Tyran

d’autorité. Il explique la forme d’autorité qui s’acquiert par la violence mais qui ne dure qu’un tems : autorité pas naturelle puisqu’elle peut être renversée (2ème parag.). Il explique ensuite le consentement du peuple qui rend l’autorité légitime : le tyran devient un prince (3ème parag.) Diderot affirme qu’aucun homme ne peut soumettre à un autre car l’homme ne s’appartient pas à lui-même mais à Dieu. Il argumente pour arriver à une thèse défendue : seul Dieu détient l’autorité. Maintenir l’homme dans

458, dans l'Athènes de Périclès : Les Perses (472), Les Sept contre Thèbes (467), Les Suppliantes (peut-être 463) et l'Orestie, sa treizième et dernière victoire (458)[9]. Eschyle rejoint ensuite la Sicile (où il s'est déjà rendu, à l'invitation du tyran de Syracuse Hiéron, après la représentation des Perses). C'est peut-être là qu'il compose le Prométhée enchaîné dont l'attribution même reste douteuse[9]. Il meurt à Géla en 456, selon la légende en recevant une tortue sur la tête, lancée par un aigle

renforcer sa thèse, la présente comme universelle. Ainsi, le pronom personnel "il" est dominant dans le texte. On note cependant la présence d'un pronom personnel "on" (l7) : il désigne le narrateur et le locuteur tandis que celui l20 représente le tyran. Ce "je"' (l20) n'indique pas que le narrateur prend parti, mais montre qu'il prend part à l'analyse : il a un rôle d'intermédiaire. Ainsi, l'ensemble des pronoms personnels donne une dimension objective et une impression de neutralité à l'article

saurais parler de tyrannie; c'est ce que nous imaginons en tout cas". Il souligne plusieurs possibilités parmi lesquelles ils pensent choisir. Il exclut directement la tyrannie, ce qui souligne le fait qu'il est impossible pour un tyran de gouverner un pays car le tyran agit en démesure et avec injustice, ce qui n’est pas en accord avec les deux vertus que la personne au pouvoir doit détenir. Un homme est incapable de diriger seul, il faut que ce soit des divinités qui gouvernent. Voici les définitions

Macédoine : fils de Nicomaque, le médecin du roi de Macédoine Amyntas II. Il vint à Athènes en 376 où il fut élève d’Isocrate, puis le disciple de Platon auprès duquel il étudia à l’Académie jusqu’à la mort de Platon en 347. Invité en Asie Mineure auprès du tyran Hermias à Atarnée, homme relativement libéral, il mit en œuvre certaines de ses idées politiques. Il se rendit ensuite à Assos où il enseigna ses premiers disciples, puis à Mytilène. En 342, Philippe de Macédoine lui confia l’éducation de son fils

régime politique condamnable car ce qui caractérise le despotisme, c’est l’arbitraire. L’arbitraire signifie tout simplement l’absence de toute règle qui pèse sur le détenteur du pouvoir politique. Le despote se distingue du tyran par le mode d’acquisition du pouvoir. En effet, le tyran détient le pouvoir, généralement en vertu d’un coup de force, c’est à dire par un coup d’Etat. 3) La dictature Par rapport aux régimes politiques que nous venons d’étudier, la dictature présente une particularité

apparu ds certaines cité grecque ds courant 7 eme, d’après Thucydide d’abord apparut ds cité les plus riches. Mais la tradition se plaisait à faire du tyran le défenseur du peuple, du démos contre riche et puissant. Les historiens distinguent les tyrannies des VIIe et VIe siècle avant JC de celles du IVe siècle avant JC. • Dans les premières, le tyran dispose du soutien des classes populaires qui cherchent à limiter la domination des riches propriétaires terriens. La tyrannie a pour but de lutter

comprend pas comment la société a pu accuser d'impiété l'homme le plus éminent de son époque et ainsi le condamner à mort. Déçu par la démocratie, il effectue de nombreux voyages notamment dans la grande Grèce où il va être vendu comme esclave par le tyran de Syracuse. Une fois libre il revient à Athènes, crée l'Académie où on y enseigne la philosophie mais aussi les mathématiques et la gymnastique. Platon va y écrire ses plus grands ouvrages, résultats de ses réflexions sur les Idées, la Nature, Dieu

Au VIIè et VIè siècles, la cité d’Athènes est gouvernée par une oligarchie qui est de plus en plus contestée par le peuple, en 541 en s’appuyant sur une partie du peuple Pisistrate prend le pouvoir et met fin au régime aristocratique, il est appelé tyran parce qu’il a pris le pouvoir par la force mais il est très populaire, il fait d'Athènes un centre riche, puissant et culturellement important ; il permet aussi le début de la suprématie navale athénienne dans la mer Égée et ailleurs. A sa mort en

Athènes. Les origines sociales et géographiques : Périclès semble prédestiné dès sa naissance à un rôle decitoyen hors pair. Membre par sa mère de la grande famille aristocratique des Alcméonides, qui domine la vie politique depuis qu'elle a chassé le tyran Hippias, il est le fils du stratège Xanthippos,le vainqueur de la flotte perse au cap Mycale, et d'Agaristê, la nièce du grand Clisthène, fondateur de la démocratie athénienne. Le jeune Périclès doit à la richesse de sa famille d'avoir pourprécepteurs