Tyran

les délibérations sont soumises au public. » (...) Mais Mégabyse voulait que l'on confiât les affaires à une oligarchie ; il disait : « (...) il n'est rien de plus insolent qu'une multitude bonne à rien. Et, à coup sûr, échapper à l'insolence d'un tyran pour choir dans celle d'une populace effrénée est chose qu'on ne saurait aucunement tolérer. (...) Choisissons un groupe d'hommes parmi les meilleurs, et investissons-les du pouvoir ; (...) il est dans l'ordre de la vraisemblance que les hommes les

présentons la quatrième fables du livre III de Jean de la fontaine (1621-1695) qui a été créer en 1668. Dans cet apologue il imite Esope et Phèdre qui avaient écris une fable nommé « Ranae regem petierunt » pour calmer les athéniens lassés de leur tyran. Cette fable se distingue par une évocation réaliste et fantaisiste de la nature, dans le mouvement humanisme. Il a écrit cette fable en faveur de Louis XIV. Dans cette fable, il met en scène des grenouilles qui ne sont jamais satisfaites de leur régime

Dans quelles circonstances et quand la démocratie est-elle née à Athènes. Comment s'est elle renforcée? A) Les origines de la démocratie. Au XI ème siècle avant J-C, Athènes est une tyrannie. Un seul homme gouverne la citée (comme par exemple le tyran Pisistrate qui fait construire les 1er grands monuments de la citée à une époque où celle-ci s'enrichit grâce aux commerces). A partir de 508 avant J-C, la réforme de Clisthène jette les bases de la démocratie. C'est désormais le peuple des citoyens

Beaucoup de savants ont du y faire face. Certains ont abandonné ou renié leurs travaux parce qu’ils avaient peur d’affronter l’Inquisition : c’est le cas de Charles Darwin qui a abandonné sa théorie de l’Evolution. Le clergé n’est pas le seul tyran contre lequel les Lumières doivent lutter pour diffuser le savoir. Ils doivent ensuite mener un combat contre le pouvoir royal. La monarchie absolue permet au roi de concentrer entre ses mains tous les pouvoirs. Nuls ne peut contester ses décisions

d’Hannibal cruel mais admiré pour ses exploits et celui de Scipion honnête et méritant mais discrédité. Ces exemples historiques montrent que l'excès de pitié en politique ne peut qu'amener des désordres. Il oppose l'individu à la collectivité. Le tyran est bénéfique à la collectivité, le prince nuit à l'individu. Machiavel associe cruauté à confiance, paix, respect, alliance et au contraire l’absence de cruauté ou l’excès de pitié rime avec destruction, désordres, meurtres, brigandages. Machiavel

violence, emparé, tyran, joug" ou du "consentement" (trois occurrences) La 2ème est régit par la loi du plus fort. La 3ème est limitée par la Rèp et doit etre utile a la société et avantageuse pour tous. Elle instaure un ordre de subordination. • ne se laisse pas impressionner par le cérémonial de l'accueil • fins observateurs • ont su livrer le résultat de leur observation ( 10 et après) • ont du bon sens (roi :enfant) Conclusion partielle : Pour Diderot, le tyran est celui qui

Antigone est tragédie de Sophocle et sœur de Polynice. Femme de Thèbes, elle devait du civisme à la tyrannie de Créon, son oncle et tyran armé de son frère Étéocle. La guerre fut, civile parce que l’ennemi sans pitié n’allait pas sans Polynice. Concentrée en combat des deux frères, la guerre civile reçut le point final d’un double fratricide. Au seul Étéocle, la loi de Créon laissa droit aux rites faits de larmes et de terre. Ismène, sœur d’Antigone, plia pour vivre. Antigone, penchée sur Polynice

Peuple/Roi dc peuple censé être opposé au roi et non pas avec. »Ce maitre…vous » L11, « il…vous »L12-13 2) Présence d’un lexique dépréciatif *3) La* construction d’un réquisitoire C’est bien le peuple qui délaisse la liberté, et non pas le tyran qui la lui prend. *II) Servitude* & tyrannie 1) Un tableau très noir de l’esclavage Le peuple est dépossédé de ses biens « Vous vous laissez enlever sous vos yeux le plus beau & le plus clair de votre revenu, vous vous laissez piller vos champs

il composa une dizaine d’écrits où se | | |manifeste les idées de Socrate. | | |Il se rendit en Italie du sud et en Sicile pour faire de Denys 1er, tyran de Syracuse, un| |- 388 |futur philosophe, capable de réaliser la cité idéale : gouvernée par des philosophes ou | | |par des responsables ayant reçu une formation philosophique. Celui-ci refusa. |

Dans Le Salut, publié en 1959, De Gaulle dresse un portrait à la fois péjoratif et admiratif de Staline. Staline était-il un tyran ou seulement un politicien grandiose ? De Gaulle montre dès le début de l’extrait la volonté de puissance de Staline. Possédé par cette volonté, écrit-il, ce qui lui donne un air inquiétant, démoniaque. Il ne connait aucun sentiment, il masque ses traits et son âme, se passe de pitié et de sincérité. On voit donc en Staline un personnage inhumain qui se méfie de tout