Tutoiement et vouvoiement

- la régularité s'oppose à l'irrégularité (vers 3,4/6) - Dans le vers 7, Baudelaire est sensible au regard de la femme : "livide", "bleu gris" : comparaison avec le ciel III. Les réflexions du poète - Changement de ton: on passe du vouvoiement au tutoiement. Le poète s'adresse directement à la femme. - la rencontre se passe aux vers 9 : « un éclair » peut signifie le coup de foudre amoureux, « ma nuit » peut signifie la passion et la sensualité qui se passent pendant le noir - La rencontre

interlocuteurs qui observent le crapaud. Le poète s’adresse peut être à une femme qu’il aime car il y a la présence du cadre romantique notamment l’intimité du tutoiement. Le locuteur qui n’est pas défini pourrait être le lecteur. De plus, le tutoiement montre que l’interlocuteur est une personne proche du locuteur puisque il n’y a pas de vouvoiement. 3. Ambiguïté de l’énonciation et de la situation de communication - L’ambiguïté persiste car on ignore qui est le locuteur à la troisième strophe

présent est ici clairement un présent d'habitude. C/ Le deuxième élément qui encadre le tableau Une réflexion, la morale sous la forme d'un dialogue imaginaire ("peut-être") qui implique directement le lecteur ; vouvoiement tutoiement : étrangeté, mysticité du "vous" : vouvoiement de politesse à un seul lecteur, ou "vous" pluriel qui s'adresse à plusieurs lecteurs ? ; question qui permet au poète d'affirmer son lien avec la réalité et le rapport entre la création poétique et sa propre existence

du passage, Iphicrate associe étroitement le sort du valet au sien : emploi du "nous", tout en montrant d'emblée que seul lui importe son bonheur (trois emplois de "je"). Le changement de situation sociale se manifeste par le passage du vouvoiement et du tutoiement dans les propos d'Arlequin, alors que son maître le tutoie d'un bout à l'autre de la pièce. Un changement qui symbolise une relation plus égalitaire entre les personnages (mais qui ne durera qu'un temps, puisqu'à l'issue de la pièce, Arlequin

avec lui-même en s'imaginant leur sort sur le champs lexical de bataille. Le poète lance sur chaque soldat un regard de compassion, chacun de cessoldats ont des caractéristiques précis . Au vers 13, on remarque le changement qui passe du tutoiement au vouvoiement . A partir de ce moment, les soldats sont considérés dans leurs ensemble par le poèteen tant qu'humains ayant à faire face à un destin connu. Dans ce poème, il y a des expressions familières comme« un jeu du tonnerre » (Vers 6) et «

avec lui-même en s'imaginant leur sort sur le champs lexical de bataille. Le poète lance sur chaque soldat un regard de compassion, chacun de ces soldats ont des caractéristiques précis . Au vers 13, on remarque le changement qui passe du tutoiement au vouvoiement . A partir de ce moment, les soldats sont considérés dans leurs ensemble par le poète en tant qu'humains ayant à faire face à un destin connu. Dans ce poème, il y a des expressions familières comme« un jeu du tonnerre » (Vers 6) et

iphicrate = celui qui règne par la force , différent d'arlequin = personnage traditionnel commedia del arte , tradition aussi l'exigence l17 et le sérieux l1à11 du maître différent de légerté et bonne humeur d'arlequin ainsi que tutoiement d'iphicrate et vouvoiement d'arlequin (jusqu'à la ligne 17 ) tradition accentué ici par situation singulière sur l'île qui exacerbe les tensions. Sur le plan de la syntaxe cette divergence entre iphicrate et arlequin se manifeste par la répétition de Mais =

individualités livrées à elles-mêmes. C. Les pronoms personnels. * I : Avant la reconnaissance du lieu du naufrage domine le 'nous' : sort commun unissant le couple qui partage le même malheur malgré la diférence des conditions (tutoiement/vouvoiement) : 'nous deviendrons...' - 'nous sommes...'. * II : Découverte du lieu (= dissociation). leu situation n'est en fait pas commune : pour l'un la mort, pour l'autre, la liberté. Le 'je' d'Iphicrate triomphe : 'Si je ne me sauve...' 'mais

disant que je ne devais pas tutoyais le patient, et elle reprit également le patient en lui disant qu'il n'avait pas à me tutoyer non plus. Etonnement : J'ai été impressionnée par ce patient et gênée à la fois n'osant pas lui dire non pour le tutoiement de peur de mettre un certain froid entre lui et moi dès mon premier jour. J'ai également été gênée de me faire reprendre par l'infirmière devant le patient. J'ai appréhendé suite à ça de tutoyer de nouveau le patient inconsciement. Savoirs utilisés

ensuite pourquoi il nétait pas présent lors du périple pour aller tuer le Minotaure. Son amour devient de + en + claire : elle lui dit qu'elle aurait voulu qu'il soit là « Moi-même devant vous j'aurai voulu marcher ». Ensuite, elle passera du vouvoiement au tutoiement dans la 2ème tirade. 2ème tirade : 1. 1er vers : L'interjection « Ah! » coupe la parole à Hippolyte. Elle le traite de « cruel » car elle lui avoue un amour impossible dont elle a honte. Celui qu'elle aime la fait souffrir. « Tu