Tyran

de régime provoque des révoltes populaires et à l'occasion des révoltes populaires s'installent des tyrannies. Le tyran prend le pouvoir par la force( en opposant les riches et les pauvres) et s'y maintient par la terreur. Il est souvent un « démagogue ». La démagogie consiste à prendre des mesures populaires, qui ne sont pas forcément bonnes sur le long terme mais permettent au tyran de conserver le pouvoir en faisant plaisir au peuple. Démocratie : le pouvoir politique est entre les mains du

pouvoir arbitraire, illégitime qui renvoit au mot " tyran " Ligne 16. Cette autorité a des limites qui découlent de sa nature même, c'est à dire de la force Ligne 10 à 13. Le rapport de force peut s’inverser. Diderot évoque une situation de renversement politique. 3ème paragraphe : Ligne 14 à 16 Ces lignes servent de transition : termes qui renvoient à l’autorité par la violence : " violence " Ligne 14, " ceux qu’on a soumis " Ligne 15, " tyrans " Ligne 16 ; termes qui renvoient à l’autorité par

subit le peuple Irakien durant les années de pouvoir de Saddam. Dans le chapitre I, l’auteur présente les méthodes employées par le tyran pour freiner les envies de révolution de son peuple ainsi que le résultat de l’embargo infligé aux irakiens. Tout d’abord, SH (Saddam Hussein) veut contrôler la vie quotidienne de son peuple. (1ere IP).En effet, ce tyran surveille toutes les activités de la population. (1ere IS) L’auteur dépeint son environnement : « Placardées partout, les photographies

renforcer sa thèse, la présente comme universelle. Ainsi, le pronom personnel "il" est dominant dans le texte. On note cependant la présence d'un pronom personnel "on" (l.7) : il désigne le narrateur et le locuteur tandis que celui (l.20) représente le tyran. Ce "je"' (l20) n'indique pas que le narrateur prend parti, mais montre qu'il prend part à l'analyse : il a un rôle d'intermédiaire. Ainsi, l'ensemble des pronoms personnels donne une dimension objective et une impression de neutralité à l'article

attention. Il a refusé de sanctionner d'autres lois pour l'organisation de grands districts, à moins que le peuple de ces districts n'abandonnât le droit d'être représenté dans la législature, droit inestimable pour un peuple, qui n'est redoutable qu'aux tyrans. Il a convoqué des Assemblées législatives dans des lieux inusités, incommodes et éloignés des dépôts de leurs registres publics, dans la seule vue d'obtenir d'elles, par la fatigue, leur adhésion à ses mesures. À diverses reprises, il a dissous

il a compris qu’il fallait tout lâcher pour sauver la ville. Il a accordé aux révolter tout ce qu’ils voulaient : remise de terre, etc. Apres cela il fera du tourisme pendant 10 ans. Pisistrate et sa tyrannie : il fait un cout d’état et devient tyran d’Athènes. Il représente les classes populaire et moyenne ; Il va faire la politique des petits artisans, des petits producteurs. Donc ces classes moyennes contre l’aristocratie. Il instaure un impôt sur les riches pour aider les classes moyennes et

de lui comme un tyran. Tout au long de la pièce, il est en proie à de nombreux dilemmes (acte II : régner ou abdiquer ?, acte IV : mourir ou punir ?, acte V : punir ou pardonner ?). Grâce à sa clémence, il devient un héros : « Je suis maître de moi comme de l’Univers. » (v.1696 p.108). Cinna : La quête de la gloire personnelle et l’amour qu’il porte pour Emilie guident son projet meurtrier. A l’acte I, il se sent chargé d’une mission légitime, celle de débarrasser Rome d’un tyran et de lui rendre

Lecture Analytique 1 La Boetie I-Critique/Blâme du tyran, de la tyrannie Le tyran n’est pas mentionné dans les quatre premières lignes du discours. Il apparait par le pronom indéfini « on », à la ligne 5. On l’appelle aussi « ennemi », adversaire. Il est celui qui veut détruire, faire du mal, nuire, ligne 7. Il apparait indirectement par la périphrase « celui », l7. « Ce maître », ligne 9, implique le type de relation dominé-dominant. Il apparait indirectement à travers les actions qu’il exerce

Grand-Duc document D et enfin le roi caricaturé document E ). Ainsi chaque Tyran ce pose la même question qui est : As t-on le droit de tuer ? Ceci met en place la thèse commune au auteurs qui est le droit de tuer. Pour parler de la peine de mort, les auteurs mettent en place plusieurs champs lexicaux s'enchaînant selon une graduation. Tout d'abord le champs lexical de la tyrannie est mit en évidence pas le nom « tyran »( l.2; doc A ) et ( l.4; doc B ). On remarque aussi la présence du verbe « exécuter »

du Péloponnèse voit la défaite d'Athènes face aux spartiates, qui établissent un gouvernement « le gouvernement des 30 tyrans », jusqu'à que Philippe de Macédoine qui prend Athènes et s'en est fini de la démocratie Athénienne (336 ou 338 jsais plus) a) La primauté de la loi C'est l'assise du régime, la législation écrite est considérée comme le meilleur rempart contre un tyran et même contre l'anarchie. Athènes est une cité état « polis », Athènes est cimenté par des lois qui forgent la communauté