qui est signe d'intimité à l'inverse, le second marque la distance avec le vouvoiement. Les répliques sont très courte ce sont donc des réponses brèves. La ponctuation l'indique aussi avec les exclamations, les points et les interrogations : il y a aucune ouverture et possibilité. Le

narrateur refuse de nous en dire davantage L’un s’appelle Jacques, l’autre est son maître, on retrouve ici un rappel de la hiérarchie du XVIII eme exprimant un rapport de force. Ce rapport est souligné par le tutoiement du maitre envers Jacques alors que ce dernier utilise le vouvoiement, Mais le lecteur n’en sait pas davantage (Age, Physique ? Psychologie ?...) En définitive, l’action semble se constituer du dialogue lui-même et des commentaires du narrateur sur son œuvre. 2/A/ maintenant nous

rencontre entraîne à l'invitation amoureuse : « Veux tu t'en venir dans les champs ? ». L’expression a une connotation sensuelle. La périphrase : « le mois où l'on aime » accentue cette impression de même que l'expression « les arbres profonds » et le tutoiement amoureux (vers 4, 7 et 8). Le verbe « triompher » (vers 6) ne laisse aucun doute sur l'issue de la scène. Le jeu sur les pronoms met en scène la réciprocité du sentiment amoureux qui passe par l'hymne à la nature. IIè axe : Une nature complice

aimait la danse ( la maclotte étant une danse traditionnelle belge). De plus, l’auteur va au fur et à mesure du texte décrire physiquement cette femme. Notamment à la quatrièmes strophes : «tes cheveux»v16 et 18, «tes mains»v19 et le vouvoiement laisse place au tutoiement pour nous montrer le rapprochement des deux amants. Enfin, le bonheur du poète est représenté à l’aide des «cloches»v4 qui sonneront, signe du retour de Marie. Cependant, Marie n’est plus présente dans la vie de l’auteur «Quand reviendrez-vous

déroulement du récit a. On peut voir dans cet extrait, le premier contact entre Cosette et Jean. Les deux personnages ne se connaissent pas mais pourtant Jean se montre déjà très affectueux envers la fillette. Il y a au début un vouvoiement, mais très vite s'effectue le tutoiement. Jean emploi très peu de temps après la rencontre, des thermes amical et doux lorsqu'il parle à Cosette : « Mon enfant » ; « Petite ». Il se montre également très attentionné devant celle-ci : « Je vais vous le porter » ; « C'est

contradictoire (4 réplique pour le loup) (3 répliques pour l’agneau) par l’alternance des répliques • Dans ce débat contradictoire il y a des attitudes que tout oppose : o Brutalité du loup : tutoiement o Alors que l’agneau marque une certaine distance en utilisant le vouvoiement et la 3ème pers du sing. Donc d’emblé le loup s’approprie une supérieure hiérarchique. o L’agneau se conforme aux règles conversationnelles « répond » « reprend ». Et le loup s’approprie le vocabulaire

aucun sens . Pour signifier le contraste entre les deux personnages, Verlaine utilise des procédés grammaticaux et stylistiques. D'abord, ils ne se parlent pas de la même manière, l'un utilise toujours le tutoiement de lorsqu’il été amoureux "Te souvient-il " alors que l'autre adopte le vouvoiement, qui crée la distance entre eux. Ils sont devenus étrangers l'un à l'autre. Le dialogue commence sur une double interrogation, qui renvoie les deux spectres face a face au troisième distique. A l'extase