Tutoiement et vouvoiement

cette scène. On assiste à un duel entre Camille et Perdican, avec uneaccumulation de négation et de nombreuses anaphores, 'Je n'ai pas cherché', 'je n'ai pas répété, 'je n'ai pas feint' etc... De nombreuses reproches, des passages du vouvoiement au tutoiement. Camilleemporté par la colère ne mesure pas encore les conséquences de ce qu'elle va provoquer: ne pas pouvoir aimer Perdican. Les personnages n'ont pas d'échapattoires, utilisation de la doubleénonciation avec le témoin caché Rosette

a décidé de rompre ses fiançailles avec Hermione, princesse grecque. Dans cette tirade, Hermione lui en fait le reproche de façon violente. II – ETUDE : · La désignation de Pyrrhus par Hermione : Hermione passe du tutoiement au vouvoiement et revient en fin de tirade au tutoiement : les reproches, la soumission, la colère et la menace se succèdent dans cette désignation. En effet, Pyrrhus est d'abord « cruel » (1) car il joue avec les sentiments amoureux, puis accusé de « parjure » (7) car il a

propre a différentes entreprise, les règles peuvent changer ou évoluer. Dans chaque entreprise il ya des code de comportement, c'est-à-dire des habitudes de l’entreprise comme par exemple la tenu des employer mais aussi la façons de parler ( le vouvoiement) . Il y a aussi les rites, ils sont différent dans toute les entreprises. Ainsi a été développé le « Friday wear ». C’est un rite très connu des entreprises. Ce rite consiste a : venir dans l’entreprise le jeudi en tenu décontracter, mais pas

Objectifs linguistiques L’avis : “ Está bueno » « Simón cocina muy bien »  « Mmm.. » « No sé… » L’expression des goûts : « Me encantan los helados » « Me gusta el pollo ». Le superlatif : « Las dos cosas que más me gustan ». Le vouvoiement : « ¿No va a comer un poco más ? » « ¿Qué cosas le gustan a usted ? ». Le lexique des plats : « La pasta, el pollo, la ternera, los helados, el queso, el postre. » Le lexique de la cuisine : « cocinar ». Apport du professeur : « el cocinero »

quelque part qu’elle est de bonne naissance – La générosité condition sinequanone du mariage est lié au respect « j’aurais honte que mon orgueil... L472) (l470 je t’aime je te respecte..) ce respect se traduit chez Dorante par le passage du tutoiement 470 au vouvoiement 477 les barrières sociales sont abolie par l’amour III/ Déclaration reciproque : Le langage du cœur de Dorante avec le registre lyrique avec l’apostrophe affective « ah ma chère Lisette » ponctuation expressive «  que viens je d’entendre

attendues précisé entre parenthèses : Marques de modalité liées au destinataire Marques de modalité liées au sujet Manière d’utiliser des phrases interrogatives, des phrases impératives : Vocabulaire connoté (5) Choix du vouvoiement ou du tutoiement (1) Auxiliaire de modalité (devoir, falloir, sembler, pouvoir, vouloir, etc.) (1) Vocabulaire connoté (1) Emploi du conditionnel (1) Adverbes modalisateurs (2) Phrases incidentes (1) Ponctuation expressive

cette scène. On assiste à un duel entre Camille et Perdican, avec une accumulation de négation et de nombreuses anaphores, 'Je n'ai pas cherché', 'je n'ai pas répété, 'je n'ai pas feint' etc... De nombreuses reproches, des passages du vouvoiement au tutoiement. Camille emporté par la colère ne mesure pas encore les conséquences de ce qu'elle va provoquer: ne pas pouvoir aimer Perdican. Les personnages n'ont pas d'échapattoires, utilisation de la double énonciation avec le témoin caché Rosette

tant écrite qu'orale est assez complexe. Nous utilisons tantôt le vouvoiement, pour nous adresser principalement à des personnes que nous connaissons pas ou peu, et tantôt le tutoiement qui est représentatif d'une relation familière avec autrui. Lors des précédents emplois que j'ai occupé, j'ai largement privilégié le tutoiement, sauf pour m'adresser au directeur et aux titulaires des postes hiérarchiquement élevés. Ainsi le tutoiement permet d'enlever toute barrière, et de mettre à l'aise la personne

réflexion, une morale sous la forme d'un dialogue supposé, imaginaire (« Peut-être »), qui implique directement le lecteur (« me direz-vous »). Le jeu sur le vouvoiement et le tutoiement est étrange : s'agit-il du vouvoiement de politesse à un seul lecteur, ou du « vous » qui s'adresse à plusieurs lecteurs ? On ne le sait pas. En revanche, le tutoiement par lequel le lecteur s'adresse au poète traduit un ton plus familier, peut-être même amical. La question permet au poète d'affirmer son lien avec la réalité

une réflexion, une morale sous la forme d’un dialogue supposé, imaginaire (« Peut-être »), qui implique directement le lecteur (« me direz-vous »). Le jeu sur le vouvoiement et le tutoiement est étrange : s’agit-il du vouvoiement de politesse à un seul lecteur, ou du « vous » qui s’adresse à plusieurs lecteurs ? On ne le sait pas. En revanche, le tutoiement par lequel le lecteur s’adresse au poète traduit un ton plus familier, peut-être même amical. La question permet au poète d’affirmer son lien avec la réalité et