Tutoiement et vouvoiement

au lecteur d’interpréter comme il le veut ces passages. Pronoms personnels: Le poète utilise différents pronoms personnels :- « tu » pour s’adresser au lecteur, à la tour Eiffel et au christianisme : le tutoiement montre qu’il se sent proche d’eux.- « vous » pour s’adresser au pape : le vouvoiement indique une marque de respect.- « je » : le poète intervient directement dans le texte, à la fin, pour raconter ce qu’il a vuLa seconde personne « tu » est ambiguë dans certains passages : on a le sentiment

adjectifs et les accords.-Identifier les phrases ‘C’est+ adjectif’.-Former les questions avec ‘Qu’est-ce que’, ‘Est-ce que’, ‘Où’, ‘Comment’.#Notions, actes de parole-employer des formules de politesse-employer les interjections-distinguer le tutoiement et le vouvoiement.-exprimer son appréciation, faire des compliments.-demander et donner des informations personnelles.-demander et donner des raisons.-enquêter sur les professions des autres.#Sons et lettres-la prononciationdes sons [e], [ɛ], [ ], [ɔ], [ɔ̃]

(v21) Le loup => « rage » (v8) ; « bête cruelle » (v18) ; « la faim » (v6) associé au prédateur. Il est donc ramené a sa condition animale. -Le loup hypocrite, il tente de se justifier mais ses arguments ne sont pas valables. -vouvoiement du loup et tutoiement de l'agneau -Celui qui est condamné est le seul à ne pas comprendre sa condamnation ce qui le rend plus fragile et innocent. B- Une destin tout tracé : -l'adverbe « toujours » (v1) insiste sur la valeur universelle et absolue

tutoyer, et j'y renonce,Le psychologue me rassure, finalement, dans le métier de soignant, il faut savoir garder un lien avec son patient, et garder une distance « défensive », mais éviter la distance « hyperdéfensive » . Caroline,revient sur le tutoiement, elle le met en place avec certains patients, parcequ'elle est sûre que ça peut l'apaiser.Je quitte la salle , je ne peux pas m'empêcher de repenser à ma patiente Brigitte ,elle apprend sa maladie une tumeur au col de l'utérus. En ce moment , je

sépare Silvia et Lisette sur les questions du mariage, du sentiment et du naturel, la perte de contrôle progressive de la maîtresse sur sa servante. Une perte significativement notée par le glissement énonciatif qui fait passer Silvia du vouvoiement au tutoiement lorsqu’elle s’adresse à Lisette. Les deux autres mouvements s’organisent quant à eux autour d’un autre pronom, indéfini cette fois, le « on » qui acquiert chez chacune des femmes une connotation différente, antithétique. 2 Le second mouvement

l'intelligence, l'amour, la nécessité, la violence pour essayer de prendre le dessus sur Arlequin. Mais lui a déjà conquit le pouvoir par le langage (« Mon cher patron »). Arlequin est donc au même niveau qu'Iphicrate. On assiste au passage du vouvoiement au tutoiement (L.2 « Vos.. » / L.27 « Tes forces.. ») L'autorité d'Iphicrate sur son esclave devient une menace puisque la violence est représentée par le gourdin (L.2). Iphicrate utilise de nombreuses questions rhétoriques et exclamations. Dans ce texte

baudelairien. Les sonorités de "douceur", de "fascine" et de "plaisir qui tue" donnent une impression de sentiments agréables, de glissement. Deux mono syllabes: "qui tue". III. Les réflexions du poète Changement de ton: on passa du vouvoiement au tutoiement. Le poète s'adresse directement à la femme. La réflexion fait suite à la description. Au vers 9 s'établit une rupture suivie d'interrogation. Le vers 9 résume symboliquement une rencontre avec la passante : le pète est illuminé "un éclair"

n’est plus intéressé par le bien être de son maître inquiet (questions) -L.48 : Oxymore, « esclave insolent » va à l’encontre de ses devoirs pour son maître. 2) L’esclave joue le rôle du maître - mise en abyme théâtre : -passage du vouvoiement au tutoiement, considère Iphicrate comme son esclave et ne lui réserve plus de respect. -Comme un maître ne comprendrait pas le langage de son esclave, venant d’un pays lointain, Arlequin ne comprend pas le langage de son « maître » -Tirade : « on va

accrochent l'œil. Contraste entre questions et réponses : • parfois brutales, raccourcies jusqu'au monosyllabe avant de s'étirer à nouveau, à la fin • réponses toujours en contradiction avec les questions, les niant fortement • tutoiement du questionneur et vouvoiement de l'étranger : => Interprétation : refus de la familiarité, désir de maintenir une distance, entre le moi et les autres. Communication : Effet de mise en relief du verbe « dis ? » dès le début, à la fois expression familière

distinctives Une figure d’opposition Être sans-culotte, c’est avant tout une affirmation fondée sur des distinctions. Le sans-culotte, tout entier constitué par opposition à la figure de l’aristocrate5, est habillé simplement, revendique le tutoiement, s’interpelle par le vocable « citoyen », refuse l’orgueil et le mépris et agit en politique. S’il déploie, par sa physionomie, son langage, son activisme politique, des caractéristiques issues de l’ordre nouveau, il est aussi un véhicule de pratiques