Ulysse Un Personnage Ambivalent

et est créé par des auteurs qui témoignent de l'écho reçu, c'est-à-dire correspondant à une attente du public. Cependant, nous pouvons constater que deux catégories de héros ont existé au fil des siècles : le héros épique (Héraclès, Achille, Ulysse), conté tout d'abord par des orateurs, puis par des poètes ou des romanciers, et le héros historique (Clovis, Jeanne d'Arc, Napoléon). Après la seconde guerre mondiale qui a traumatisé le monde, des victimes sont devenus des héros (Jean Moulin, Manouchian)

du monstrueux. Problématique : Comment cet hymne à la Beauté, à travers ambivalence et mystère, ouvre-t-il l'imagination à un univers infini où le Spleen côtoie l'Idéal ? > Une beauté ambivalente, mêlant le Spleen et l'Idéal à travers un jeu de contrastes. LES MOUVEMENTS repérés : ~ beauté ambivalente (2 premières strophes) ~ une Fleur du Mal (strophes 3 à 5) ~ beauté qui dépasse le réel (strophes 6 et 7) Définitions : Allégorie : narration mettant en œuvre des éléments concrets, chaque

l'oeuvre, tout comme n'être cité qu'à travers la bouche des personnages, et plus particulièrement, celle des devins. La présence d'Athéna dans l'oeuvre de Sophocle, Ajax, est tout à la fois : elle est l'adjuvante d'Odysseus, mais l'opposante du personnage éponyme : Ajax. C'est elle qui protège Odysseus contre la folie meurtrière d'Ajax, mais c'est elle aussi qui accroit la honte et la rage de ce-dernier. Sa figure est ainsi profondément ambivalente, et dépasse en quelque sorte l'opposition opposant/adjuvant

un dieu chtonien4 lié au monde souterrain, porteur de mort et responsable des tremblements de terre, très proche de la figure du Dieu Hadès. Son épithète d’ « ébranleur du sol », attesté en Arcadie ou son culte est le plus ancien, en fait un dieu ambivalent, responsable de catastrophes naturelles mais aussi du retour des eaux fécondantes du printemps. Il est le dieu grec le plus fortement lie au cheval à travers ses mythes comme ses représentations. Toutefois, il ne semble pas issu d'un cheval divinisé

L’amplification épique passe parfois par la comparaison des héros à des personnages mythologiques ou historiques (Hercule, Ulysse, César…). Valeurs du héros épique : le courage, la force physique (ce que les Romains appelaient « virtu »), mais aussi le sens de l’honneur, de la gloire, tant individuels que collectifs (défense des intérêts de

texte ; une histoire c’est déjà qqchose de travaillé, d’organisé, sélectionné, on ne raconte pas tout; l’idéal du nouveau roman tende vers l’idée de tout raconter dans le détail mais même là le temps n’est pas le même. Une histoire se sont déjà des personnages, des rythmes, des événements sélectionnés. En plus de cela, une histoire a un sens : conclusion donnera le fin mot. LOGIQUE de l’histoire (événements fictifs ou non) • Le récit c’est un énoncé narratif (participe passé passif, qui a été et qui

entre la vie de son personnage et celle de son arrière grand père. 2) Le Guépard : métaphore qui désigne le prince. - Force physique et délicatesse du prince Salina : p 11 « le heurt de son poids de géant faisait trembler le plancher » ; « Il n’était qu’immense et très fort »; « ses doigts pouvaient froisser comme du papier vélin ». / « Ses doigts pouvaient avoir un toucher très délicat » dans la caresse. Ambivalence du personnage. Au bal des Ponteleone

que l’histoire ne soit pas une science exacte en tant que telle -, et puis elle fini par bouleverser - ou enrichir plutôt- la conception d’un empereur romain très important, mais un peu oublié jusqu’à ce moment-là. De l’autre, se mêler avec un personnage de cette nature entraîne ne seulement une vaste connaissance de ce monde ancien – bien saisi par l’écrivaine-, mais tout un changement d’esprit pour construire un individu psychologiquement actif répondant son entourage, en accueillant l’importance

L’HERITAGE DE LA PENSEE GRECQUE ET LATINEI – Eléments de définition : qu’est-ce que l’Antiquité ? A) Une période historique · Repère temporel et géographique · Grande période rassemblée sous ce nom · Apparition de l’écriture en - 3 000 av. JC à la chute de l’Empire romain en 476 ap. JC · 2 zones géographiques : Grèce et Rome · L’Antiquité se « résume » à ces 2 zones fondamentales comme si le reste n’existait pas = vision occidentale limitée à la culture grecque et latine · L’héritage antique n’est

peuvent créer la même irritation que la lourdeur des phrases de Balzac, la longueur de celles de Proust. De même la grossièreté de Céline ou de Rabelais, le langage populaire ou argotique de Zola ou de Hugo peuvent gêner la lecture. -Les personnages peuvent paraître lointains et agaçants, dépourvus de « réalisme » : identification aux protagonistes délicate Caricaturaux dans leurs travers (L’Avare, Dom Juan, Candide, Gargantua) ou idéalisés à l’excès (héroïnes de tragédies, guerriers