Umberto Eco

son livre « A quoi pensent les films? » met en relief certaines postures intellectuelles tout d’abord l’assignation et les références ponctuelles à d’autres domaines culturelle c’est l’approche à la critique puis s’ensuit l’interprétation dont Umberto Eco a réfléchit en confiant «  un film en dit toujours plus que ce que son auteur voulait dire et moins que ce que certains interprètes incontinent voudraient lui faire dire » Par exemple, dans les films de Walt Disney, notamment « Le Roi Lion »

NOTES UE12-EC1 Master 1 MEEF 1er degré LE RoLE DU LECTEUR (Lector in fabula de Umberto Eco) (Ou la Coopération interprétative dans les textes narratifs) => Théories de la Réception et de la Lecture (Ecole de Constance) • • Il existerait une permanence de l'écrit et une impermanence de la Lecture La lecture s'inscrirait dans une dynamique relationnelle dans laquelle le lecteur doit actualiser le texte = c'est à dire lui donner vie et sens. • Sans le lecteur, le texte n'existerait pas. • C'est

Cela est propice à l’invention de fables, de contes etc Par nos lectures on forme un imaginaire très perso et unique. Cela contraste avec le fou de livres. III/ Dans le labyrinthe de la bibliothèque a) une déambulation fascinante Auteur : Eco Umberto Vidéo : déambulation dans sa grande biblio (30 000 livres) Il s’est passionné pour les liens btw lecteurs & livres. 1997, interview « comment rangez vous votre bibliothèque ? » : « cela dépend à mes centres d’intérêts actuels » => bibliothèque

lecteurs, il est enfin reconnu et légitimé par les chercheurs. On se penche sur la bibliothèque bleue des petits romans édités à partir de 1602 et diffusés dans les foyers populaires par les colporteurs, on fait usage de toute sa subtilité, comme Umberto Eco, pour analyser les livres qui font pleurer Jenny. Un autre procédé consiste à utiliser les « œuvres », en les introduisant dans une série de textes de l'époque afin de dégager le dénominateur commun. Il faut souligner qu'il ne s'agit pas de les

Valladolid. En 1992, il en écrit un roman et écrit son scénario pour un téléfilm réalisé pas Jean-Daniel Verhaeghe. C’est en 1999 qu’il décide d’en faire une pièce de théâtre. Sa dernière œuvre date de 2009, qu’il a écrit en collaboration avec Umberto Eco : N'espérez pas vous débarrasser des livres. Nous allons nous intéresser aux différences entre le roman et la pièce de théâtre de la Controverse de Valladolid. En première partie, nous retracerons l’origine de cette dispute en présentant ses protagonistes

Presley, Che Guevara, Michaël Jackson sont fréquemment désignés comme « mythiques »parce qu’ils ont marqué leur époque. Ils sont devenus des symboles, des images pour la collectivité ; ils participent à notre fonds culturel. A propos de Superman, Umberto Eco écrit : Souvent, la vertu du héros s'humanise, et ses pouvoirs ultra-surnaturels ne sont que la réalisation parfaitement aboutie d'un pouvoir naturel, la ruse, la rapidité, l'habileté guerrière, voire l'intelligence syllogistique (intelligence

originale : Grasset, 1913) - Dali, Rêve causé par le vol d’une abeille autour d’une pomme grenade une seconde avant l’éveil (1944). > DM : SYNTH : 3 doc : sur la psychologie du jeu et les contes de fées : rêves ou apprentissage ? Document 1 : Umberto Eco, Pastiches et postiches Document 2 : Bruno Bettelheim, Psychanalyse des contes de fées Document 3 : Photographie de Willy Ronis, Petits napolitains (1938) SYNTHESE : Divergences d'opinion au sujet de l'interprétation divinatoire des songes Doc

Roland Barthe (1977) : depuis le 19ème siècle, ns sommes ds une civilisation du nvo : « néo-manie », dt les manif° sont multiples. Svt, l’objet nvo est acquis plus pr sa valeur symboliq que pr son utilité réelle. Le terme archaïq est devenu en éco et en politiq une véritable insulte. Ds domN de l’art, la valeur d’une œuvre est svt mesurée à l’audace par laquelle elle brise le cadre du passé. Progrès resterait la dernière valeur d’une socT sans valeur. La modernité ainsi entendue a conduit à la

Le continu correspond parfaitement à la conception des univers clos et sécurisants qui le sont le propre de la plupart des oeuvres et des doctrines fondées, comme on l'a vu, sur les certitudes armées par la logique et le rationnel, Pour Umberte Eco "le plaisir que procure n'importe quelle oeuvre d'art repose sur ces mécanismes d'intégration que fonde la connaissance. C'est ce qu'il appelle l'ouverture au premier degré. Deuxièmement, il montre que les poétiques contemporaines "se proposent de

une formule de Robert Martin (1983), ayant pour instances énonciatives l’auteur et le lecteur réels, l’institution de la littérature, descriptible, entre autres, en termes de contrats littéraires entre un auteur et un lecteur modèles ou abstraits Umberto Eco,1991: 80), l’univers textuel, lieu de manifestation des figures textuelles de l’auteur et du lecteur réels (le narrateur et le narrataire du texte narratif), et l’univers représenté ou le monde intra textuel, dont les instances énonciatives sont