Types D Héroïsme Corneille

I. 17e siècle Pierre Corneille: Fils de la haute bourgeoisie il fait de brillantes études chez les jésuites et exerce la charge d'avocat général à la table de marbre du Palais pendant vingt ans. Il se fait d'abord connaître et apprécier grâce à ses comédies, tel Mélite en 1628. Il est ensuite remarqué par Richelieu qui lui verse une pension. Cette association s'achève avec Le Cid qui vaut à Corneille la gloire. Il fut délaissé par le public au profit de Racine. Il mourut dans l'indifférence.

Le bonhomme Corneille, humble, se tenait coi. P ar le parallélisme « les uns… les autres… » VH accentue cette scission sociale et linguistique et développe ainsi une sous partie + importante réservée aux mendiants de la langue. En effet 10 vers sont consacrés à ces mots là (VH exprime ainsi sa préférence) alors que trois seulement sont consacrés à mots nobles (v42/44). Il va y avoir une énumération par juxtaposition de différents types de mots : -les

 Respect des règles classiques trois unités, vraisemblance et bienséance De un à trois actes en trois phases : exposition, nœud accompagné de péripéties et dénouement. Une certaine liberté vis-à-vis des unités de temps et de lieu Thèmes Passion, amour, héroïsme, devoir, vengeance, fatalité Différents selon les genres de comédie Procédés d'expression Vers alexandrin, dialogues argumentatifs, monologues, stances, récits Langage proche de la conversation, en vers ou en prose Registre Tragique Comique Visées

PLAN : I. Le héros fait l'histoire A. Héroïsme et prudence B. La création de valeurs nouvelles C. L'incarnation de l'Esprit Transition Si la marche de l'Esprit est nécessaire, ce n'est pas le héros qui réellement fait l'histoire. mais c'est l'histoire qui le fait. Cela ne remet-il pas en question son utilité ? Il. La mise en question de l'héroïsme A. Le héros comme épiphénomène B. Relativité du héros C. L'antihéros Transition S'il n'y de héros que celui que l'on proclame tel, la figure

DU PATHÉTIQUE À L'ETHOS MAGNANIME : L'ARGUMENTATION DANS CINNA DE CORNEILLE Loris Petris P.U.F. | Dix-septième siècle 2003/2 - n° 219 pages 217 à 232 ISSN 0012-4273 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-dix-septieme-siecle-2003-2-page-217.htm --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

parle aux arts au filosophie, réligions. Livre theorique, morale, son opinion à la littérature en generale, l’artiste doit être libre, réussir sa création, 1er texte romantique. =nouveauté. 1802: Chateaubriand: René. (reve beacoup) reve d’amour, heroïsme, patrie. Reve de beauté, et de grandiosité. Autobiografique. La vie est triste, plus forte en poésie. Beauté très important. Style, belle personnes. Homme d’esprit superieure. Sentiment de la Patire  patriotte, estetique, moralité. Ils veulent

2 de l’acte II met en scène le passage à l’acte : Rodrigue provoque don Gomès (comte de Gormas). Caractérisation La règle de bienséance interdit que l’on représente un duel (celui-ci se déroulera hors-scène dans la suite de l’acte). Aussi Corneille substitue-t-il au duel visuel un véritable duel verbal dans une scène pleine de fougue et de panache. LECTURE COMPOSITION DU TEXTE De « A moi, Comte, deux mots (…) » à « Que m’importe ? » : Rodrigue rappelle au Comte la renommée de son

attaque énergiquement le comte, en un hémistiche fortement scandé qui marque sa résolution : A moi, Comte, deux mots (v.397) Trois accents pour un hémistiche, c’est le rythme que reprendra Hugo dans son théâtre où il s’inspire souvent de Corneille (le nom Don Ruy Gomez, le sous-titre de Marion De Lorme, « Un duel sous Richelieu ». • il talonne ensuite son adversaire (la scène ayant lieu sur une place, on peut imaginer le Comte tentant de passer son chemin, traversant la scène d’une coulisse

reine, Ruy Blas est en opposition avec les héros nobles qu’étaient Médée, Andromaque, ou Horace. Si donc le spectateur prend toujours autant de plaisir à voir représentés les actes héroïques des personnages tragiques de Sophocle, de Racine, ou de Corneille, il aime aussi à voir représentés des personnages de plus basse condition, mais qui n’en sont pas moins des héros. Dans le même esprit, mais néanmoins très différents, on pense aux drames russes : Nathalia Petrovna, dans Un mois à la campagne, de

historique : 1610 Henri IV meurt assassiné. 1661 prise de pouvoir de Louis XIV. Période de grande agitation politique, les frondes, la noblesse contre le pouvoir royal, période instable. Les nobles veulent prouver qu'il y a en eux un héroïsme, leur modèle, la société féodale. Période de complots, d'actions spontanées, de rivalités, entre les grands, plusieurs assassinats politiques. Régence de Marie de Médicis pour Louis XIII, le Cardinal Richelieu, colonisation de la Nouvelle